Le gouverneur d’Illinois signe une loi instaurant une «éducation sexuelle» explicite qui promeut l’avortement
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
Le gouverneur de l’Illinois, J.B. Pritzker, a signé vendredi un projet de loi mettant en place une éducation sexuelle qui promeut l’avortement, ignorant les plaintes des démocrates et des républicains concernant ce programme au contenu sexuellement explicite qui sera imposé aux enfants dès la maternelle.
Breitbart rapporte que Pritzker a fait l’éloge du projet de loi 818 du Sénat de l’État comme d’une initiative qui « aidera à garder nos enfants en sécurité ».
La nouvelle loi, qui entre en vigueur immédiatement, exige que les écoles publiques qui dispensent une éducation sexuelle suivent les normes nationales d’éducation sexuelle. Les parents peuvent en faire dispenser leurs enfants.
Les normes nationales d’éducation sexuelle ont été élaborées par des groupes de promotion de l’avortement, dont Planned Parenthood, Sister Song et Advocates for Youth. Ces « normes » enseignent aux enfants que l’avortement n’est qu’une « procédure médicale ou chirurgicale qui met fin à une grossesse » et leur indiquent comment trouver des centres d’avortement dans leur région.
M. Pritzker a affirmé que la nouvelle loi allait « moderniser » l’éducation sexuelle dans l’État et « garantir que des leçons importantes comme le consentement et la sécurité sur internet soient enseignées dans les salles de classe ».
« En travaillant ensemble, nous continuerons à renforcer notre système éducatif et à offrir l’avenir brillant que nos enfants méritent », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Cependant, la loi a été repoussée par des législateurs républicains et démocrates ainsi que par des parents préoccupés.
Lire la suiteUn projet de l’Unicef promouvant l’avortement, la contraception, la masturbation, l’idéologie LGBT, etc., auprès des enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : ludexvivorum/Wikimedia Commons
Dernièrement, on avait appris que l’Unicef avait publié un rapport où il déclarait implicitement que la pornographie n’était pas mauvaise en soi pour les enfants et les adolescents… Maintenant, enfourchant l’un de leurs dadas, les bureaucrates de l’Unicef ont présenté à leur conseil d’administration un projet où il est demandé que l’agence onusienne soit mandatée pour faire la promotion de l’avortement, de la contraception, de l’« éducation sexuelle » (dont la masturbation pour les enfants de cinq ans…), des « droits » LGBT, ainsi que de l’élimination du droit des parents à s’opposer au recours à l’avortement, etc., selon la FSSPX.News :
L’agence des Nations unies pour l’enfance demande à être mandatée pour promouvoir l’avortement, la contraception et les droits des LGBTI dans les Etats membres des Nations unies.
Le projet de l’Unicef prévoit la promotion de la « santé et des droits sexuels et reproductifs », un terme qui inclut l’avortement et les droits des LGBT, ainsi qu’une « éducation sexuelle complète ».
[…]
En plus d’engager l’agence à travailler sur « la santé et les droits sexuels et génésiques », le projet inclut la « santé sexuelle et génésique » comme un domaine de santé distinct de la santé maternelle et du SIDA. Ce qui implique que l’agence demande un mandat pour promouvoir l’avortement et la contraception.
Le plan stratégique engage également l’agence à donner la priorité à « l’éducation sexuelle complète », une forme d’éducation sexuelle très controversée qui apprend aux enfants à expérimenter leur sexualité, notamment en leur apprenant à chercher le plaisir solitaire dès l’âge de cinq ans, et qui promeut l’acceptation morale de la pratique de l’homosexualité.
Outre le fait que ce genre de propagande destinée aux enfants dès le plus tendre âge a été à maintes reprises rejetée par les États membres de l’ONU, ce plan stratégique devant s’étaler sur quatre ans propose donc l’« égalité des sexes », qui ne comprend pas uniquement que l’« égalité » homme-femme, considèrant que les adolescents ne devraient pas être empêchés, en l’occurrence par leurs parents, de recourir à l’avortement et à la contraception — le droit des parents de s’opposer à ce que leur progéniture adolescente recoure à ces procédés relevant de « préjugés sexistes » discriminatoires ! (Et après, sera-ce l’âge du consentement des enfants pour autre chose ?…) Ce plan vise par là les lois sur le consentement parental dans le monde entier, escompter bien sur les 5 milliards de budget de l'agence.
Un dirigeant du mouvement pro-vie britannique avertit le mouvement pro-vie canadien d’éviter leur erreur stratégique
John Smeaton, directeur de la Society for the Protection of Unborn Children (SPUC).
Par Pete Baklinski (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews
L’un des chefs pro-vie les plus respectés au monde avertit le mouvement pro-vie canadien de ne pas commettre la même erreur stratégique que lui et d’autres pro-vie ont commise il y a près de 40 ans dans la lutte contre l’avortement au Royaume-Uni.
John Smeaton, directeur de la Society for the Protection of Unborn Children (SPUC), la plus ancienne organisation de campagne et d’éducation pro-vie au monde, a expliqué à Campaign Life Coalition, dans le cadre d’une entrevue exclusive, comment, dans les années 1980, le mouvement pro-vie britannique — dont faisait partie la SPUC — a fait campagne pour la réduction du délai maximal d’avortement de 28 à 18 semaines. Cela a malheureusement entraîné des conséquences tragiques sur les efforts du mouvement pour protéger les bébés à naître.
M. Smeaton, qui est également vice-président de la Fédération internationale du droit à la vie, a expliqué (lire l’entrevue complète ci-dessous) comment de nombreux pro-vie de l’époque avaient espéré qu’une loi sur la gestation contribuerait à réduire le nombre total d’avortements. Au lieu de cela, la loi de 1990 sur la fécondation humaine et l’embryologie, comportait tellement d’exceptions que, selon M. Smeaton, elle a essentiellement augmenté « le délai d’avortement dans presque tous les cas et dans de nombreux cas jusqu’à la naissance. »
« Ce sont les pro-vie qui ont fait pression pour que la loi de 1990 contienne des dispositions relatives à l’avortement, dans l’espoir de pouvoir insérer certaines restrictions, notamment des délais précoces », a déclaré M. Smeaton.
Il explique comment des pro-vie biens intentionnés se sont retrouvés pris au piège.
« Les députés savaient qu’ils ne pourraient pas faire passer les amendements sur les “délais” sans faire d’exception pour permettre à certains bébés d’être avortés au-delà de la “limite” », dit-il. « Le résultat a été une “limite” de 24 semaines (et non les 18 semaines pour lesquelles nous avions fait campagne), mais pour les bébés handicapés, et dans d’autres cas, toutes les limites ont été supprimées ce qui a mené à l’avortement jusqu’à la naissance. C’est un résultat amer, tragique, qui résulte de deux erreurs évidentes, une erreur de tactique et une erreur de principe », a déclaré M. Smeaton.
Lire la suiteViktor Orbán annonce un referendum sur la loi protégeant les enfants contre la propagande LGBT
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Par le Visegrád Post — Photo : Facebook
Hongrie — Le premier ministre hongrois Viktor Orbán s’est adressé au pays ce mercredi 21 juillet pour annoncer — par une vidéo sur son compte Facebook — la tenue prochaine d’un référendum au sujet de la loi de protection des mineurs, aussi appelée loi anti-pédophiles ou loi anti-LGBT par certains de ses détracteurs. Cette annonce fait suite à un chantage de la part de la Commission européenne à propos de cette loi que les instances européennes considèrent comme discriminatoire vis-à-vis du mouvement LGBT.
Bruxelles veut obliger la Hongrie à accepter la propagande LGBT dans les écoles, « Bruxelles a clairement attaqué la Hongrie ces dernières semaines à propos de la loi sur la protection de l’enfance », a ainsi expliqué le chef du gouvernement. « Les lois hongroises n’autorisent pas la propagande sexuelle dans les jardins d’enfants, les écoles, les télévisions et les publicités. […] Bruxelles réclame désormais une modification de la loi sur l’instruction publique et des règles de protection de l’enfance […] Ils se plaignent que ce qui est déjà établi en Europe occidentale ne soit pas possible ici. Là-bas, les activistes LGBTQ vont dans les jardins d’enfants et les écoles et font l’éducation sexuelle. Ils veulent la même chose ici, alors les bureaucrates de Bruxelles menacent, ils lancent des procédures d’infraction, ils abusent de leur pouvoir ».
Un référendum pour dire non à la propagande LGBT à destination des mineurs
En conséquence, « le gouvernement [hongrois] lance un référendum sur cinq questions » :
- Êtes-vous favorable à la tenue d’exposés traitant d’orientation sexuelle dans l’enseignement public, sans accord parental, à destination des mineurs ?
- Soutenez-vous la promotion des traitements de changement de sexe auprès des mineurs ?
- Êtes-vous favorable à ce que les traitements de changement de sexe soient accessibles aux mineurs ?
- Êtes-vous favorable à ce que les mineurs soient exposés, sans restriction, à du contenu multimédia de nature sexuelle influençant leur développement personnel ?
- Êtes-vous favorable à ce que des contenus parlant de changement de sexe soient montrés aux mineurs ?
Viktor Orbán a conclu son intervention de la manière suivante :
« Je vous demande donc que nous disions ensemble non à ces questions, comme nous l’avons fait il y a cinq ans, lorsque Bruxelles a voulu forcer la Hongrie à accepter les immigrés ».
Selon le premier ministre hongrois, à l’époque, « un référendum et une volonté commune ont arrêté Bruxelles. Nous avons réussi une fois et nous réussirons à nouveau, ensemble ».
L’éducation sexuelle de Planned Parenthood alimente le marché de l’avortement selon une ancienne bénévole
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
La semaine dernière, une ancienne bénévole de Planned Parenthood a fait l’éloge de la Cour suprême de l’Iowa qui a permis à l’État d’exclure la fédération d’avorteurs d’un programme de subventions pour l’éducation sexuelle.
Selon Christianity Daily, Monica Cline a cessé de travailler avec Planned Parenthood il y a plusieurs années après avoir été dégoûtée par ses pratiques contraires à l’éthique. Aujourd’hui, elle s’est donné pour mission d’aider les parents et d’autres personnes à comprendre comment la chaîne d’avortements encourage les jeunes enfants à adopter un comportement sexuel à risque qui pourrait éventuellement conduire à l’avortement.
S’exprimant à l’émission Pro-Life Weekly d’EWTN, Mme Cline a déclaré que la Cour suprême de l’Iowa a eu raison de maintenir une loi d’État de 2019 qui disqualifie les fournisseurs d’avortement des subventions pour l’éducation sexuelle. La Cour a statué par six voix contre une en faveur de la loi en juin.
Mme Cline a déclaré que le matériel d’éducation sexuelle de la société d’avortement est conçu « pour enseigner la sexualité aux enfants afin qu’ils deviennent sexuellement actifs ». Ses programmes sont un « outil de marché pour conduire à l’avortement », a-t-elle poursuivi, selon l'article.
Dans l’Iowa, elle a déclaré que ses programmes « n’avaient que très peu de résultats positifs ou aucun effet ou même, parfois, des effets négatifs dus à ce type d’interventions sur les enfants ».
Lire la suiteUn groupe « gai » chante : « Nous allons convertir vos enfants, nous venons les chercher » — ils sont sérieux
Le Gay Men's Chorus of San Francisco.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
8 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Bien que le compositeur et le parolier d’une chanson controversée du San Francisco Gay Men’s Chorus [Chœur des hommes gais de San Francisco] ─ chanson désormais universellement connue sous le titre de « We'll convert your children, we're coming for them » [« Nous allons convertir vos enfants, nous venons les chercher »] ─ déclare que celle-ci n’est qu’une parodie, le message est fort et clair : Nous avons gagné, nous sommes invincibles.
Or, cette chanson n’est pas une parodie. Il s’agit du pouvoir politique que les forces LGBT ont amassé, écrasant tous les aspects de la culture américaine.
Il ne s’agit pas de victimes d’une société hétéronormative implorant d’être acceptées ou laissées tranquilles ; cette chanson, publiée sur les médias sociaux le 1er juillet — le lendemain de la fin du mois des « fiertés » — est à la fois une danse de la victoire et un dernier coup de semonce.
Ce sont des conquérants arrogants qui, malgré leurs protestations après coup, font savoir que le drapeau arc-en-ciel a été fermement planté dans la culture américaine, éviscérant la science, la nature et la moralité par le rejet de la vérité immuable de la complémentarité.
Nous avons un message pour vous :
Vous pensez que nous allons corrompre vos enfants, si notre programme n’est pas contrôlé.
Bien. Juste pour cette fois, vous avez raison : nous allons convertir vos enfants... Il n’y a vraiment aucune échappatoire.
Pourquoi déclarent-ils inconsciemment « Il n’y a vraiment pas moyen d’y échapper » ?
Parce que c’est vrai. Les activistes homosexuels et transsexuels ont ostensiblement gagné cette guerre.
Lire la suiteL’UE s’enflamme contre Orbán et la loi hongroise protégeant les mineurs de la propagande LGBT
Viktor Orbán, premier ministre de Hongrie.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
« Dis-moi qui tu aimes, je te dirai qui tu hais. » Les paroles de Victor Hugo s’appliquent à merveille à l’Union européenne, à ses amours et à ses haines.
L’Union européenne aime le monde Lgbtqi+ et hait tout ce qui s’y oppose. Elle hait cette Hongrie attachée aux valeurs familiales traditionnelles et à l’innocence de l’enfance.
L’aversion des stipendiés bruxellois pour la Hongrie est patente ces derniers jours : Viktor Orbán et sa récente loi protégeant les enfants de la propagande homosexuelle et réprimant la pédophilie lui reste en travers de la gorge et l’a fait s’enflammer de rage. L’Union européenne veut faire plier la Hongrie afin qu’elle renonce à sa loi. De tout son poids technocratique le mastodonte européen, qui est incapable par ailleurs de mettre un terme à l’invasion clandestine, pèse sur le petit pays des Magyars.
La Commission européenne présidée par l’Allemande Ursula von der Leyen menace Viktor Orbán de lancer une procédure d’infraction, par l’envoi d’une première lettre de mise en demeure, contre la Hongrie si la loi est maintenue. Pourtant le premier ministre Orbán avait souligné que les préceptes de la loi « ne concernent pas l’homosexualité », mais « la défense des droits des enfants et des parents. Les lois concernent la manière dont les parents veulent éduquer leurs enfants ». Explications jugées insatisfaisantes par ce bras armé des lobbies lgbt et de la révolution arc-en-ciel qu’est l’UE.
La procédure d’infraction peut conduire à divers types de sanctions ou à la demande explicite de retrait d’une règle, d’une disposition, d’un règlement édicté par l’État auquel la violation est imputée ou par des entités qui lui sont liées. Une fois la lettre envoyée, le pays visé par l’enquête dispose d’un délai de deux mois pour présenter ses observations mais, s’il ne répond pas à la lettre de mise en demeure dans le délai imparti ou fournit à la Commission des réponses jugées insatisfaisantes, ce dernier peut se réserver le droit d’autres actions. La Commission a la possibilité d’émettre l’avis motivé avec lequel il constate comme un fait et avec l’aval de la loi le manquement contesté de l’Etat mis en examen, appelé à remédier au problème.
Lire la suiteLe président tchèque critique le défilé LGBT à Prague: «Si j’étais plus jeune, j’organiserais une contre-manifestation»
Le président de la République tchèque, Miloš Zeman.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias presse Info) — Photo (rognée) : David Sedlecký/Wikimedia Commons
République tchèque – Le président de la République tchèque Miloš Zeman est sous le feu des critiques du lobby LGBT et de ses relais politico-médiatiques après avoir félicité la Hongrie pour sa décision de protéger les enfants contre l’idéologie homosexuelle et transgenre.
Lors d’une récente interview sur CNN Prima News, le président Zeman a exprimé son soutien au Premier ministre hongrois Viktor Orbán et à la nouvelle législation, qui interdit la diffusion de matériel pornographique ou de contenu décrivant l’homosexualité ou le transgenre aux mineurs de moins de 18 ans.
Après avoir adopté la législation, Orbán a été critiqué à plusieurs reprises par divers politiciens européens pour sa tentative de protéger les enfants de la propagande LGBT. L’UE a menacé d’« enquêter » sur la nouvelle législation.
C’est donc maintenant au tour du président tchèque Zeman d’être pris pour cible et critiqué en raison de ses opinions insoumises aux diktats du Nouvel Ordre Mondial. Lors des élections de 2018 en République tchèque, la BBC l’avait déjà fortement critiqué en tant que « président politiquement incorrect » après avoir mis en garde contre les effets de l’immigration musulmane.
« Viktor Orbán dit qu’il n’est pas contre les homosexuels, mais qu’il est contre la manipulation non seulement des parents, mais aussi des enfants dans l’éducation sexuelle », a déclaré Zeman.
« Je ne vois aucune raison d’être en désaccord avec lui, car je suis complètement agacé par les suffragettes, le mouvement Me Too et la Prague Pride », a-t-il poursuivi.
« Si vous subissez une opération de changement de sexe, vous commettez essentiellement un crime d’automutilation », a déclaré Zeman. « Chaque opération est un risque et ces personnes transgenres sont pour moi dégoûtantes. »*
Le président tchèque a ajouté que la prochaine marche de la « fierté » homosexuelle à Prague représente une petite minorité de gens qui tentent de se mettre au-dessus des autres. Il a déclaré que, s’il était plus jeune, il organiserait une contre-manifestation.
*Sa façon de s’exprimer n’est peut-être pas très charitable — si son propos vise la personne et non seulement la réalité du transgenrisme, c’est-à-dire un corps mutilé, ce qui est effectivement répugnant. — A. H.
«Les rouleaux compresseurs libéraux roulent à nouveau contre la Hongrie», qui interdit l'endoctrinement LGBT des enfants
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
En réaction à l’assaut qui redouble de rage contre la Hongrie, tant mené par les médias que les personnalités ou les politiciens européens face à la nouvelle loi hongroise qui interdit la propagande LGBT auprès des enfants, notamment à l’école, Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, réplique que son pays protège les enfants et les droits parentaux, selon LifeSiteNews :
« Les rouleaux compresseurs libéraux sont une fois de plus à l’œuvre contre la Hongrie », affirme-t-il. « Ils tirent maintenant la sonnette d’alarme dans toute l’Europe au sujet des nouvelles lois hongroises visant à punir sévèrement les pédophiles et à protéger nos enfants. »
« L’éducation dans les écoles ne doit pas être en conflit avec la volonté des parents », poursuit-il. « Elle doit tout au plus être supplétive, sa forme et son contenu doivent être clairement définis, et elle doit être soumise au consentement des parents. »
« Les parents s’attendent également, à juste titre, à ce que sur les plateformes utilisées par nos enfants, la pornographie, la sexualité pour elle-même, l’homosexualité et les programmes de changement de sexe ne soient pas disponibles », déclare Orban. « Ces restrictions doivent également être définies avec une précision chirurgicale ».
La Hongrie interdit la promotion de l’homosexualité et du transgenrisme auprès des enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
La Hongrie a adopté aujourd’hui à son parlement de Budapest une loi dirigée contre la pédophilie et interdisant, entre autres, le fait de montrer de la pornographie aux mineurs (moins de 18 ans) et de promouvoir l’homosexualité ou le transgenrisme auprès de ceux-ci, rapporte LifeSiteNews :
Un projet de loi interdisant de montrer du contenu pornographique ou du matériel encourageant l’homosexualité et le transgenrisme aux mineurs de moins de 18 ans.
La mesure, proposée par le parti Fidesz du Premier ministre Viktor Orbán, interdit explicitement « le contenu qui dépeint la sexualité pour elle-même, ou qui encourage ou montre des déviations de l’identité du sexe de naissance, [comme] le changement de sexe ou l’homosexualité ».
La nouvelle loi prohibe la propagande LGBT dans l’enseignement scolaire, souligne le Visegrád Post :
Mais ce qui a suscité le boycott de l’opposition et la mobilisation de la militance LGBT, c’est que, pour protéger les mineurs, cette loi vise aussi à interdire et réprimer la propagande homosexuelle à destination des enfants. Ainsi, la promotion et l’affichage — y compris de manière indirecte par la publicité —, vis-à-vis de mineurs, de l’homosexualité ou des pratiques de « changement de sexe » seront interdits. En conséquence, toute propagande LGBT sera totalement exclue des établissements scolaires.
Oui, quelques milliers de militants LGBT, appelés aux armes par des organismes dont Amnesty International de Soros, ont manifesté sur la Place Kossuth devant le Parlement hongrois à Budapest.
Avec des lois telles que celle-ci, le pays va être plus sûr pour les enfants.