Le gouvernement d'Ontario consultera les parents au sujet de l'éducation de leurs enfants
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Si seulement le gouvernement du Québec pouvait être aussi respectueux du rôle qu'ont les parents dans l'éducation de leurs enfants... Toujours est-il que le site du gouvernement d'Ontario nous apprend :
Lire la suite«Une charte des droits des parents sera élaborée par le ministère de l’Éducation et mise en œuvre par l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario.
[...]
« Nous avons promis de mettre en place un système éducatif qui accordera la priorité aux droits des parents tout en opérant un retour à l'essentiel pour ce qui est de l'enseignement des matières fondamentales comme les mathématiques, a déclaré le premier ministre. Aujourd'hui, nous sommes heureux de vous dire : choses promises, choses dues.»
Le recrutement et le conditionnement de nos enfants
Par Austin Ruse, président de C-Fam — traduit par Campagne Québec-Vie
Ceci est la traduction d’un courriel envoyé par C-Fam, c’est pourquoi il s’adresse au lecteur à la 2e personne du pluriel. — CQV
Cher ami,
Je me suis à un entretenu avec une jeune fille de 14 ans il y a quelques mois, et elle m’a mis au courant de ses batailles contre la gauche sexuelle de son collège.
Elle m’a raconté l’histoire d’un garçon qui exigeait un baiser d’un autre garçon. Quand elle a défendu le garçon menacé, on l’a traité d’intolérante.
Elle m’a parlé de deux de ses amies s’embrassant sans vergogne devant elle.
Elle m’a décrit l’intimidation dont elle avait été la cible à l’école pour avoir porté un chandail pro-vie.
Lire la suiteÉducation à la sexualité et « aux relations égalitaires » imposées dès la garderie
Par Pour une école libre — Photo : Carole LR/Pixabay
Communiqué de la Presse Canadienne (avec le manque de distance habituelle envers les mesures gouvernementales imposées, pardon, offertes aux enfants captifs) :
Ce ne sont pas que les écoles primaires et secondaires du Québec qui offriront [novlangue pour « imposeront », car normalement on peut refuser une offre] cet automne des cours d’éducation sexuelle, certaines garderies et maternelles accueilleront [imposeront] un programme similaire spécialement adapté aux tout-petits.
Quelque 1200 enfants âgés de 0 à 5 ans seront ainsi exposés à certaines notions touchant à la sexualité et aux relations égalitaires dans le cadre d’un projet-pilote déployé par la Fondation Marie-Vincent.
Si cette première phase d’implantation est couronnée de succès [elle le sera, car il n’y a aucun objectif vérifiable défini à l’avance et vérifié par la suite par des gens qui ne sont pas juges et parties du projet, ces innovations du gouvernement sont généralisées peu d’années après leur introduction. À moins que la mesure du succès soit le silence des parents.], le projet Lanterne/Awacic pourrait par la suite être étendu à davantage de garderies, maternelles et centres communautaires.
Lire la suiteBravoure des parents face à une école primaire qui voulait faire participer tous les élèves à une Gay Pride LGBT
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Les enfants accueillis à l’école primaire de Heavers Farm dans la banlieue londonienne de Croydon (South-East London) ont tous moins de 11 ans ; certains sont même encore à l’âge de la maternelle. Le tabloïde conservateur britannique Daily Mail cite d’emblée l’exemple d’un petit garçon de quatre ans — oui, quatre ans — passionné d’ours, de dessins animés et de football, pour dénoncer l’activisme LGBT de la directrice de Heavers Farm, Susan Papas, qui prétendait célébrer le mois de la fierté LGBT dans le cadre scolaire et qui voulait même faire participer tous les élèves à une Gay Pride le 29 juin. Les parents du petit Tristan Anderson en ont été consternés, et ils s’en sont ouverts au quotidien. Mais ils n’étaient pas les seuls. Le Royaume-Uni a beau être en pointe pour la défense de la « diversité », les parents de jeunes enfants ne sont pas d’accord face à cette tentative d’endoctrinement.
Le jour de la marche, vingt enfants ne sont pas venus en cours, leurs parents ayant prévenu la direction de leur désaccord. 90 enfants supplémentaires étaient également absents, cette fois sans la moindre explication, mais pour une raison évidemment identique.
La directrice d’une école primaire a voulu envoyer des enfants de 4 ans à une Gay Pride
Tout a commencé avec la volonté de la directrice de mettre en place nombre d’activités et de cours en relation avec la « Pride Month », tout le mois de juin étant placé dans l’école sous le signe non seulement de la lutte contre l’homophobie — la chose est encore d’actualité, mais de fait, dépassée — mais aussi de mise en valeur des sexualités et des familles « différentes ».
Lire la suiteDoug Ford annulera le cours de sexualité des libéraux
Par Le Peuple — Voici la ou les sources de cet article : CBC News et The Toronto Star
On reprochait notamment à ce cours d’enseigner aux enfants des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité [très loin de la réalité — CQV].
Mercredi, la ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a confirmé que le gouvernement progressiste-conservateur de Doug Ford allait remplacer l’actuel cours d’éducation à la sexualité, implanté par les libéraux de Kathleen Wynne en 2015, par une mouture plus ancienne datant de 1998. En campagne électorale, le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, avait promis d’abolir ce cours qui a énormément polarisé les électeurs ontariens.
On lui reprochait notamment d’être trop explicite avec de jeunes enfants, mais aussi d’enseigner des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité. Ainsi, dès la fin de leur primaire, on enseignait aux enfants le concept d’« identité de genre », selon lequel une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
Lire la suiteUn nouveau jouet transgenre : vers une confusion grandissante des enfants
Par Patrice-Hans Perrier (Le Peuple) — Sources de l’article : Le Peuple, Le Journal de Montréal, Radio-Canada et Sociologie et transgenres
Des Québécois ont créé un jouet inspiré des poupées russes afin « d’éduquer » les jeunes enfants sur la transsexualité.
Sam est le premier jouet éducatif transgenre au monde et ses promoteurs envisagent d’en produire 500 exemplaires à titre de premier essai. À quel marché est donc destinée cette mirifique poupée ?
Le fantasme de la transphobie
En fait, les promoteurs de Sam estiment qu’il est impérieux d’enrayer une prétendue transphobie, qui frapperait les enfants dès le plus jeune âge, par le biais du jeu comme moteur d’apprentissage. C’est ainsi que l’agence de communication LG2 et l’organisme Enfants transgenres Canada se sont attelés à la tâche de concevoir et de produire un jouet éducatif et un court film d’animation destinés à sensibiliser tous les intervenants à qui l’on destine ce nouvel outil pédagogique.
Bien connectés à de puissants réseaux d’influence, les concepteurs de Sam ont passé le relais à Jacques Pétrin, coordonnateur de la Table nationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie des réseaux de l’éducation, afin, on imagine, qu’il puisse répandre « la bonne nouvelle » dans les milieux de la petite-enfance.
Lire la suiteDoug Ford : nous abrogerons le nouveau programme d’éducation à la sexualité
Douglas Robert Ford Junior (Doug Ford), premier ministre d'Ontario.
La position de [Doug] Ford sur le programme d’éducation à la sexualité imposé par le Parti libéral de l’Ontario (PLO) a contribué à le propulser à la tête du PC. Il sera sous la pression de cette base pour respecter sa promesse électorale de revenir au programme d’éducation sexuelle de la fin des années 1990 « jusqu’à ce que nous puissions mettre en œuvre un nouveau qui soit adapté aux besoins des parents. »
Interrogé sur le programme d’études vendredi, Ford n’a pas défini de calendrier.
« Je peux vous dire une chose : nous l’abrogeons », a déclaré Ford. « Et je vais vous dire une autre chose : nous tenons nos promesses, ce que nous disons que nous allons le faire, nous allons le faire, nous n’allons pas tourner casaque. »
Source : Yahoo
La théorie du genre vise les jeunes enfants
Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Sources de l'article : The Daily Mail, CQV #1, #2, The Times, Le Journal de Montréal et Transgender Child Abuse / Source de la photo : Annimousey, CC0
La machine à diagnostiquer les « enfants transgenres » s’emballe et les conséquences risquent de faire mal.
La théorie du genre progresse à pas de géant au point où les jeunes enfants sont, désormais, exposés à tout un arsenal de propagande visant à leur inculquer des notions qui semblent sorties de nulle part. C'est ainsi que, dès l'âge de trois ans, certains bambins qui peuvent éprouver une hésitation concernant leur identité sexuelle seront confiés à des pédopsychologues et pourront être, dans certains cas, qualifiés d'« enfants transgenres ».
Ce phénomène inquiétant est observé par Jordan Peterson, psychologue clinicien et professeur de psychologie à l'Université de Toronto, un intervenant qui affirme qu'on assiste à une épidémie d'autodiagnostic chez les adolescents et les enfants, voire à une multiplication de pathologies qui étaient rarement détectées dans le passé. D'autres observateurs craignent, par ailleurs, qu'un effet de mode finisse par « contaminer » les enfants et les adolescents au point où les troubles identitaires et comportementaux se mettent à foisonner.
Un effet de mode
C'est en Angleterre que le phénomène fait florès, au point même où près de 2 000 enfants ont été suivis, en 2016, par des médecins à ce sujet. On parle d'une tendance qui a été multipliée par 20 depuis 2009, une véritable épidémie ! Le Gender Identity Development Service (GIDS), la plus importante institution de ce genre en Angleterre, a publié des statistiques qui démontrent que pas moins de 1 986 enfants, âgés de moins de 18 ans, ont « bénéficié » de traitements spéciaux cette année-là.
Lire la suiteLa transsexualité sera abordée avec les jeunes vers 12 ans
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Sources de l’article : La Presse, Le Journal de Montréal n° 1, n° 2, 98,5 FM, Table nationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie des réseaux de l’éducation (p. 7) et MESS (pp. 3 et 11) — Photo : Pxfuel
Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, a affirmé que les exemptions au cours d’éducation sexuelle seraient très rares.
Le Journal de Montréal a appris que le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES), dans le cadre de son cours de sexualité, comptait bel et bien parler de transsexualité aux jeunes — et ce, vers douze ans, alors qu’ils entrent dans l’adolescence.
Le gouvernement Couillard, dans des documents rendus publics, explique que l’une de ses missions est de « prendre en compte la diversité sexuelle et la pluralité de genre ». L’objectif est d’instaurer un « respect de la diversité sexuelle ».
Si on ignore la forme exacte que prendra cet enseignement, on sait que le MEES compte des représentants à la Table nationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie des réseaux de l’éducation. En janvier, cette dernière a publié un guide dans lequel elle recommande de normaliser le concept d’« identité de genre » auprès des jeunes.
Lire la suiteQuébec — Des parents inquiets du contenu du cours d’éducation à la sexualité
Même si le ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec affirme que les adolescents sont favorables à l’implication de leurs parents dans ce domaine de la sexualité, le ministre de l’Éducation ne veut pas impliquer les parents dans ce processus éducatif. Éric Lanthier en parle :
Lettre de Jean-Léon Laffitte, Président de l’Association des parents catholiques du Québec, parue dans Le Droit de Gatineau :
« Le docteur Réjean Thomas a rappelé la montée fulgurante des maladies transmissibles sexuellement lors d’une entrevue à l’émission Les Francs-tireurs, sur les ondes de Télé-Québec, le 1er novembre dernier. À son avis, cela est dû en grande partie à l’absence de cours d’éducation sexuelle dans nos écoles. [Note du carnet : cette explication nous semble simpliste, on a assisté à une hausse des MTS dans des États et provinces qui enseignent l’éducation à la sexualité (...) En outre, les nouveaux cours d’éducation à la sexualité proposés au Québec vont beaucoup plus loin que l’enseignement de la prophylaxie...] Et ce dernier d’ajouter que ce qui le choquait le plus, c’était l’opposition de groupes de parents à la mise en place de ce cours.
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