Une éducation à la sexualité provenant d'institutions internationales : la pourriture à l'échelle mondiale
Jean-François Denis de ThéoVox Actualité.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo de ThéoVox Actualité
Voici une intéressante vidéo, réalisée par Jean-François Denis de ThéoVox Actualité, qui nous parle de l'influence de l'ONU, l'UNESCO, l'UNICEF et l'OMS sur l'éducation à la sexualité partout dans le monde. Le répugnant cours d'éducation à la sexualité du Québec semble suivre les directives de ces divers organismes.
Un cours d'éducation sexuelle nauséabond
Par Pour une école libre au Québec — Lettre de la ESCC au ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Sébastien Proulx
(ESCC) — Monsieur le ministre, Le Conseil catholique d'expression anglaise (ESCC) a été fondé en 1981 et représente les intérêts de presque 400 000 catholiques anglophones au Québec. Au fil des ans, le Conseil s’est prononcé sur un large éventail de questions relatives à l’éducation au Québec, notamment la déconfessionnalisation et, plus récemment, le programme d’Éthique et culture religieuse (ÉCR). Le Conseil d’administration de l’ESCC désire porter à votre attention ses préoccupations concernant le programme d’éducation sexuelle introduit comme projet pilote dans 19 écoles du Québec en septembre 2015 et qui doit devenir obligatoire dans toutes les écoles du Québec en 2017. Nous tenons d’abord à féliciter le ministère de l’Éducation de se préoccuper de la santé physique et psychosociale de la jeunesse du Québec. L’environnement social actuel présente plusieurs tendances inquiétantes, notamment l’omniprésence d’attitudes et de comportements qui semblent normaliser l’exploitation et l’agression sexuelles, et la prévalence croissante des ITSS [infections sexuelles] chez les jeunes du Québec. C’est sans doute pour contrer ces tendances que le Ministère a jugé urgent de mettre en place un programme qui permettra d’aborder ces questions. Tout en comprenant bien les intentions du Ministère, le Conseil éprouve néanmoins de sérieuses inquiétudes touchant la méthode et les postulats sous-jacents du programme.
Nous sommes préoccupés par l’approche multidisciplinaire de l’éducation sexuelle telle que présentée pour le nouveau programme. Le programme encourage non seulement une méthode transversale, mais également l’implication de tous les enseignants, administrateurs et membres du personnel de soutien dans sa mise en œuvre. En théorie, on peut penser qu’une telle approche est plus globale et donc plus efficace, mais en pratique, nous estimons qu’elle mènera à une dilution du programme et à son échec. Il nous paraît illogique, sur le plan pédagogique, de (1) confier l’enseignement de la matière à des enseignants spécialisés dans d’autres disciplines et ayant peu de formation, sinon aucune, en éducation sexuelle et (2) de répartir l’enseignement à travers les disciplines sans jamais vraiment se centrer par conséquent sur la matière elle-même. Nous sommes également préoccupés par le fait que la matière est intégrée dans plusieurs disciplines différentes au lieu d’être présentée de façon distincte et séparée, ce qui, pour les parents, rend extrêmement difficile, sinon impossible, de suivre l’exposition de leur enfant à cette matière.
Lire la suitePour le gouvernement d’Alberta les écoles chrétiennes ne peuvent affirmer que l’autorité de Dieu surpasse celle de l'homme
Par Jonathon Van Maren (The Bridgehead) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le gouvernement néo-démocrate d’Alberta a pris la décision suivante contre les écoles religieuses de la province — et cette fois-ci, ils ont cessé de prétendre que leurs attaques contre les écoles confessionnelles étaient autre chose qu’une grossière intolérance. À la fin du mois d'août, le ministre de l'Éducation, David Eggen, a annoncé que le financement serait enlevé aux écoles chrétiennes qui refusent d'accepter les Clubs d’alliance gay-hétéro (Gay Straight Alliance). Le Justice Center for Constitutional Freedoms a publié la description des changements que le gouvernement demande aux écoles chrétiennes:
Le Justice Center for Constitutional Freedoms a publié aujourd’hui [28 septembre] une lettre envoyée aux écoles indépendantes par Curtis Clark, sous-ministre de l’Éducation de l’Alberta, dans laquelle il menaçait de supprimer le financement gouvernemental pour ces écoles indépendantes si elles ne retiraient pas le contenu suivant de leurs politiques « Safe and Caring » (Sûres et bienveillantes) :
- « Nous croyons que les hommes et les femmes ont été créés à l'image de Dieu, à son image, et ont donc une valeur intrinsèque transcendante. » (Cela violerait prétendument le « School Act » (Loi sur les écoles) parce que « peu accueillant, sans compassion et/ou irrespectueux »
Espagne : Danger d'imposition d'une éducation sexuelle selon l’idéologie du genre aux enfants de 6 ans
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Le journal du parti socialiste espagnol OkDiario vient de révéler que la proposition de loi de défense des « droits » homosexuels présentée par l’extrême gauche Podemos, progresse actuellement aux Cortes en Espagne grâce au soutien apporté par le PSOE qui est même en train de la radicaliser par le biais d’une aggravation des sanctions proposées. Les socialistes sont également prêts à imposer l’endoctrinement des enfants dès l’âge de six ans : ils doivent apprendre à s’incliner devant l’idole « LGBT » qui n’est autre que mot de ralliement des partisans de l’inversion totale de la loi naturelle et divine. L’idéologie du genre doit s’inculquer aux enfants dès le primaire pour mieux réaliser cette révolution infernale.
La commission de l’Egalité du congrès espagnole, chargée de faire passer les étapes parlementaires à cette fameuse « Loi LGBTI », se réunit précisément cette semaine pour accélérer le processus après avoir été interpellée par diverses associations se plaignant des « retards » pris. Il y a un an, en septembre 2017, c’est le congrès réuni qui a approuvé la mise du texte à l’ordre du jour ; après divers amendements il est passé en février devant la commission de l’Egalité présidée par une socialiste, Pilar Cancela.
Lire la suiteLe parti qui respecte les droits des parents en matière d'éducation à la sexualité
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici trois vidéos de Patrick St-Onge, candidat de la circonscription Viau pour le Parti conservateur du Québec (PCQ), dans lesquelles il affirme que le PCQ garantirait aux parents le choix en ce qui concerne l'éducation à la sexualité de leurs enfants.
Ayant pris connaissance de ce «cour d'éducation à la sexualité» qui est plutôt un programme de sexualisation précoce, M. St-Onge précise qu'il appuie sa position sur les déclarations de psychologues, de pédopsychiatres et d'éducateurs français, qui déconseillent très fortement la rencontre précoce de l'enfant avec la sexualité adulte ou conçu par des adultes.
Et le candidat de terminer par un appel au électeur de ne pas voter pour quelqu'un mais pour les principes auxquels l'on adhère.
Lire la suiteParti conservateur du Québec : pour la liberté des parents en matière d'éducation sexuelle
Par Pour une école libre — Source de la photo : satyatiwari/Pixabay
Ce carnet n’a pas de préférences pour ce qui est des élections québécoises de 2018, car tous les grands partis dans la course promeuvent des aspects peu recommandables en matières sociétales ou éducatives. Bien évidemment certains partis comme Québec Solidaire ont des programmes plus rédhibitoires que d’autres Voir aussi la fable « Demain, on mange gratis ! »
Les lecteurs de ce carnet pourraient trouver intéressant le fait que le Parti conservateur du Québec (libertarien, très fédéraliste, probilinguisme au Québec, très peu conservateur moral en général) est le seul parti qui ait déclaré que les parents devraient pouvoir ne pas envoyer leurs enfants au cours d’éducation à la sexualité.
Lire la suiteLa théorie du genre fait des ravages
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Source de la photo : Pixabay
La population infantile britannique vit une véritable « désorientation ». En Grande-Bretagne la « théorie du genre » se retrouve sur le banc des accusés !
L’introduction de cette « discipline » idéologique dans l’éducation scolaire est considérée la cause principale de cette inquiétante augmentation de jeunes enfants demandant à « changer de sexe » ces dernières années. C’est le constat qu’a du faire le gouvernement de Teresa May devant cette crise de l’identité sexuelle.
Depuis 2006, imposée par les courants « progressistes », que l’on peut qualifier plus proprement de nihilistes, l’idéologie incriminée est au programme des écoles primaires et secondaires.
Le ministre de la Santé, dans un récent rapport, confirme que le nombre de mineurs ayant l’intention de changer de sexe a fait un bond de 4400 % depuis 2007. Le service de santé britannique précise que ces demandes ont été repoussées par les directions sanitaires. Les enfants, souvent âgés de moins de 10 ans, ont été diagnostiqués comme sujets à de simples « troubles mentaux ». Il leur a été prescrit des traitements psychiatriques et des médicaments anti-schizophrénie.
Lire la suiteÉducation sexuelle : L’expérience à l’école primaire de Jules-Verne est-elle réellement positive ?
Par Solange Lefebvre-Pageau — Ce texte est une réponse à l’article L’expérience positive de l’école Jules-Verne, dont l’auteure est Magdaline Boutros, Le Devoir, 12 septembre 2018.
Suffit-il de reconnaître que les enseignants de l’école primaire Jules-Verne de l’île de Montréal étaient à l’aise avec le contenu du nouveau programme d’éducation à la sexualité et motivés à l’offrir aux élèves, et que les enfants étaient très réceptifs aux enseignements prodigués, pour affirmer que l’expérience de cette école fut positive ?
Permettez-moi d’en douter, moi qui, depuis nombre d’années, ai développé une alternative à l’éducation à la sexualité en milieu scolaire qui a pour nom :
L'éducation de nos enfants et de nos jeunes
à l'intégration de l'amour et de la sexualité.
C’est une éducation fondamentale qui permet à l’être humain de développer la structure interne qui le rendra capable d’assumer son être sexué, de grandir en sagesse et de s’épanouir harmonieusement en s’aimant et en aimant autrui.
Lire la suiteLa perversion obligatoire de nos enfants par l'État commence
Par Paul-André Deschesnes
Au Québec la rentrée scolaire de septembre¹ 2018 sera marquée par l’implantation d’un cours obligatoire d’éducation sexuelle pour tous les enfants de 0 à 16 ans, c’est-à-dire, garderie, maternelle, primaire et secondaire. [Le cours ne sera obligatoire qu’après la maternelle²]
Ce cours très postmoderne avait été implanté en Ontario (province voisine du Québec) par un gouvernement libéral de gauche depuis une décennie. Il avait été dénoncé par beaucoup de parents à cause de son contenu osé et pervers. Heureusement, ce cours vient d’être aboli par le nouveau gouvernement conservateur qui a été élu en juin 2018, mais il sera en vigueur au Québec dès septembre.
Ce cours, étiqueté par plusieurs spécialistes «cours de perversions sexuelles», est promu mondialement par l’ONU et l’UNESCO, sous prétexte que les enfants et les jeunes doivent tout savoir en matière de sexualité.
Ce cours a reçu l’imprimatur et l’approbation officielle des groupes LGBTQ qui font trembler les gouvernements, et même [des membres de²] l’Église catholique, quand il est question de sexualité chez les jeunes.
Lire la suiteLes exemptions au cours d’éducation à la sexualité seront très rares
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de la photo : Pixabay/Auteur : stevebp
Le ministre de l'Éducation, Sébastien Proulx a annoncé que le nouveau cours d'éducation à la sexualité (malsaine), sera enseigné à tous les enfants, de la maternelle jusqu'au secondaire 5, pour un ratio de 5h 15 par année. Le contenu ne sera pas obligatoire à la maternelle. Cependant, «il ne saurait être question qu'un élève en soit privé», car ce malfaisant enseignement repose sur un «large consensus social» au Québec (quand nous a-t-on consultés?). Le Journal de Montréal nous apprend quelle est la teneur du document, envoyé par le ministère de l'Éducation aux commissions scolaires, précisant les conditions pour l'exemption :
«Un parent qui juge que son enfant est trop jeune pour entendre parler de certaines notions en classe n’aurait donc pas droit à une exemption.
[…]
Plusieurs étapes doivent toutefois être franchies avant qu’une demande ne soit acceptée.
Chaque école devra d’abord transmettre aux parents de l’information sur les contenus qui seront enseignés et répondre à leurs questions.
Les parents qui souhaitent toujours par la suite retirer leurs enfants de cet enseignement devront rencontrer la direction, avant de faire une demande écrite.
Ceux qui invoquent des motifs psychologiques devront fournir un avis produit par un professionnel. Ceux qui craignent plutôt que ce contenu ne porte atteinte aux droits et libertés de leurs enfants devront produire une déclaration sous serment - faite en présence d’un avocat ou d’un notaire par exemple - en précisant de quelle manière ce droit ou cette liberté serait entravé.
Si le motif est jugé "sérieux", la direction d’école pourra alors accorder l’exemption.
Il s’agira toutefois de "cas d’exception" puisque la procédure est "stricte", explique-t-on au cabinet du ministre.
"L’objectif, c’est qu’il n’y ait pas d’exemption", précise son attachée de presse, Marie Deschamps.»