Un prêtre assiste la naissance de jumeaux d’une femme sans-abri : « C’était une expérience surréaliste »
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Campagne Québec-Vie — Photo : Art man/Adobe Stock
Au mois de septembre dernier, un prêtre de l’État de Washington a aidé une femme sans-abri à mettre au monde ses jumeaux. Selon Catholic Extension, le père Jesús Mariscal était sorti du presbytère pour acheter des beignets en vue d’une réunion de préparation au mariage avec un couple de fiancés lorsqu’il a vu une femme sans-abri qui semblait en détresse.
La femme se tenait près d’une statue de Marie, Notre-Dame de l’Immaculée Conception, qui se trouve sur le terrain de la cathédrale Saint-Paul de Yakima, dans l’État de Washington. Il a remarqué du sang aux pieds de la femme qui criait : « J’ai besoin d’aide ! Je vais avoir un bébé ! Je vais l’avoir maintenant ! Je vais l’avoir maintenant ! »
Le père Mariscal a appelé le 911 et a aidé la femme à s’allonger. Mettant son téléphone sur haut-parleur, il a suivi les instructions du répartiteur du 911. Selon lui, ce n’est que quelques secondes plus tard que la femme a donné naissance à un petit garçon.
Lire la suiteUne femme de 80 ans bannie du YMCA après s’être plainte qu’un homme en costume de bain féminin regardait les filles se changer
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran du site de l'YMCA
6 août 2022, Port Townsend, Washington (LifeSiteNews) — Une grand-mère de 80 ans de l’État de Washington a été interdite de baignade au YMCA après s’être plainte qu’un « homme en maillot de bain féminin » « regardait les petites filles » se changer.
« La ville et le YMCA s’efforcent d’appliquer les règles néo-culturelles relatives au genre dans les vestiaires et les salles de douche de la Mountain View Pool, ce qui met en danger les femmes et les enfants », a déclaré Julie Jaman, 80 ans, au conseil municipal de Port Townsend lundi.
Expliquant pourquoi elle est de cet avis, Mme Jaman a déclaré que le 26 juillet, elle se douchait dans les installations de la piscine locale lorsqu’elle a entendu « une voix d’homme dans la zone de vestiaires des femmes ».
Lorsqu’elle est allée voir ce qui se passait, Jaman a dit avoir été témoin « d’un homme en maillot de bain de femme, regardant des petites filles enlever leur maillot de bain afin d’utiliser les toilettes du vestiaire. »
Tout en contestant le récit de Mme Jaman, le responsable de la publicité et de la communication du YMCA n’a pas nié la présence de l’homme, mais a déclaré au Post Millennial que le membre du personnel en question n’était pas en train de « s’engager » avec les jeunes filles, mais les escortait simplement jusqu’au vestiaire.
Le responsable de la communication a également confirmé que Jaman avait effectivement été bannie de l’établissement, mais a déclaré que ce problème n’était qu’un élément parmi d’autres ayant conduit à cette décision.
Dans un rapport local du Port Townsend Free Press, Jaman a donné plus de détails sur ce qui s’est passé selon elle lors de l’incident du 26 juillet.
« Il y avait des interstices dans le rideau et j’étais là, nue, avec du savon et de l’eau sur moi, et ce type, juste là, très près de moi », se souvient Jaman.
Lire la suiteUne étudiante choisit la vie après avoir entendu les témoignages de femmes blessées par l’avortement
Par Lisa Bast (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Piqsels
(Live Action) — Sandy Smith était active, elle était responsable des jeunes avec son petit ami, Jay, dans l’église où son père était pasteur principal et où le père de Jay était « diacre »*. Elle venait d’obtenir son diplôme d’études secondaires et était impatiente d’entrer à l’université à l’automne. Son avenir était plein de promesses — mais ensuite, elle a découvert qu’elle était enceinte.
Smith confie à Live Action News : « J’ai été choquée et terrifiée lorsque j’ai appris que j’étais enceinte. Jay et moi aimions tous deux Dieu, mais il est évident que nous n’avons pas établi de limites dans notre relation. Nous étions gênés et honteux. La grossesse a tout changé pour nous, y compris nos amitiés, notre avenir, nos rêves — tout. »
Smith a brièvement pensé à l’avortement, mais elle s’est ensuite souvenue d’avoir été présente à un service religieux auparavant, où des femmes ont partagé leurs témoignages déchirants sur leurs avortements, sanglotant d’angoisse pour une décision qu’elles regrettaient profondément — même des décennies plus tard.
« Après avoir entendu ces histoires émouvantes sur la façon dont l’avortement a blessé à jamais ces femmes, j’ai su que je ne pourrais jamais avorter et vivre avec un tel remords », dit Smith.
Smith s’est confiée à ses parents au sujet de sa grossesse, disant à son père qu’elle voulait faire adopter son enfant, mais le père de Mme Smith était catégorique : c’est à elle seule qu’il incombait de s’occuper de son bébé. Il tenait également à ce que le jeune couple ne se précipite pas dans le mariage à cause de la grossesse, bien que le petit ami de Mme Smith ait demandé plus tard à son père la permission de se marier, et qu’il y ait consenti.
S’adapter à de nouveaux défis
Le couple s’est installé dans un appartement sur le campus et a essayé de s’adapter à la vie de couple en tant qu’étudiants. « Nous devions tous deux travailler beaucoup pour joindre les deux bouts et c’était épuisant. Nous nous voyions beaucoup moins après notre mariage que lorsque nous sortions ensemble. Mais nous étions très amoureux et nous avons rapidement commencé à voir se dérouler devant nous un nouvel avenir que nous n’avions jamais envisagé. »
Lorsque leur fille est née, ce fut un moment spécial pour les deux familles, unies dans la joie et l’amour qu’apporte une nouvelle vie.
« Nous nous sommes réjouis de la naissance de Talia, et je l’ai aimée plus que je ne l’aurais jamais cru possible », relate Smith.
Lire la suiteLe Vermont oblige les écoles publiques à donner des préservatifs aux enfants
Par Fabien Laurent (Médias Presse Info) — Photo : WaveBreakMediaMicro/Adobe Stock
Une nouvelle loi du Vermont qui vient d’entrer en vigueur oblige toutes les écoles secondaires publiques à fournir des préservatifs à tout élève qui en fait la demande, et ce dès l’âge de 12 ans. Le gouverneur Phil Scott, un républicain pro-avortement, a signé la loi à la fin de l’année dernière.
Le géant de l’avortement Planned Parenthood (le planning familial) est directement impliqué. Selon le rapport, « les écoles n’ont pas à payer pour les préservatifs, ils sont fournis par Planned Parenthood of Northern New England ».
Planned Parenthood est une chaîne d’avortements multimilliardaire qui réalise environ 40 % de tous les avortements aux Etats-Unis.
Le Vermont Right to Life Committee s’est inquiété du fait que le nouveau programme a le « potentiel d’augmenter les taux d’avortement dans le Vermont », rapporte CBN News. Ce qui n’est pas sans fondement comme la suite le montrera.
Le Vermont est le premier Etat américain à exiger la distribution gratuite de préservatifs dans tous les collèges et lycées publics. Les législateurs ont déclaré que le programme contribuera à prévenir et à réduire les taux de grossesses non désirées et de maladies sexuellement transmissibles.
La loi demande aux responsables des districts scolaires et aux infirmières scolaires de déterminer « la meilleure façon de mettre des préservatifs à la disposition des élèves ». Les préservatifs doivent être placés dans des endroits sûrs et facilement accessibles aux élèves, notamment dans le bureau de l’infirmière scolaire.
Lire la suite10 millions de dollars en dommages et intérêts pour « vie injustifiée »…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pxfuel
L’un des concepts de plus en plus courants de la culture de mort est le suivant : « vie injustifiée » ou « naissance injustifiée ». Que cela signifie-t-il exactement ? Tout simplement que si la mère d’un enfant ne voulait pas l’avoir et qu’un professionnel de la santé ou un autre commit une erreur, soit en ne détectant pas les défauts physiques ou génétiques de l’enfant à naître, soit en commentant une erreur dans l’administration d’un abortif ou d’un contraceptif de telle sorte que l’enfant naquît.
Comment peut-on seulement imaginer qu’une vie puisse être « injustifiée » ? Cela me dépasse, c’est dire de tel ou tel enfant qu’il n’aurait pas dû naître, qu’il n’a pas sa place dans le monde. Le pire, ce n’est pas que ce genre d’élucubrations se retrouve dans quelques cercles restreints de pro-avortement enragés, mais qu’elle fût ratifiée par les tribunaux, ordonnant des dommages et intérêts aux professionnels de la santé qui n’ont pas accompli leur œuvre de destruction. Selon Gènéthique :
Un juge fédéral de Seattle aux Etats-Unis, Robert Lasnik, a accordé 10 millions de dollars de dommages et intérêts à la famille d’une petite fille gravement handicapée. L’enfant est née après que l’infirmière d’un dispensaire tourné vers les patients à faibles revenus et non assurés, ait par inadvertance administré à sa mère un vaccin contre la grippe au lieu d’une injection contraceptive. Soit 7,5 millions de dollars pour les frais médicaux, éducatifs et autres de l’enfant, en plus des 2,5 millions de dollars de dommages et intérêts pour ses parents.
Le juge ayant déterminé que la femme ne voulait pas être enceinte et ne le serait pas devenue ― quoiqu’on ne sait jamais, les contraceptifs n’étant pas à 100 % efficaces ― si l’infirmière lui avait administré la bonne injection, donc que la naissance était un préjudice… Les avocats de la famille « ont considéré qu’il s’agissait d’une affaire de “grossesse injustifiée” et de “vie injustifiée” », rapporte Gènéthique.
Au fait, si l’on approfondit le principe de « vie injustifiée », l’on doit conclure que puisqu’une vie est « injustifiée », c’est qu’on peut donc la supprimer, avant ou après la naissance. Ceci est, Mesdames et Messieurs, la Culture de Mort.