Espagne : Danger d'imposition d'une éducation sexuelle selon l’idéologie du genre aux enfants de 6 ans
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Le journal du parti socialiste espagnol OkDiario vient de révéler que la proposition de loi de défense des « droits » homosexuels présentée par l’extrême gauche Podemos, progresse actuellement aux Cortes en Espagne grâce au soutien apporté par le PSOE qui est même en train de la radicaliser par le biais d’une aggravation des sanctions proposées. Les socialistes sont également prêts à imposer l’endoctrinement des enfants dès l’âge de six ans : ils doivent apprendre à s’incliner devant l’idole « LGBT » qui n’est autre que mot de ralliement des partisans de l’inversion totale de la loi naturelle et divine. L’idéologie du genre doit s’inculquer aux enfants dès le primaire pour mieux réaliser cette révolution infernale.
La commission de l’Egalité du congrès espagnole, chargée de faire passer les étapes parlementaires à cette fameuse « Loi LGBTI », se réunit précisément cette semaine pour accélérer le processus après avoir été interpellée par diverses associations se plaignant des « retards » pris. Il y a un an, en septembre 2017, c’est le congrès réuni qui a approuvé la mise du texte à l’ordre du jour ; après divers amendements il est passé en février devant la commission de l’Egalité présidée par une socialiste, Pilar Cancela.
Lire la suiteLe parti qui respecte les droits des parents en matière d'éducation à la sexualité
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Cogolin.fr
Voici trois vidéos de Patrick St-Onge, candidat de la circonscription Viau pour le Parti conservateur du Québec (PCQ), dans lesquelles il affirme que le PCQ garantirait aux parents le choix en ce qui concerne l'éducation à la sexualité de leurs enfants.
Ayant pris connaissance de ce «cour d'éducation à la sexualité» qui est plutôt un programme de sexualisation précoce, M. St-Onge précise qu'il appuie sa position sur les déclarations de psychologues, de pédopsychiatres et d'éducateurs français, qui déconseillent très fortement la rencontre précoce de l'enfant avec la sexualité adulte ou conçu par des adultes.
Et le candidat de terminer par un appel au électeur de ne pas voter pour quelqu'un mais pour les principes auxquels l'on adhère.
Lire la suiteParti conservateur du Québec : pour la liberté des parents en matière d'éducation sexuelle
Par Pour une école libre — Source de la photo : satyatiwari/Pixabay
Ce carnet n’a pas de préférences pour ce qui est des élections québécoises de 2018, car tous les grands partis dans la course promeuvent des aspects peu recommandables en matières sociétales ou éducatives. Bien évidemment certains partis comme Québec Solidaire ont des programmes plus rédhibitoires que d’autres Voir aussi la fable « Demain, on mange gratis ! »
Les lecteurs de ce carnet pourraient trouver intéressant le fait que le Parti conservateur du Québec (libertarien, très fédéraliste, probilinguisme au Québec, très peu conservateur moral en général) est le seul parti qui ait déclaré que les parents devraient pouvoir ne pas envoyer leurs enfants au cours d’éducation à la sexualité.
Lire la suiteLa théorie du genre fait des ravages
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Source de la photo : Pixabay
La population infantile britannique vit une véritable « désorientation ». En Grande-Bretagne la « théorie du genre » se retrouve sur le banc des accusés !
L’introduction de cette « discipline » idéologique dans l’éducation scolaire est considérée la cause principale de cette inquiétante augmentation de jeunes enfants demandant à « changer de sexe » ces dernières années. C’est le constat qu’a du faire le gouvernement de Teresa May devant cette crise de l’identité sexuelle.
Depuis 2006, imposée par les courants « progressistes », que l’on peut qualifier plus proprement de nihilistes, l’idéologie incriminée est au programme des écoles primaires et secondaires.
Le ministre de la Santé, dans un récent rapport, confirme que le nombre de mineurs ayant l’intention de changer de sexe a fait un bond de 4400 % depuis 2007. Le service de santé britannique précise que ces demandes ont été repoussées par les directions sanitaires. Les enfants, souvent âgés de moins de 10 ans, ont été diagnostiqués comme sujets à de simples « troubles mentaux ». Il leur a été prescrit des traitements psychiatriques et des médicaments anti-schizophrénie.
Lire la suiteÉducation sexuelle : L’expérience à l’école primaire de Jules-Verne est-elle réellement positive ?
Par Solange Lefebvre-Pageau — Ce texte est une réponse à l’article L’expérience positive de l’école Jules-Verne, dont l’auteure est Magdaline Boutros, Le Devoir, 12 septembre 2018. — Source de la photo : Radio-Londre
Suffit-il de reconnaître que les enseignants de l’école primaire Jules-Verne de l’île de Montréal étaient à l’aise avec le contenu du nouveau programme d’éducation à la sexualité et motivés à l’offrir aux élèves, et que les enfants étaient très réceptifs aux enseignements prodigués, pour affirmer que l’expérience de cette école fut positive ?
Permettez-moi d’en douter, moi qui, depuis nombre d’années, ai développé une alternative à l’éducation à la sexualité en milieu scolaire qui a pour nom :
L'éducation de nos enfants et de nos jeunes
à l'intégration de l'amour et de la sexualité.
C’est une éducation fondamentale qui permet à l’être humain de développer la structure interne qui le rendra capable d’assumer son être sexué, de grandir en sagesse et de s’épanouir harmonieusement en s’aimant et en aimant autrui.
Lire la suiteLa perversion obligatoire de nos enfants par l'État commence
Par Paul-André Deschesnes
Au Québec la rentrée scolaire de septembre¹ 2018 sera marquée par l’implantation d’un cours obligatoire d’éducation sexuelle pour tous les enfants de 0 à 16 ans, c’est-à-dire, garderie, maternelle, primaire et secondaire. [Le cours ne sera obligatoire qu’après la maternelle²]
Ce cours très postmoderne avait été implanté en Ontario (province voisine du Québec) par un gouvernement libéral de gauche depuis une décennie. Il avait été dénoncé par beaucoup de parents à cause de son contenu osé et pervers. Heureusement, ce cours vient d’être aboli par le nouveau gouvernement conservateur qui a été élu en juin 2018, mais il sera en vigueur au Québec dès septembre.
Ce cours, étiqueté par plusieurs spécialistes «cours de perversions sexuelles», est promu mondialement par l’ONU et l’UNESCO, sous prétexte que les enfants et les jeunes doivent tout savoir en matière de sexualité.
Ce cours a reçu l’imprimatur et l’approbation officielle des groupes LGBTQ qui font trembler les gouvernements, et même [des membres de²] l’Église catholique, quand il est question de sexualité chez les jeunes.
Lire la suiteLes exemptions au cours d’éducation à la sexualité seront très rares
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de la photo : Pixabay/Auteur : stevebp
Le ministre de l'Éducation, Sébastien Proulx a annoncé que le nouveau cours d'éducation à la sexualité (malsaine), sera enseigné à tous les enfants, de la maternelle jusqu'au secondaire 5, pour un ratio de 5h 15 par année. Le contenu ne sera pas obligatoire à la maternelle. Cependant, «il ne saurait être question qu'un élève en soit privé», car ce malfaisant enseignement repose sur un «large consensus social» au Québec (quand nous a-t-on consultés?). Le Journal de Montréal nous apprend quelle est la teneur du document, envoyé par le ministère de l'Éducation aux commissions scolaires, précisant les conditions pour l'exemption :
«Un parent qui juge que son enfant est trop jeune pour entendre parler de certaines notions en classe n’aurait donc pas droit à une exemption.
[…]
Plusieurs étapes doivent toutefois être franchies avant qu’une demande ne soit acceptée.
Chaque école devra d’abord transmettre aux parents de l’information sur les contenus qui seront enseignés et répondre à leurs questions.
Les parents qui souhaitent toujours par la suite retirer leurs enfants de cet enseignement devront rencontrer la direction, avant de faire une demande écrite.
Ceux qui invoquent des motifs psychologiques devront fournir un avis produit par un professionnel. Ceux qui craignent plutôt que ce contenu ne porte atteinte aux droits et libertés de leurs enfants devront produire une déclaration sous serment - faite en présence d’un avocat ou d’un notaire par exemple - en précisant de quelle manière ce droit ou cette liberté serait entravé.
Si le motif est jugé "sérieux", la direction d’école pourra alors accorder l’exemption.
Il s’agira toutefois de "cas d’exception" puisque la procédure est "stricte", explique-t-on au cabinet du ministre.
"L’objectif, c’est qu’il n’y ait pas d’exemption", précise son attachée de presse, Marie Deschamps.»
Le gouvernement d'Ontario consultera les parents au sujet de l'éducation de leurs enfants
Doug Ford, premier ministre d'Ontario.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de la photo : Wikimedia Commons
Si seulement le gouvernement du Québec pouvait être aussi respectueux du rôle qu'ont les parents dans l'éducation de leurs enfants... Toujours est-il que le site du gouvernement d'Ontario nous apprend :
Lire la suite«Une charte des droits des parents sera élaborée par le ministère de l’Éducation et mise en œuvre par l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario.
[...]
« Nous avons promis de mettre en place un système éducatif qui accordera la priorité aux droits des parents tout en opérant un retour à l'essentiel pour ce qui est de l'enseignement des matières fondamentales comme les mathématiques, a déclaré le premier ministre. Aujourd'hui, nous sommes heureux de vous dire : choses promises, choses dues.»
Le recrutement et le conditionnement de nos enfants
Par Austin Ruse, président de C-Fam — traduit par Campagne Québec-Vie
Ceci est la traduction d’un courriel envoyé par C-Fam, c’est pourquoi il s’adresse au lecteur à la 2e personne du pluriel. — CQV
Cher ami,
Je me suis à un entretenu avec une jeune fille de 14 ans il y a quelques mois, et elle m’a mis au courant de ses batailles contre la gauche sexuelle de son collège.
Elle m’a raconté l’histoire d’un garçon qui exigeait un baiser d’un autre garçon. Quand elle a défendu le garçon menacé, on l’a traité d’intolérante.
Elle m’a parlé de deux de ses amies s’embrassant sans vergogne devant elle.
Elle m’a décrit l’intimidation dont elle avait été la cible à l’école pour avoir porté un chandail pro-vie.
Lire la suiteÉducation à la sexualité et « aux relations égalitaires » imposées dès la garderie
Communiqué de la Presse Canadienne (avec le manque de distance habituelle envers les mesures gouvernementales imposées, pardon, offertes aux enfants captifs) :
Ce ne sont pas que les écoles primaires et secondaires du Québec qui offriront [novlangue pour « imposeront », car normalement on peut refuser une offre] cet automne des cours d’éducation sexuelle, certaines garderies et maternelles accueilleront [imposeront] un programme similaire spécialement adapté aux tout-petits.
Quelque 1200 enfants âgés de 0 à 5 ans seront ainsi exposés à certaines notions touchant à la sexualité et aux relations égalitaires dans le cadre d’un projet-pilote déployé par la Fondation Marie-Vincent.
Si cette première phase d’implantation est couronnée de succès [elle le sera, car il n’y a aucun objectif vérifiable défini à l’avance et vérifié par la suite par des gens qui ne sont pas juges et parties du projet, ces innovations du gouvernement sont généralisées peu d’années après leur introduction. À moins que la mesure du succès soit le silence des parents.], le projet Lanterne/Awacic pourrait par la suite être étendu à davantage de garderies, maternelles et centres communautaires.
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