Une candidate du Parti populaire du Canada exclue d'un débat
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Post Millennial, Radio-Canada et Facebook / Voici la source de la photo : Alex indigo/Flickr
Laura-Lynn Tyler Thompson n'a pu participer à un débat sur l'environnement en raison de ses opinions sur... les transgenres.
Le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes (STTP) a interdit à une candidate du Parti populaire du Canada (PPC), Laura-Lynn Tyler Thompson, de participer à une assemblée publique sur le changement climatique en raison de ses opinions sur l'éducation sexuelle et les transgenres.
Le débat, organisé par le STTP, avait lieu samedi dernier à Burnaby, en Colombie-Britannique, dans le cadre de la campagne en vue de l'élection partielle de Burnaby South qui doit se dérouler le 25 février prochain. Mme Tyler Thompson est l'un des porte-voix de l'opposition au programme d'éducation sur la sexualité des écoles publiques de la Colombie-Britannique, dont le contenu aborde l'identité de genre.
Rappelons que selon ce concept d'identité de genre, une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s'identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
Toujours est-il que, ironiquement, Jagmeet Singh, candidat dans Burnaby-South et chef du NPD, a été le seul à avoir confirmé sa présence à l'assemblée publique. Le candidat du parti libéral, Richard Lee, a rejeté l'invitation, tandis que celui du Parti conservateur, Jay Shin, n'a pu s'y présenter en raison d'un conflit d'horaire.
Le STTP n'en est pas à sa première polémique. Le journal Le Peuple avait appris en août l'an dernier qu'il s'était associé à l'Union des travailleurs des services postaux de la Palestine (PPSWU), une organisation qui prend fait et cause pour des groupes terroristes.
Sur sa page Facebook officielle, le PPSWU a glorifié à deux reprises le terroriste et meurtrier Ahmad Nasr Jarrar, le qualifiant de « héros ». Jarrar était membre du groupe terroriste Hamas lorsqu'il a assassiné le rabbin israélien Raziel Shevach, le 9 janvier 2018, avant d'être lui-même tué un peu plus tard lors d'une fusillade l'opposant aux forces israéliennes.
Dans un autre message publié sur Facebook, le PPSWU réclamait la libération de Fouad Shubaki, condamné en 2009 pour avoir tenté de faire passer des dizaines de milliers d'armes dans la bande de Gaza pour le compte de la Brigade des Martyrs d'Al-Aqsa, une autre entité désignée comme terroriste par le Canada.
Une manifestation le 20 février pour demander au premier ministre d'Ontario d'abroger le programme d'éducation sexuelle
Doug Ford.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Bruce Reeve/Flickr
Quand le gouvernement Ford retirera-t-il le programme d'éducation sexuelle instauré par le gouvernement libéral de Kathleen Wynne ? c'est ce que se demandent avec inquiétude les parents d'Ontario. Extrait de LifeSiteNews :
Une coalition populaire ontarienne de défense des droits parentaux appelle ses partisans à se rassembler au Queen's Park le 20 février pour exiger que le premier ministre Doug Ford tienne sa promesse d'abroger le programme d'éducation sexuelle.
Canadian Family Alliance (CFA) [Alliance de la famille canadienne], un groupe de coordination représentant 200 000 Ontariens, organise ce rassemblement de deux heures en milieu de semaine, à l'heure du dîner, alors que les plans d'abrogation de M. Ford pour l'éducation sexuelle font toujours l'objet d'attaques continues.
L'été dernier, Ford avait promis, lors de la campagne électorale, qu'un gouvernement progressiste-conservateur abrogerait le programme d'éducation sexuelle radical que le gouvernement libéral de Kathleen Wynne a mis en place en 2015, malgré une opposition sans précédent des parents.
La CFA a été fondée pour combattre cette éducation sexuelle qui détruit l'innocence des enfants [...]
Mais au cours des huit mois qui se sont écoulés depuis la victoire écrasante de Ford en juin, « pratiquement rien n'a été abrogé », affirme Tanya Granic Allen, présidente de Parents As First Educators (PAFE) [Parents premiers éducateurs], un groupe membre de la CFA.
Les parents doivent exiger à M. Ford et son gouvernement « faîtes ce que vous avez promis ». Vous avez dit que vous alliez l'abroger. Abrogez-le », a-t-elle déclaré à LifeSiteNews.
De plus, les parents ne savent peut-être pas que le programme d'abrogation de M. Ford « est attaqué par les forces pour la sexualisation des enfants, aussi bien dans son parti qu'en dehors », a déclaré Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de Campaign Life Coalition, un autre groupe membre de la FCA.
Les remarques du Pape François sur l'éducation sexuelle
Le Pape François.
Par Peter Kwasniewski — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Long Thîen/Flickr
Chers lecteurs, je vous prie d'excuser, si cela pouvait vous choquer, le ton quelque peu acerbe que l'auteur de l'article original utilise à l'endroit du pape François ; la préparation à la vie maritale (dont l'un des aspects sera ordinairement appelé éducation sexuelle par beaucoup) est un sujet extrêmement délicat, et les paroles malheureuses que le Pape a tenues ne peuvent qu’inquiéter. J'attirerais donc plutôt votre attention sur les arguments et explications de M. Kwasniewski — A. H.
Le 30 janvier 2019 (LifeSiteNews) — La plupart des catholiques sont probablement au courant des commentaires de la conférence de presse en avion du pape François sur les raisons pour lesquelles les écoles doivent offrir une « éducation sexuelle » aux enfants. J'admets que ces six dernières années m'ont aguerri à force d'entendre des mauvaises nouvelles et d'en traiter, mais même ainsi, ce pape des surprises peut encore occasionnellement faire presque tomber ma mâchoire de surprise.
Soit le Pape François ne sait rien de ce à quoi ressemble le matériel d'éducation sexuelle de nos jours, auquel cas il aurait dû garder le silence sur le sujet, soit il sait à quoi ressemblent ces ouvrages, auquel cas il recommande les outils du péché. [Du moins le Pape n'a pas fait de distinction très claire entre un « bon » cours et un « mauvais », ce qui risque de semer encore plus la confusion. Toujours est-il qu'il n'aurait pas dû faire la promotion de l'éducation sexuelle, et vous pourrez en juger si vous lisez ce qui suit]
Ce n'est pas comme si le Magistère de l'Église n'avait pas donné beaucoup d'indications sur cette question, mettant toujours l'accent sur la prudence, la modestie, la discrétion et, surtout, la chasteté. Dans les années 1920, lorsque le concept d'« éducation sexuelle » pour les couples mariés a commencé à gagner du terrain, le pape Pie XI, dans sa grande encyclique Casti Connubii de 1930, a déclaré de façon mémorable :
Lire la suiteCe salutaire enseignement et cette science religieuse du mariage chrétien n'ont aucun rapport avec cette éducation physiologique exagérée par laquelle, de nos jours, de soi-disant réformateurs de la vie conjugale prétendent rendre service aux époux : ils s'étendent longuement sur ces questions de physiologie, mais ce qu'on enseigne ainsi, c'est bien plutôt l'art de pécher avec astuce que la vertu de vivre avec chasteté. (n°83)
France : un député dénonce l’éducation sexuelle à l’école
Par Pour une école libre au Québec — Photo : PxHere
Lors d’une séance de la commission des affaires culturelles à l’Assemblée nationale, le 29 janvier, le député Les Républicains (centre-droit) Xavier Breton a défendu un amendement au projet de loi « sur l’école de la confiance » (mais où vont-ils chercher ces titres ?) défendu par l’exécutif du président Macron (parlant de confiance, la cote de confiance de Macron s’établissait à 23 % en décembre).
Xavier Breton demande (vidéo ci-dessous) à ce que l’éducation affective et sexuelle soit exclue de l’enseignement moral et civique. Il ajoute se méfier de l’ingérence de l’État dans la vie des familles, par exemple avec l’interdiction des fessées, votée en novembre par un parlement qui paraît déconnecté des préoccupations des citoyens.
Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. Ce principe figure dans tous les textes de droits nationaux ou internationaux.
Réaffirmer ce principe suppose que l’école n’empiète pas sur le droit des parents. En matière d’éducation affective et sexuelle, qui touche aux convictions les plus intimes, l’intervention de l’État n’est pas légitime. Comme l’expliquait en son temps Jules Ferry* dans sa lettre aux instituteurs : « vous êtes l’auxiliaire et, à certains égards, le suppléant du père de famille […]. Au moment de proposer aux élèves un précepte, une maxime quelconque, demandez-vous s’il se trouve à votre connaissance un seul honnête homme qui puisse être froissé de ce que vous allez dire. »
Il s’agit dans cet amendement de tirer toutes les conséquences de ce principe et d’exclure l’éducation affective et sexuelle de l’enseignement moral et civique.
Face à une opposition quasi générale (le parti de Macron a une large majorité dans ces commissions) qui invoquait de manière prévisible de « recrudescence des agressions sexuelles diverses », Xavier Breton a rétorqué : « À cet argument, je pourrais répondre que quand il n’y avait pas d’éducation affective et sexuelle à l’école, il y avait beaucoup moins d’atteintes sexuelles... Moi, je m’interrogerais sur la recrudescence ». « Ce n’est pas en s’emparant des questions affectives et sexuelles uniquement sous l’angle de la technique et sous une vision sombre des relations entre les hommes et les femmes qu’on va donner un sens du respect réciproque. »
Peu après le micro de Xavier Breton sera coupé.
*Quelle drôle d'idée de citer Jules Ferry, ce grand saccageur de l'enseignement. — Augustin Hamilton
L’éducation complète à la sexualité (amorale) nuit au développement moral des jeunes
Par Tapio Puolimatka, professeur de théorie et de tradition en éducation à l'Université de Jyvaskyla en Finlande, et professeur auxiliaire de philosophie pratique à l'Université de Helsinki en Finlande. Ses recherches portent principalement sur les domaines de la philosophie éducative et morale (Public Discourse) — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixabay
Bien que ses partisans pourraient être bien intentionnés [du moins on l’espère*], l’éducation complète à la sexualité n’est pas une solution à l’exploitation sexuelle. Bien au contraire, elle fait partie du problème puisqu’elle nuit au développement de la capacité des jeunes à faire la différence entre l’amour authentique et l’exploitation sexuelle.
L’éducation complète à la sexualité rend-elle les enfants plus vulnérables à l’exploitation sexuelle ?
L’exploitation sexuelle de 1 400 enfants à Rotherham entre 1997 et 2013, ainsi que les abus répandus dans d’autres villes anglaises ont mené à une enquête indépendante et plusieurs révisions de cas graves. Celles-ci ont été analysées par Norman Wells, directeur de l’organisation britannique Family Education Trust, dans son livre paru en 2017 : Unprotected: How the normalization of underage sex is exposing children and young people to the risk of sexual exploitation [Comment la normalisation du sexe chez les mineurs expose les enfants et les jeunes à un risque d’exploitation sexuelle].
Selon la définition du gouvernement britannique, l’exploitation sexuelle d’un enfant:
survient lorsqu’un individu ou un groupe d’individus profite d’un déséquilibre de force pour contraindre, manipuler ou amener un mineur à avoir des relations sexuelles (a) en échange de quelque chose dont la victime a besoin ou qu’elle désire, ou (b) pour l’avantage financier ou de statut du coupable ou du facilitateur. Même si les relations sexuelles semblent consensuelles, la victime peut avoir été exploitée.
Wells cite l’enquête indépendante de Alexis Jay sur l’exploitation sexuelle des enfants de Rotherham entre 1997 et 2013. Selon le rapport, les enfants, garçons et filles, parfois âgés à peine de 12 ans ont été :
- Victimes de viols collectifs ;
- Victimes de trafic dans d’autres villes au nord du Royaume-Uni ;
- Kidnappés, battus et intimidés ;
- Certains, arrosés d’essence, étaient menacés d’être brûlés vifs ;
- Menacés par des armes à feu ;
- Forcés d’assister à des viols brutaux et menacés d’être les prochains s’ils le racontaient à quelqu’un.
Éducation à la sexualité : « les craintes des parents sont légitimes »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : ben white/Unsplash
Ce qui suit est un billet de blogue sur un billet de blogue, il est vrai, mais dont le sujet principal est un texte écrit par un professeur d’université sur la théorie du genre, et sur le danger que représente cette théorie dans nos écoles. Extrait de Pour une école libre au Québec :
Lire la suiteTexte de Nadia El-Mabrouk, professeure à l’Université de Montréal. Ce texte aurait mené à l’exclusion de la professeure Nadia El-Mabrouk d’un colloque syndical à cause de ses positions sur la laïcité et l’éducation à la sexualité.
« In Queer We Trust » est le message que je peux lire tous les jours sur un autocollant à la porte de ma station de métro. Et si c’était une religion ?
Cela expliquerait la déferlante de messages virulents que j’ai reçus après ma chronique sur l’identité de genre, afin de parfaire mon « éducation » sur le sujet.
Le sexe serait « un continuum d’états sur le spectre de l’arc-en-ciel », il ne serait pas constaté, mais « assigné » à la naissance, des personnes seraient « nées dans le mauvais corps », il y aurait des […]* « hommes qui accouchent ». Toute objection est déclarée transphobe.
Un droit d’exemption pour l’éducation sexuelle ?
Par l’historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Photo : Ben White/Unsplash
Je serais surpris que les parents catholiques puissent obtenir pour leurs enfants une exemption du cours d’éducation sexuelle, surtout après que la Cour Suprême du Canada ait rejeté, en 2012, une semblable demande pour le cours d’éthique et culture religieuse (ECR).
Pour l’instant, le Premier ministre Legault affirme que tout le monde doit suivre ce cours. Je comprends mal la logique de ses « valeurs québécoises » : garder le crucifix à l’Assemblée nationale, l’interdire pour les enseignants, faire de la propagande LGBT dans les salles de classe. Nous verrons bien la suite.
À mon avis, une contestation judiciaire serait infructueuse. Les tribunaux adopteront le même raisonnement que dans la décision sur l’ECR. La Cour Suprême finira par dire que le cours d’éducation sexuelle ne fait que présenter scientifiquement divers types de comportements sexuels, sans forcer qui que ce soit à les pratiquer : ce cours ne porte donc pas atteinte aux libertés individuelles, tout en permettant aux jeunes de prendre conscience des réalités contemporaines.
Le problème pour un catholique, c’est que le cours enseigne aux enfants à respecter, à tolérer, et donc à approuver moralement toutes les formes de vie sexuelle. C’est une atteinte directe à la liberté de conscience. Nous n’avons plus le droit de penser que l’homosexualité puisse être « anormale ». Il ne s’agit pas seulement de respecter la personne homosexuelle, comme nous le commande la charité chrétienne, mais d’approuver le principe de ce comportement contre nature, sous prétexte de « liberté de choix ». Autrement dit, il faut nier un aspect de la Loi de Dieu (voir Mt, 11 : 23-24 ; Rm 1 : 24-32 ; 1erCor 6 : 9-10).
Lire la suiteÉducation sexuelle : qui est responsable des enfants, les parents ou l’État ?
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Phillip Haussemer/Flickr
Ces derniers temps, les gros médias du Québec se sont agités autour d’une déclaration que l’archevêché aurait faite, plusieurs ont accusé l’archevêché de prôner le retrait des enfants des cours d’éducation sexuelle, ce qui n’aurait pas été mauvais s’il l’avait vraiment prôné.
Quel est le chef d’accusation ? Avoir relayé mercredi l'information annonçant un manuel rédigé par un médecin et un prêtre catholiques qui conseillerait, en gros, aux parents d’enseigner eux-mêmes l’éducation sexuelle à leurs enfants. Selon La Presse :
L’archevêché de Montréal a relayé hier une invitation à retirer les enfants de leurs classes d’éducation sexuelle afin de confier aux parents le soin de donner eux-mêmes le nouveau cours obligatoire en respectant « la pudeur naturelle » des jeunes.
Les autorités ecclésiastiques font la promotion d’un manuel destiné aux parents catholiques, qui compare le nouveau programme à une agression.
Ou selon le Huffpost :
Lire la suiteL’archevêché de Montréal propose aux parents québécois opposés aux objectifs d’enseignement sexuel du ministère de l’Éducation de donner eux-mêmes la matière à leurs enfants en se procurant un outil pédagogique rédigé par un membre du clergé et un médecin cardiologue.
Jordan Peterson : l’État ne devrait plus enseigner l’éducation sexuelle
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Jordan Peterson dit avec vérité que l’éducation sexuelle devrait revenir aux parents, et dois-je ajouter, la décision en cette matière doit toujours revenir aux parents. Certes, l’éducation à la maison ne sera peut-être pas idéale, mais elle vaudra toujours mieux que ces cours pourris et loin d’être idéaux, offerts (souvent de force) par les gouvernements. Rajoutons que, même avant l'enseignement de l'idéologie du genre, ce qui était enseigné en matière de sexualité était mauvais. Le premier argument de Jordan Peterson est dur à comprendre, mais le reste est mieux. — CQV
Le New York Times a décrit le célèbre psychologue Jordan B Peterson, dont le dernier livre s’est vendu à plusieurs millions d’exemplaires, comme « l’intellectuel public le plus influent du monde occidental à l’heure actuelle ». Il s’est exprimé le 27 décembre 2018 dans le Scottish Catholic Observer, il revient sur la volonté politique de nombreux gouvernements en Occident d’imposer de nouveaux programmes d’éducation à la sexualité qui vont au-delà des faits biologiques et intègrent des éléments moraux, de lutte contre les « stéréotypes sexuels » ou de théorie du genre :
« Je pense que nous sommes probablement près du point où l’État ne devrait plus enseigner l’éducation sexuelle des enfants, car il n’y a pas de consentement culturel quant au contenu d’un tel programme, alors je pense que cela devrait revenir à la famille », a déclaré le Dr Peterson.
« Non pas que ce soit une solution parfaite, mais l’éducation sexuelle prescrite par l’État n’a pas été parfaite non plus, car elle est devenue tellement contaminée par une idéologie. », a-t-il ajouté.
« Je pense que les écoles devraient simplement en rester là (“leave it be”). Si des idéologues enseignent à vos enfants, vous devriez les sortir de la classe, car il n’y a aucune justification à l’enseignement idéologique. » [L’ennui c’est qu’il est difficile de savoir à l’avance si un idéologue enseigne à vos enfants et même après coup, les enfants ne disent pas toujours à quel point ils ont été troublés ou ébranlés par un tel idéologue à l’école.]
« L’idée que nous n’aurions découvert ce qu’est la véritable nature du genre que ces cinq dernières années est le comble de l’absurdité. Je pense que la conséquence fondamentale est que cela va semer la confusion chez beaucoup plus d’enfants que cela ne les aidera. »
Patricia Sandoval : conversion après 3 avortements et avoir travaillé dans une clinique d’avortement
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo de Kto.tv.com
Voici le témoignage émouvant de Patricia Sandoval, née au Mexique, qui est passée par trois avortements, le syndrome post-avortement, le travail dans une clinique d'avortement, la drogue, une vie désordonnée.
En travaillant dans l'avortoir, aux États-Unis, elle y vit vite que ce qui comptait n'était pas les femmes mais l'avortement, c'est d'ailleurs dans l'avortoir qu'elle vit la vérité sur l'avortement.
Elle a fini par se tourner vers Dieu progressivement.
Elle prend la défense du mariage, de la chasteté et dénonce l'éducation sexuelle qu'elle avait reçue dans sa jeunesse et qui l'a menée vers une sexualité débridée. Elle parle également de la force de la prière.
Vidéo de Kto.tv.com, trouvée sur Un feu sur la terre :