Des élèves de la maternelle au Canada reçoivent un devoir promouvant la masturbation
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bernardbodo/Adobe Stock
16 mai 2022, Alert Bay, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — De jeunes enfants d’une école primaire de la Colombie-Britannique ont reçu un devoir qui pourrait les encourager à une activité sexuelle solitaire.
La feuille de travail leur dit que « certains enfants aiment toucher les parties intimes de leur corps » et leur demande quels sont les lieux « privés » à la maison où ils peuvent, eux aussi, se toucher.
Les Libs of TikTok, un compte de média social populaire qui surveille les activités de gauche, ont rapporté que le devoir scandaleux a été donné après qu’une image du devoir eût été publiée sur Facebook.
La page du devoir est tirée d’un livre intitulé Body Smart : Right from the Start et demande aux enfants : « faire un dessin des lieux privés où tu peux toucher ton pénis ou ta vulve si tu le veux ».
Sur la même page, il est également écrit : « Toutes les familles ont des règles différentes concernant la masturbation (toucher ses propres parties intimes). Parle avec les adultes en qui tu as confiance des règles de ta famille ».
Le livre pro-masturbation infantile serait écrit pour des enfants de 3 ans, selon un site internet de revue d’éducation sexuelle.
Selon Libs of TikTok, l’auteur du livre ─ Kerri Isham ─ soutient la promotion de la masturbation auprès des tout-petits sur Facebook.
Isham a défendu le livre en disant qu’il ne fait pas directement la promotion de l’activité sexuelle auprès des enfants.
La sexualisation des enfants a fait la une des journaux depuis qu’il a été révélé que Disney a un programme secret pour promouvoir des contenus LGBT auprès des enfants. En outre, les activistes politiques de gauche se sont mis en colère après l’adoption par la Floride d’une loi protégeant les enfants contre les contenus sexualisants dans les écoles primaires publiques.
Un jeune adulte sur 12 au Royaume-Uni s’identifie comme « LGB »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Paolese/Adobe Stock
Pourquoi s’acharner à combattre activement et sans relâche l’intégration de l’idéologie LGBT dans l’éducation scolaire des enfants ? Pourquoi est-ce si important ?
Un article récent de LifeSiteNews rapporte que « De nouveaux chiffres de l’Office britannique des statistiques nationales (ONS) montrent que la proportion de personnes au Royaume-Uni âgées de 16 à 24 ans s’identifiant comme “LGB” en 2020 était de 8 %, soit près de 1 sur 12. »
8 % ne sont pas un pourcentage insignifiant. Même s’il avait été seulement 1 %, la gravité n’aurait pas changé. Ce sont de nombreuses personnes affectées, la plupart étant sûrement inconscients de leur erreur, qui adhèrent aveuglement à une idéologie destructrice ; une idéologie qui prône avant tout le désordre.
« Les résultats de l’enquête annuelle sur la population ont montré que le groupe des 16 à 24 ans contient la catégorie unique la plus élevée d’individus s’identifiant comme “LGB” » note le site de nouvelles pro-vie.
Au fond, est-ce surprenant que les jeunes soient les plus atteints puisque selon NBC News, depuis 2020, « L’éducation sexuelle inclusive LGBTQ est désormais obligatoire dans tous les lycées d’Angleterre. À partir de ce mois-ci, tous les adolescents anglais découvriront la santé sexuelle et les relations positives des lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et homosexuels. »
D’où l’importance d’une éducation saine et solide, d’une formation qui trace un chemin clair vers le Vrai, le Bon, et le Beau, et non un endoctrinement qui oriente vers le désordre.
Ceux qui combattent bec et ongles l’idéologie LGBT, spécialement dans les programmes éducatifs, exagèrent ? Nous n’avons qu’à constater les résultats visibles et dévastateurs de tels programmes dans les pays qui les appliquent ; des résultats qui ne sont guère prometteurs pour les bâtisseurs de demain et l’avenir des pays.
La Floride enlève des avantages fiscaux à Disney
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : Jrobertiko/Wikimedia Commons
C’est la guerre entre les républicains de Floride et Walt Disney. La pomme de la discorde : le soutien apporté à la culture gay par la société de divertissement pour enfants et jeunes.
Walt Disney devra dire adieu à son statut si particulier de Floride. Cela a été décidé par le gouvernement de Floride après l’opposition du géant à la loi interdisant l’enseignement du genre dans les écoles primaires.
La zizanie naît de la loi voulue par les républicains qui interdit la discussion en classe sur les questions liées à « l’identité de genre » dans les écoles primaires de l’État et que les progressistes ont surnommée « Don’t say gay » (Ne dit pas gay).
Sous la pression des associations LGBTQ et des démocrates, Disney a officiellement contesté la loi ces dernières semaines et promis de se battre pour l’abroger, expliquant que l’objectif du géant est de la faire « supprimer ».
En réponse, le gouverneur de Floride DeSantis a lancé une contre-attaque. Les législateurs de Floride ont voté pour priver Walt Disney de son statut spécial d’autonomie gouvernementale au milieu d’une confrontation politique entre l’entreprise et le gouverneur. Le statut conférait à Disney le pouvoir de prélever des impôts, construire des routes et contrôler les services publics sur le terrain inhérent à son parc à thème.
Connu sous le nom de Reedy Creek Improvement District, ce statut spécial est né à la suite d’un accord de 1967 entre l’État et la Walt Disney Company. Il permettait à l’entreprise de fonctionner comme une véritable administration municipale, avec son propre conseil de surveillance : cela signifie que le géant aurait même pu construire son propre aéroport ou une centrale nucléaire s’il le voulait.
Lire la suiteDeSantis signe une loi qui permettra aux parents de savoir ce qui est enseigné dans les écoles de Floride
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
29 mars 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé vendredi une loi qui garantit que les parents peuvent voir quel matériel est utilisé dans la classe de leurs enfants.
Les conseils scolaires doivent tenir des réunions ouvertes où le public peut commenter le matériel pédagogique.
Le projet de loi HB 1467 exige que les districts scolaires « permettent l’accès à tout le matériel [pédagogique]... au moins 20 jours civils avant que le conseil scolaire du district ne prenne une mesure officielle sur ce matériel », selon un résumé de la législation.
Elle exige également que le ministère de l’Éducation de l’État « publie et mette à jour une liste du matériel [pédagogique] qui a été supprimé ou abandonné par les conseils scolaires de district à la suite d’une objection et diffuse la liste aux districts scolaires pour qu’ils en tiennent compte dans leur sélection de matériel pédagogique ».
Les bibliothèques scolaires doivent également veiller à ce que des documents adaptés à l’âge et non pornographiques soient disponibles et s’assurer que les parents puissent savoir ce qui est disponible pour leurs enfants. « Chaque école primaire publique est tenue par le projet de loi de publier sur son site Web la liste de tous les livres et documents conservés dans la bibliothèque de l’école ou requis et utilisés dans le cadre d’une salle de classe », indique le résumé de la législation fourni par le Sénat de Floride.
« Les livres obligatoires doivent être exempts de pornographie et de matériel nuisible interdit aux mineurs, adaptés aux besoins des élèves et appropriés au niveau scolaire et au groupe d’âge », indique le résumé.
Lire la suitePatrick Brown et Jean Charest se lancent dans la course à la chefferie 2022 du PCC
Jean Charest, ex-premier ministre libéral du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Martin Sauvageau/Flickr
Deux candidats ont rejoint ceux déjà en lices pour la course à la chefferie du Parti conservateur du Canada Patrick Brown et Jean Charest concourront avec la pro-vie Leslyn Lewis et le pro-avortement Pierre Poilievre.
Si la réputation de Jean Charest n’est sans doute plus à faire, nous en parlerons quand même plus loin, Patrick Brown n’est sûrement pas aussi connu des pro-vie que ce premier.
Lire la suitePatrick Brown a été notamment chef du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario de mai 2015 à 25 janvier 2018. Pour atteindre ce poste il a fait montre de sentiments susceptibles de plaire aux conservateurs sociaux… avant de tourner veste une fois élu. Selon Jack Fonseca de Campaign Life Coalition (CLC) :
Brown peut être caractérisé comme un politicien mutant. Lorsqu’il fait appel aux électeurs conservateurs dans les courses à la direction, il se présente comme un conservateur bleu profond et donne l’impression qu’il soutient des politiques conservatrices sur le plan social et fiscal. (En ce moment, il se présente comme un champion de la liberté religieuse.)
Mais une fois au pouvoir, et lorsqu’il perçoit qu’il n’a plus besoin de cet électorat, Brown se métamorphose en libéral rouge flamboyant et commence à copier toutes les politiques gauchistes de Justin Trudeau et des libéraux provinciaux.
Un exemple concret est le revirement honteux de Brown sur le programme d’éducation sexuelle radical du gouvernement libéral de Kathleen Wynne pour les enfants dès l’âge de six ans.
M. Brown a remporté la direction du Parti conservateur de l’Ontario en 2015 en grande partie en vendant des cartes de membres à des parents auxquels il a promis d’abroger le programme d’éducation sexuelle détesté. Il a même pris la parole lors d’une grande manifestation des droits des parents contre le programme d’études à Queen’s Park. Peu après sa victoire, cependant, il s’est prononcé en faveur du programme libéral d’éducation sexuelle pour enfants et, telle une vipère, s’est retourné contre les parents qui l’avaient élu, les traitant d’« homophobes ».
Au cours de cette course à la direction du PC, M. Brown s’est également présenté comme étant « solidement pro-vie » et « pro-mariage traditionnel », soulignant son bilan parfait de votes pro-vie en tant que député fédéral.
Mais après avoir remporté la course à la direction, il a brusquement abandonné ces positions, déclarant son soutien au « mariage » homosexuel, défilant dans une parade de la fierté gaie, et exprimant son engagement indéfectible envers l’avortement, qu’il a appelé par euphémisme « le droit des femmes de choisir ».
[...]
Brown est complètement pro-avortement et anti-famille. Il reçoit définitivement une cote feu rouge, et nous demanderons instamment aux partisans de Campaign Life Coalition de ne pas le classer sur leurs bulletins de vote.
Le nouveau film pour enfants Buzz l'Éclair de Pixar comprendra une scène de baiser entre personnages de même sexe
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie
21 mars 2022 (LifeSiteNews) — En phase avec l’agenda LGBTQ, le nouveau film pour enfants de Pixar de la série Toy Story, Buzz l'Éclair (Lightyear), devrait comporter une scène de baiser « homosexuel ».
Selon Variety, Buzz l'Éclair devrait rétablir une scène de baiser entre deux personnages féminins de même sexe qui avait été initialement supprimée du film par les dirigeants de Disney. La décision de « rétablir » la scène aurait été prise après que les employés se soient indignés que le PDG de Disney, Bob Chapek, n’ait pas pris une position plus ferme contre le projet de loi de Floride sur les droits parentaux en matière d’éducation.
Dans une déclaration que Variety attribue aux « employés LGBTQIA+ de Pixar et à leurs alliés », les travailleurs pro-LGBT affirment qu’en plus d’être indignés par la conduite de Chapek concernant le projet de loi de Floride, ils ont également été constamment frustrés par les dirigeants de Disney en général, alléguant qu’ils ont coupé « presque chaque moment d’affection ouvertement gay » des films de Pixar.
La frustration des travailleurs à l’égard de Chapek en particulier vient de ce qu’ils considèrent comme une condamnation insuffisante du projet de loi sur l’éducation de Floride, qui vise à protéger les jeunes écoliers contre l’enseignement d’une idéologie sexuelle radicale. Jusqu’à présent, Chapek s’est non seulement opposé publiquement au projet de loi, mais il a même promis 5 millions de dollars à la Human Rights Campaign et à d’autres groupes des « droits » LGBT.
Le projet de loi lui-même, qui a été surnommé le projet de loi « Don't Say Gay » par les critiques pro-LGBT, n’interdit pas réellement l’utilisation du mot « gay », mais cherche plutôt à protéger les enfants de troisième année ou moins contre l’enseignement d’idées radicales concernant l’« identité » de genre et l’« orientation » sexuelle.
Lire la suiteDeSantis reproche à Disney de s’opposer au projet de loi interdisant l’« éducation sexuelle » radicale des jeunes enfants
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : State of Florida/Wikimedia Commons
11 mars 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a riposté jeudi au PDG de Disney, Bob Chapek, lui reprochant d’avoir critiqué publiquement un projet de loi de Floride qui vise à protéger les jeunes enfants de l’idéologie sexuelle radicale dans les écoles.
Lors d’un événement organisé le 10 mars à Orlando, en Floride, où se trouve l’immense complexe Disney World de 27 000 acres, le gouverneur républicain a déclaré que l’« État ensoleillé » ne fonderait pas sa politique sur « les rêveries des grandes sociétés » et a critiqué la méga-corporation pour ses relations avec le régime brutal du Parti communiste chinois (PCC).
« Voici donc ce que je peux vous dire : dans l’État de Floride, nous n’allons pas permettre que l’on injecte du transgenrisme en maternelle », a déclaré DeSantis dans une vidéo obtenue par Fox News Digital.
« Les enfants de première année ne devraient pas se voir imposer l’idéologie du genre “woke” dans leurs programmes, et c’est ce que nous défendons, parce que nous défendons les enfants et les parents », a déclaré DeSantis, qui a suscité un large soutien parmi les conservateurs pour avoir combattu les mesures COVID-19 liberticides, soutenu l’application de la loi, favorisé les mesures limitant l’avortement et travaillé à déraciner les idéologies radicales de la salle de classe.
« Je peux vous dire ceci : la probabilité que je renonce à mon engagement envers les étudiants et à mon engagement envers les droits des parents simplement à cause de récits médiatiques frauduleux ou de pressions exercées par des sociétés malveillantes est nulle », a déclaré M. DeSantis.
Lire la suiteDes enfants payés 100 $ pour assister à un cours LGBTQIA+ au Texas
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Toni Reed/Unsplash
Le mensonge LGBT ne s’infiltre pas seulement dans les programmes scolaires. Il ne s’infiltre pas seulement dans le langage et le « politiquement correct ». Il commence à être un produit offert aux enfants qui sont payés pour l’écouter, du moins au Texas.
International Family News rapporte que, « Dans un message Twitter (supprimé depuis) du 18 février 2022, le système de bibliothèques de la ville d’Austin a annoncé qu’il parrainait un “Spring Break Sex-Ed Camp” (Camp d’éducation sexuelle des vacances de printemps, NDLR) pour les adolescents »
De nombreux commentaires négatifs ont suivi et le tweet a été supprimé rapidement. Le message annonçait : « Appel à tous les élèves du secondaire. Soyez PAYÉ pour apprendre l’éducation sexuelle pendant les vacances de printemps ! Des cours gratuits sur ce cours basé sur des preuves et adapté aux LGBTQIA+, dirigé par @AustinPublicHealth, sont organisés dans plusieurs bibliothèques ! Les places sont LIMITÉES alors inscrivez-vous dès maintenant… »
« Les adolescents peuvent être payés 100 $ (plus le déjeuner) pour apprendre l’éducation sexuelle. »
On paie les enfants pour adhérer aux erreurs de l’idéologie LGBT et leur vision de la réalité est ainsi complètement déformée. Ensuite devrait-on s’étonner des taux de suicide élevés ou de l’effondrement visible des familles ?
« Le système de bibliothèques de la ville d’Austin, au Texas, essaie de préparer nos enfants en leur promettant de les payer s’ils assistent à des cours d’endoctrinement radical sur le sexe et les LGBT. »
Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Les combattants pour un monde sans loi naturelle, sans Dieu, et sans famille profitent des années les plus critiques et les plus fragiles de l’enfance pour enraciner leurs propos néfastes.
Les mots « père » et « mère » sont « offensants » pour l’administration Biden
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Yuttan studio/Adobe Stock
L’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a émis des lignes directrices au personnel travaillant dans le secteur de l’éducation pour « intégrer les considérations … LGBTQI+ dans l’élaboration de programmes ».
Le document de 31 pages énumère les « Meilleures pratiques pour l’inclusion LGBTQI+ dans l’éducation », dont l’une est de « promouvoir la connaissance de la terminologie préférée par les étudiants et éducateurs LGBTQI + et expliquer quels termes sont considérés comme offensants ou inappropriés dans un milieu scolaire. » Cela inclut « père » et « mère » (qui ne seraient pas exactes pour des étudiants avec des parents de même sexe).
Cette tentative d’interdire des mots précis n’est qu’une tentative volontaire de supprimer les idées représentées par les mots. Le mot « père » et « mère » sont bannis sous les « lois » d’une fausse idéologie qui cherche à abolir le sexe, la nature, et la structure de la famille.
Comme le cardinal Robert Sarah l’a rappelé au cours d’un entretien avec Nicolas Diat, l’un des éléments déclencheurs de l’effondrement spirituel du monde est le « refus de la paternité ».
Il précise que le « refus de la paternité est au fond le refus de Dieu. Je discerne au fond des cœurs occidentaux un profond refus de la paternité créatrice de Dieu. Nous recevons de lui notre nature d’homme et de femme. Cela devient insupportable aux esprits modernes … Même la nature humaine, parce qu’elle est un don de Dieu, devient insupportable à l’homme d’Occident. »
Notre société éprouve de la répulsion pour la nature humaine précisément parce qu’elle déteste l’ordre établi par son Créateur. Elle désire arracher aux enfants le point de repère et la fondation primordiale qu’est l’ordre naturel par des programmes « éducatifs » LGBT, et par des modifications du vocabulaire pour satisfaire le bilan de leur idéologie destructrice.
« Les barbares sont tous ceux qui haïssent la nature humaine, tous ceux qui bafouent le sens du sacré, tous ceux qui méprisent la vie » affirme le cardinal Sarah. Et notre société ne fait pas exception à cette triste réalité.
La Hongrie annonce un référendum sur la loi contre la promotion LGBT et la pédophilie
Parlement hongrois à Budapest, sur le Danube.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Comofoto/Adobe Stock
7 février 2022, Budapest, Hongrie (LifeSiteNews) — La Hongrie a annoncé la tenue d’un référendum sur une loi récente qui réprime la pédophilie et la promotion de l’idéologie LGBT auprès des enfants, alors que l’Union européenne a engagé une action en justice pour saboter la législation.
Le parti hongrois au pouvoir, le Fidesz, a déclaré le mois dernier que le vote aurait lieu le 3 avril, le même jour que les élections législatives du pays. Le premier ministre Viktor Orbán brigue un cinquième mandat et se présente contre un opposant pro-LGBT soutenu par les mondialistes.
La loi hongroise sur la protection de l’enfance, adoptée en juin 2021 et entrée en vigueur le mois suivant, interdit les thèmes LGBT dans le matériel scolaire et le contenu des médias, y compris les publicités. La loi interdit explicitement « le contenu qui dépeint la sexualité pour elle-même, ou qui promeut ou affiche des déviations de l’identité du sexe de naissance, le changement de sexe ou l’homosexualité ».
La mesure renforce également les sanctions pour pornographie enfantine, crée un nouveau registre des délinquants sexuels et limite l’éducation sexuelle aux organisations approuvées par le gouvernement hongrois.
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