L’UE s’enflamme contre Orbán et la loi hongroise protégeant les mineurs de la propagande LGBT
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
« Dis-moi qui tu aimes, je te dirai qui tu hais. » Les paroles de Victor Hugo s’appliquent à merveille à l’Union européenne, à ses amours et à ses haines.
L’Union européenne aime le monde Lgbtqi+ et hait tout ce qui s’y oppose. Elle hait cette Hongrie attachée aux valeurs familiales traditionnelles et à l’innocence de l’enfance.
L’aversion des stipendiés bruxellois pour la Hongrie est patente ces derniers jours : Viktor Orbán et sa récente loi protégeant les enfants de la propagande homosexuelle et réprimant la pédophilie lui reste en travers de la gorge et l’a fait s’enflammer de rage. L’Union européenne veut faire plier la Hongrie afin qu’elle renonce à sa loi. De tout son poids technocratique le mastodonte européen, qui est incapable par ailleurs de mettre un terme à l’invasion clandestine, pèse sur le petit pays des Magyars.
La Commission européenne présidée par l’Allemande Ursula von der Leyen menace Viktor Orbán de lancer une procédure d’infraction, par l’envoi d’une première lettre de mise en demeure, contre la Hongrie si la loi est maintenue. Pourtant le premier ministre Orbán avait souligné que les préceptes de la loi « ne concernent pas l’homosexualité », mais « la défense des droits des enfants et des parents. Les lois concernent la manière dont les parents veulent éduquer leurs enfants ». Explications jugées insatisfaisantes par ce bras armé des lobbies lgbt et de la révolution arc-en-ciel qu’est l’UE.
La procédure d’infraction peut conduire à divers types de sanctions ou à la demande explicite de retrait d’une règle, d’une disposition, d’un règlement édicté par l’État auquel la violation est imputée ou par des entités qui lui sont liées. Une fois la lettre envoyée, le pays visé par l’enquête dispose d’un délai de deux mois pour présenter ses observations mais, s’il ne répond pas à la lettre de mise en demeure dans le délai imparti ou fournit à la Commission des réponses jugées insatisfaisantes, ce dernier peut se réserver le droit d’autres actions. La Commission a la possibilité d’émettre l’avis motivé avec lequel il constate comme un fait et avec l’aval de la loi le manquement contesté de l’Etat mis en examen, appelé à remédier au problème.
Lire la suiteLe président tchèque critique le défilé LGBT à Prague: «Si j’étais plus jeune, j’organiserais une contre-manifestation»
Le président de la République tchèque, Miloš Zeman.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias presse Info) — Photo (rognée) : David Sedlecký/Wikimedia Commons
République tchèque – Le président de la République tchèque Miloš Zeman est sous le feu des critiques du lobby LGBT et de ses relais politico-médiatiques après avoir félicité la Hongrie pour sa décision de protéger les enfants contre l’idéologie homosexuelle et transgenre.
Lors d’une récente interview sur CNN Prima News, le président Zeman a exprimé son soutien au Premier ministre hongrois Viktor Orbán et à la nouvelle législation, qui interdit la diffusion de matériel pornographique ou de contenu décrivant l’homosexualité ou le transgenre aux mineurs de moins de 18 ans.
Après avoir adopté la législation, Orbán a été critiqué à plusieurs reprises par divers politiciens européens pour sa tentative de protéger les enfants de la propagande LGBT. L’UE a menacé d’« enquêter » sur la nouvelle législation.
C’est donc maintenant au tour du président tchèque Zeman d’être pris pour cible et critiqué en raison de ses opinions insoumises aux diktats du Nouvel Ordre Mondial. Lors des élections de 2018 en République tchèque, la BBC l’avait déjà fortement critiqué en tant que « président politiquement incorrect » après avoir mis en garde contre les effets de l’immigration musulmane.
« Viktor Orbán dit qu’il n’est pas contre les homosexuels, mais qu’il est contre la manipulation non seulement des parents, mais aussi des enfants dans l’éducation sexuelle », a déclaré Zeman.
« Je ne vois aucune raison d’être en désaccord avec lui, car je suis complètement agacé par les suffragettes, le mouvement Me Too et la Prague Pride », a-t-il poursuivi.
« Si vous subissez une opération de changement de sexe, vous commettez essentiellement un crime d’automutilation », a déclaré Zeman. « Chaque opération est un risque et ces personnes transgenres sont pour moi dégoûtantes. »*
Le président tchèque a ajouté que la prochaine marche de la « fierté » homosexuelle à Prague représente une petite minorité de gens qui tentent de se mettre au-dessus des autres. Il a déclaré que, s’il était plus jeune, il organiserait une contre-manifestation.
*Sa façon de s’exprimer n’est peut-être pas très charitable — si son propos vise la personne et non seulement la réalité du transgenrisme, c’est-à-dire un corps mutilé, ce qui est effectivement répugnant. — A. H.
«Les rouleaux compresseurs libéraux roulent à nouveau contre la Hongrie», qui interdit l'endoctrinement LGBT des enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
En réaction à l’assaut qui redouble de rage contre la Hongrie, tant mené par les médias que les personnalités ou les politiciens européens face à la nouvelle loi hongroise qui interdit la propagande LGBT auprès des enfants, notamment à l’école, Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, réplique que son pays protège les enfants et les droits parentaux, selon LifeSiteNews :
« Les rouleaux compresseurs libéraux sont une fois de plus à l’œuvre contre la Hongrie », affirme-t-il. « Ils tirent maintenant la sonnette d’alarme dans toute l’Europe au sujet des nouvelles lois hongroises visant à punir sévèrement les pédophiles et à protéger nos enfants. »
« L’éducation dans les écoles ne doit pas être en conflit avec la volonté des parents », poursuit-il. « Elle doit tout au plus être supplétive, sa forme et son contenu doivent être clairement définis, et elle doit être soumise au consentement des parents. »
« Les parents s’attendent également, à juste titre, à ce que sur les plateformes utilisées par nos enfants, la pornographie, la sexualité pour elle-même, l’homosexualité et les programmes de changement de sexe ne soient pas disponibles », déclare Orban. « Ces restrictions doivent également être définies avec une précision chirurgicale ».
La Hongrie interdit la promotion de l’homosexualité et du transgenrisme auprès des enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
La Hongrie a adopté aujourd’hui à son parlement de Budapest une loi dirigée contre la pédophilie et interdisant, entre autres, le fait de montrer de la pornographie aux mineurs (moins de 18 ans) et de promouvoir l’homosexualité ou le transgenrisme auprès de ceux-ci, rapporte LifeSiteNews :
Un projet de loi interdisant de montrer du contenu pornographique ou du matériel encourageant l’homosexualité et le transgenrisme aux mineurs de moins de 18 ans.
La mesure, proposée par le parti Fidesz du Premier ministre Viktor Orbán, interdit explicitement « le contenu qui dépeint la sexualité pour elle-même, ou qui encourage ou montre des déviations de l’identité du sexe de naissance, [comme] le changement de sexe ou l’homosexualité ».
La nouvelle loi prohibe la propagande LGBT dans l’enseignement scolaire, souligne le Visegrád Post :
Mais ce qui a suscité le boycott de l’opposition et la mobilisation de la militance LGBT, c’est que, pour protéger les mineurs, cette loi vise aussi à interdire et réprimer la propagande homosexuelle à destination des enfants. Ainsi, la promotion et l’affichage — y compris de manière indirecte par la publicité —, vis-à-vis de mineurs, de l’homosexualité ou des pratiques de « changement de sexe » seront interdits. En conséquence, toute propagande LGBT sera totalement exclue des établissements scolaires.
Oui, quelques milliers de militants LGBT, appelés aux armes par des organismes dont Amnesty International de Soros, ont manifesté sur la Place Kossuth devant le Parlement hongrois à Budapest.
Avec des lois telles que celle-ci, le pays va être plus sûr pour les enfants.
Le Parlement européen veut suspendre les fonds européens aux pays membres restreignant le plus l’avortement
Par Olivier Bault (Présent) — Photo : Guillaume Périgois/Unsplash
Le 2 juin, lors de sa première session plénière en présentiel, à Strasbourg, depuis le début de la pandémie, le Parlement européen prévoyait de revenir à la discussion sur le mécanisme de conditionnalité qui permettra de suspendre de paiement de fonds européens en fonction du respect des principes de l’état de droit et des « valeurs européennes » (telles qu’énumérées, en termes très généraux, à l’article 2 du Traité sur l’UE).
Ce mécanisme, également appelé « mécanisme d’état de droit » par les médias, existe depuis le 1er janvier dernier, mais il n’a été utilisé contre aucun pays du fait que la Pologne et la Hongrie ont obtenu au sommet européen de décembre, en échange du retrait de leur veto sur le budget et le Plan de relance, un ajournement de l’application de la procédure tant que la Cour de Justice de l’UE ne se sera pas prononcée sur sa conformité aux traités européens. Or, en dépit de ce qui avait été convenu au sommet de décembre des chefs d’État et de gouvernement, le Parlement européen exige de la Commission européenne qu’elle se serve dès aujourd’hui de ce mécanisme « d’état de droit » pour suspendre les fonds à la Pologne et à la Hongrie.
Dans le même temps, les eurodéputés membres de la « Commission des droits des femmes et de l’égalité des genres » (sic) travaillent sur une résolution qui pourrait être utilisée comme arme contre certains pays indociles, en étendant les valeurs européennes aux questions sociétales qui relèvent pourtant de la compétence exclusive des États membres au regard des traités (qui devraient être respectés s’il s’agissait réellement de respecter l’état de droit).
Le 11 mai, ils ont adopté un « Rapport sur la situation concernant la santé et les droits génésiques et sexuels dans l’Union, dans le cadre de la santé des femmes ». Les « droits génésiques et sexuels » en novlangue bruxelloise désignent d’abord et avant tout un droit à la contraception et aussi à l’avortement « sûr et légal ». Les eurodéputés prétendent dans ce rapport destiné à servir de base à une future résolution que « la santé et les droits sexuels et génésiques reposent sur les droits de l’homme, constituent des éléments fondamentaux de la dignité humaine », et ils postulent un plein accès à des services d’avortement sûrs et légaux, aux moyens de contraception et à l’éducation sexuelle (dans sa version LGBTiste promue par l’OMS en Europe). Ils s’inquiètent en même temps de « la montée du discours extrémiste qui menace le respect des droits sexuels et génésiques tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Union ». Ils appellent les États membres « à contrer tous les efforts visant à utiliser la pandémie comme prétexte pour restreindre davantage la santé et les droits sexuels et génésiques ».
Première visée, la Pologne a été mentionnée à plusieurs reprises dans les discussions en commission et elle est au centre de l’attention de la majorité progressiste et eurofédéraliste, adepte de la culture de mort, au Parlement européen depuis le jugement du Tribunal constitutionnel polonais rendu en octobre 2020 qui a interdit les avortements eugéniques, visant le plus souvent les enfants touchés par la trisomie 21.
Et puisque le projet de résolution s’inquiète de « la montée du discours extrémiste », il mérite d’être signalé que la discussion sur le rapport « Mati » (du nom du rapporteur croate) a donné lieu à des discours particulièrement radicaux des partisans de l’avortement et a montré combien l’idée même du respect de l’état de droit est secondaire pour la majorité progressiste, quand il s’agit d’imposer leur idéologie mortifère et extrémiste, justement, à tous les pays membres. L’ECLJ a d’ailleurs très bien expliqué en mars en quoi ce projet de résolution empiète sur les compétences des états membres et est incompatible avec le respect du droit.
L’Idaho coupe les fonds aux entreprises d’avortement et leur interdit d’enseigner l’éducation sexuelle dans les écoles
Par Bridget Handy (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie – Photo : WavebreakMediaMicro/adobestock
La loi No Public Funds For Abortion Act (H.B. 220) a été promulguée par le gouverneur républicain de l’Idaho, Brad Little, le lundi 10 mai. Elle met fin au financement des entreprises pratiquant l’avortement dans l’État, empêchant ainsi l’argent des contribuables de financer le meurtre direct et intentionnel d’enfants à naître. Le projet de loi interdit également aux entreprises d’avortement de l’Idaho de passer des contrats avec les écoles publiques locales pour enseigner l’éducation sexuelle aux enfants.
En vertu du projet de loi 220 de la Chambre des représentants, l’argent des contribuables de l’État ne sera plus alloué aux entreprises pratiquant l’avortement ou à toute initiative visant à promouvoir ou à commettre des avortements. La loi élimine officiellement le financement de sociétés telles que Planned Parenthood, dont les revenus s’élèvent à 1,6 milliard de dollars pour l’ensemble de ses filiales aux États-Unis au cours de l’année la plus récente.
Bien qu’elle prive les géants de l’avortement comme Planned Parenthood du financement des contribuables, la loi No Public Funds For Abortion Act ne concerne pas les avortements financés par les contribuables dans les hôpitaux publics, ni les avortements financés par Medicaid. Cependant, la loi H.B. 220 empêche les collèges et universités de l’État de fournir des médicaments abortifs à leurs étudiants.
Selon la Family Policy Alliance of Idaho, au moment de l’adoption du projet de loi lundi, la pilule abortive - qui a tué environ quatre millions d’enfants à naître - était disponible à l’Université d’État de Boise, à l’Université de l’Idaho et à l’Université d’État de l’Idaho. La Family Policy Alliance a déclaré à propos de l’adoption du projet de loi :
Les habitants de l’Idaho ne veulent pas que leur État ou les gouvernements locaux envoient leur argent durement gagné aux fournisseurs d’avortement — et ils ne veulent certainement pas que les avorteurs fournissent des services et fassent la promotion de l’avortement dans nos écoles et universités publiques. L’avortement ne devrait jamais être subventionné par nos impôts, et les élèves des écoles publiques de l’Idaho ne devraient jamais apprendre la sexualité par l’industrie de l’avortement.
La loi No Public Funds For Abortion Act protège les étudiants, les femmes vulnérables et les contribuables qui travaillent dur contre le lobby du Big Abortion.
La loi a été parrainée à la Chambre des représentants de l’État de l’Idaho par le républicain Bruce Skaug et adoptée à la Chambre par un vote de 55-14. M. Skaug a déclaré à propos de l’adoption du projet de loi : « Nous prévoyons, avec la nouvelle administration présidentielle [Biden], que les fonds du Titre X [planification familiale] commenceront à être versés à des centres de conseil favorables à l’avortement, à des cliniques de type planification familiale, et cette mesure empêchera cela ». Il a ajouté : « Cela va sauver des enfants de l’avortement. Je n’ai aucun doute là-dessus ».
Pour l’Unicef la pornographie n’est pas mauvaise en soi pour les enfants…
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
L’Unicef, le Fonds des Nations unies pour l’enfance, vient de publier un rapport, vite retiré de son site à cause du grand nombre de protestations et remanié, visant à dédouaner la pornographie.
Cette agence des Nations Unies soutient l’idée que la pornographie n’est pas toujours préjudiciable aux enfants et aux adolescents. Ces derniers, toujours selon l’organisme international, ne devraient pas se voir refuser une « éducation sexuelle vitale », qui comprenne également l’avortement et les questions LGBT.
Le rapport, intitulé Les outils numériques de vérification de l’âge et les droits des enfants en ligne à travers le monde, traite des outils de vérification de l’âge en ligne et des droits des enfants dans cinq domaines (jeux d’argent, pornographie, jeux en ligne, médias sociaux, matériel pédopornographique). S’agissant de la pornographie, il passe en revue les propositions législatives de certains pays et cite des recherches qui présentent, au-delà des données collectées, des jugements différents sur la question, soit totalement négatifs, soit substantiellement laxistes.
A la question « Quelle est la preuve du risque et du préjudice ? », l’Unicef préfère rappeler l’existence de « différents types de risques et de préjudices liés à l’exposition des enfants à la pornographie » en ajoutant immédiatement après qu’« il n’y a pas de consensus sur le degré auquel la pornographie est préjudiciable aux enfants ». Cette dernière partie sur l’étendue des dommages, et relative au « consentement » manquant, a été supprimée de la nouvelle version du document. Et, de même, de la réponse à la question suivante, « Les preuves justifient-elles des limites d’âge ? », l’agence des Nations Unies a éliminé la partie dans laquelle il était déclaré que « les preuves sont contradictoires, et il n’y a actuellement aucun accord universel sur la nature et l’étendue du préjudice causé aux enfants par la visualisation de contenus classés comme pornographiques ».
Pour le reste, s’il y a quelques mots qui ont changé par rapport à la première version, rien ne change la perspective scandaleuse de l’Unicef, qui prend soin de ne pas exprimer un jugement propre et clair contre la pornographie.
Lire la suite« Éduquer » à l’avortement, une priorité du G7
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : wavebreak3/AdobeStock
La culture de mort à ses instigateurs, ses propagateurs, ses propagandistes, les pays du G7.
Lors de la réunion à Londres des ministres du Développement économique et des Affaires étrangères du G7, en vue du prochain sommet des chefs d’État et de gouvernement des pays les plus industrialisés du monde (11-13 juin), parmi les priorités dont il a été question, celle concernant l’éducation des filles partout dans le monde en y incluant l’avortement.
Les ministres du Développement et des Affaires étrangères des sept pays (Canada, France, Allemagne, Italie, Japon, Royaume-Uni et États-Unis d’Amérique) sont particulièrement déterminés à « travailler en collaboration avec des partenaires des pays en développement, des institutions multilatérales, de la société civile, des groupes dirigés par des filles et de jeunes leaders, pour éliminer les obstacles à l’éducation ». Plus précisément, d’ici 2026, les pays les plus développés du monde représentés dans le G7, dont l’Inde, le Brésil, la Russie et la Chine sont exclus, souhaitent étendre les initiatives éducatives qui favorisent une éducation accélérée en cette période de « pandémie » et « post-pandémie » covid, y compris par la fourniture de technologies permettant l’apprentissage à distance, l’augmentation des programmes d’alphabétisation et de mathématiques précoces et, last but not the least, « accroître l’accès à une éducation sexuelle complète, en promouvant la santé et les droits sexuels et reproductifs ».
Normalement, si tout procède comme décidé, la réunion des chefs d’État et de gouvernement de juin prochain réaffirmera donc l’engagement total du G7 en faveur de la santé et des droits sexuels et reproductifs (SDSR) de tous les individus. Engagement qui se concrétise financièrement.
Or les jours qui ont précédé le sommet des ministres du G7, auquel le nouveau secrétaire d’État Antony Blinken, grand promoteur de la nouvelle politique étrangère américaine pro avortement et pro LGBTI, participait activement, le gouvernement de Boris Johnson avait annoncé une réduction drastique de l’aide aux pays les moins avancés du monde, une coupe nette qui affectera de nombreux programmes d’appui à l’avortement, notamment par l’intermédiaire de l’agence UNFPA des Nations Unies. La réduction du financement des programmes internationaux par le Royaume-Uni est de 85 %, passant de 154 millions de livres à 23 millions de livres en 2021.
Cette nouvelle a suscité l’ire de la directrice exécutive de l’UNFPA, Natalia Kanem : « La décision de Londres va dévaster nos plans de planification familiale et de santé reproductive dans le monde… avec cet argent, nous aurions pu payer des services de santé pour 4,3 millions d’avortements », tout autant que celle de Marie Stopes International et de l’IPPF qui s’inquiètent de la possible réduction des avortements dans le monde. Les pressions des multinationales et des agences onusiennes ont donc trouvé un écho dans le document sur l’éducation et l’avortement.
L’excuse du « réchauffement climatique anthropique » où bien-être environnemental rime avec plus d’avortements est venu également soutenir cette « priorité » éducative des pays les plus puissants du monde…
La masturbation universelle
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : drobotdean/Freepik
Un projet immense et insidieux
Récemment, tous les chefs d’état de la planète, avec l’appui explicite du capital mondial et des grandes religions ont convenu d’enseigner à tous les enfants de la Terre, à l’école et en dehors, à partir de l’âge de neuf ans, que la masturbation est une activité anodine et sans conséquence et que les enseignements qui affirment que la chasteté est bénéfique sont fondés sur l’ignorance.
On déniche cet objectif d’endoctrinement mondial, dans quelques phrases enfouies parmi des dizaines de paragraphes édifiants, parsemés de jolis logos et d’images d’enfants souriants. Malgré ces apparences trompeuses, il s’agit d’un projet immense et spécifique qui dispose de tous les moyens financiers, idéologiques et politiques nécessaires pour être réalisé. La masturbation, cette petite chose que tous connaissent et dont personne ne parle, révèle ainsi toute l’étendue, la perfidie et la radicalité de l’agenda mondialiste.
En lisant ce qui précède, certains lecteurs pensent peut-être que je divague (« tous les chefs d’État… vraiment ! ») et que seul un complotiste ahuri et sexuellement obsédé pourrait imaginer une chose pareille. Je répète donc :
Récemment, (Déclaration A/RES/74/4 des Nations unies du 15 octobre 2019) tous les chefs d’état de la planète (Ibid., endossée par 193 états) avec l’appui explicite du capital mondial (https://fr.weforum.org/communities/gfc-on-sdg-investment) et des grandes religions (https://www.rfp.org/priority-global-partnerships/) ont convenu d’enseigner à tous les enfants de la Terre (Déclaration A/RES/74/4 des Nations unies du 15 octobre 2019, items 5 et 6 ; UNDP document, Parliament’s Role in implementing the sustainable development goals, 2017, page 12) à l’école et en dehors (UNESCO/UNSD- International technical guidance on sexuality education, 2018, page 30) à partir de l’âge de neuf ans (Ibid., page 71) que la masturbation est une activité anodine et sans conséquence (Ibid., page 71, objectif 7.2) et que les enseignements qui affirment que la chasteté est bénéfique sont fondés sur l’ignorance (Ibid., page 91).
Mais, me dira-t-on, pourquoi s’énerver à propos de quelques mots dans un ou l’autre des documents de l’ONU ; tout ça ne nous concerne pas, ce sont des généralités sans importance. C’est, en effet, ce que je croyais moi aussi, avant le 11 mars 2020 quand le putsch planétaire a commencé. La dictature sanitaire qui s’amplifie sans cesse au Québec et ailleurs a maintenant révélé à quel point l’Agenda 2030 est imminent et à quel point nos dirigeants sont déterminés à imposer ce fascisme radical dans toute son étendue, ici même. Et ceci inclut les doctrines sexuelles qu’on veut inculquer aux enfants.
La masturbation serait sans conséquence, vraiment ? Un cycle de stimulation récompense, pratiqué à répétition, n’aurait aucun impact sur le comportement ni sur les questions identitaires. Vraiment ? Suis-je le seul adulte au monde qui a déjà eu quinze ans ?
Lire la suiteEn hommage à Judith Reisman
Le Dr Judith Ann Reisman lors d'une conférence à Montréal en juin 2017.
Par Marion Sigaut (marionsigaut.com) ― Photo : Parents Premiers Educateurs/YouTube
En 1966 Judith Reisman, âgée de 32 ans, menait une vie heureuse d’épouse et de mère comblée, quand le ciel lui tomba sur la tête. Constatant que sa fille Jenny, âgée de dix ans, semblait perdre le goût à la vie, elle la pressa de questions et dut, pour qu’elle accepte de parler, lui jurer qu’elle ne dirait rien à la police. La petite lui avoua alors que le voisin du dessus l’avait violée de façon répétitive, en lui assurant qu’elle finirait par aimer ça. Le violeur avait 13 ans.
Là ne s’arrêta pas la série des mauvaises nouvelles. Judith voulut s’épancher auprès d’une vieille tante assez collet monté, et d’une ancienne copine de fac de son âge. Les deux femmes, de deux générations différentes et séparées géographiquement par des centaines des kilomètres, lui assurèrent toutes deux que, sans aucun doute, la petite l’avait cherché : Judith ignorait donc que les enfants sont sexuels dès leur naissance ?
La vie de Judith ne revint jamais à la normale : elle venait d’entrer dans le monde terrifiant de la réalité qui se cache derrière la façade. Elle découvrait le monde selon Kinsey. Kinsey l’imposteur, le père de la révolution sexuelle, l’auteur de rapports pseudo scientifiques qui firent le tour du monde et, en l’espace d’une génération, réussit à totalement renverser les valeurs. Dans le monde selon Kinsey, les enfants violent d’autres enfants et les parents qui s’en offusquent sont des ringards qu’il faut remettre dans le droit chemin puisque, Kinsey nous l’affirme, les enfants sont sexuels dès leur naissance.
Judith Reisman sillonna la planète, de colloques en congrès, de conférences en interviews pour dénoncer ce qu’elle avait découvert : les autorités (américaines et internationales, médicales, éducatives, politiques ou autres), cautionnaient, divulguaient et promouvaient les faux travaux d’un vrai pervers qui, après avoir fait violer des centaines de gosses par des prédateurs pédophiles, partit assurer à la face du monde que les évanouissements, les hurlements et convulsions des malheureux étaient des orgasmes.
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