Les mères et les bébés de l’État de New York subiront les conséquences désastreuses de l’avortement légal jusqu’à la naissance
Par Janet Morana (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo Dave Bledsoe
Vous pourrez remarquer, chers lecteurs, que l'État de New York a maintenant une loi qui rend le statut de l'avortement légalement similaire à celui qu'il possède au Canada, cet à dire, possible jusqu'à la naissance. — A. H.
Le 23 janvier 2019 (Priests for Life) — En 2013, une jeune enseignante de maternelle du comté de Westchester, dans l’État de New York, s’est rendue à l’avortoir en avortements de LeRoy Carhart à Germantown au Maryland. Elle était là pour avorter sa fille à 33 semaines parce qu’on l’avait prévenue que le bébé souffrirait de troubles convulsifs.
Plusieurs jours après que sa fille ait été tuée par une injection dans le cœur, la jeune mère est morte elle aussi, victime de l’avortement raté. Ils ont été enterrés dans le même cercueil.
Grâce aux démocrates qui dirigent maintenant l’État de New York, la jeune mère aurait pu rester à la maison pour cet avortement du troisième trimestre et il n’y a aucune garantie que cela se serait terminé autrement. Plus un avortement est tardif, plus il est dangereux pour la mère. Et bien sûr, tout avortement est fatal pour le bébé.
Mais l’Assemblée législative de l’État de New York et le gouvernement Andrew Cuomo n’ont probablement pas tenu compte des mères et de leurs bébés lorsqu’ils ont annoncé l’adoption de la Loi sur la santé génésique. Peut-être pensaient-ils à tous ces dollars de la campagne de Planned Parenthood qui remplissaient tous les coffres de la campagne.
Lire la suiteTyrannie du « genre » : une école annule la traditionnelle danse père-fille
Une école élémentaire de Staten Island (New York) a abandonné sa traditionnelle danse père-fille en raison des nouvelles directives sur le genre émise par le Ministère de l’Éducation de l’État de New York.
Dans une mise à jour de sa politique de mars 2017, le Ministère de l’Éducation a ordonné aux écoles d’« éliminer » toutes les pratiques « basées sur le genre [sexe] » comme la danse à moins qu’elles ne servent un objectif éducatif « clair ».
Une fiesta prévue pour le 9 février a été brusquement reportée au mois suivant après que l’Association parents-enseignants de l’école se soit rendu compte que la danse contreviendrait à ces nouvelles règles.
« Tant que nous ne comprenons pas ce que nous sommes légalement autorisés à faire, nous devons suspendre cet événement », a écrit sur Facebook le président de l’Association des parents-élèves, Toni Bennett, à un groupe de parents d’élèves de l’école privée.
Certains parents étaient furieux de voir la rectitude politique s’immiscer dans une tradition pittoresque.
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