Une journée historique pour les droits parentaux au Canada
Ottawa, 20 septembre 2023.
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le mercredi 20 septembre 2023 restera une journée historique pour le mouvement des droits parentaux au Canada.
La Marche un million de personnes pour les enfants a connu un succès sans précédent, réunissant des parents et des grands-parents, des tantes et des oncles, ainsi que des personnes de diverses communautés religieuses, dans un seul et même but...
Protéger tous les enfants des dangers de l’endoctrinement LGBT et de l’idéologie du genre qui ont pris le contrôle de nos écoles.
En ce jour historique, le cri « Laissez nos enfants tranquilles ! » a résonné dans toute la nation, dans les bâtiments du parlement, les hôtels de ville et les bureaux des conseils scolaires.
Je tiens à féliciter — et à remercier profondément — les organisateurs de la Marche d’un million de personnes pour les enfants, en particulier Kamel El-Cheikh, père musulman et homme d’affaires d’Ottawa qui a eu l’idée de cette marche. Même si nous ne sommes pas d’accord avec tous les points de vue des organisateurs, nous reconnaissons que nous leur sommes redevables d’avoir organisé cet événement extraordinaire.
Même si la Coalition nationale pour la Vie (CNV) avait un rôle de promotion plutôt que d’organisation, de nombreux membres de notre personnel se sont retrouvés en première ligne lors de cette extraordinaire Marche pour les enfants (#1MillionMarch4Children) (ce mot-clé a eu la cote au cours des trois derniers jours !).
Lire la suiteLa Saskatchewan met en œuvre des politiques de droits parentaux sur les questions de « genre » et d’éducation sexuelle dans les écoles publiques
Scott Moe, premier ministre de Saskatchewan.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduction de Campagne Québec-Vie
24 août 2023, Regina, Saskatchewan (LifeSiteNews) — La Saskatchewan introduit de nouvelles lois sur l’éducation sexuelle dans les écoles, y compris l’obligation d’informer les parents si leur enfant veut adopter un « genre » différent.
Le 22 août, le ministre de l’Éducation de la Saskatchewan, Dustin Duncan, a annoncé de nouvelles « politiques d’inclusion et de consentement parental », qui exigent que les parents soient informés si leur enfant veut s’identifier à un nom ou à un « genre » différent, qui permettent aux parents d’exclure leurs enfants de l’éducation sexuelle et qui interdisent les présentations de tierces parties, y compris celles de Planned Parenthood.
« Notre gouvernement a entendu les préoccupations soulevées par les parents de la Saskatchewan concernant la nécessité d’être informés et de participer à l’éducation de leurs enfants dans ces domaines importants », a déclaré M. Duncan dans un communiqué de presse.
« Nous avons également constaté que si toutes les divisions scolaires de la Saskatchewan disposaient de politiques traitant de ces questions, ces politiques variaient d’une division à l’autre. Il était donc important de normaliser ces politiques et d’assurer la cohérence de l’inclusion des parents, quel que soit l’endroit où l’enfant va à l’école », a-t-il ajouté.
« La participation des parents et des tuteurs est essentielle à l’éducation de chaque élève », a déclaré M. Duncan. « Les écoles continueront à garantir des environnements d’apprentissage sûrs où tous les élèves se sentent inclus, protégés et respectés ».
Lire la suiteLa Saskatchewan se décide à respecter les droits parentaux
Dustin Duncan, ministre de l’Éducation de la Saskatchewan.
Par David Cooke (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
La nouvelle en provenance de la Saskatchewan, du 22 août, a été comme une bouffée d’air frais. La province est la deuxième à prendre des mesures pour protéger les enfants contre la menace du transgenrisme.
Suivant l’exemple du Nouveau-Brunswick, le ministre de l’Éducation de la Saskatchewan, Dustin Duncan, a mis en place une nouvelle politique de consentement parental et d’inclusion qui protège les enfants vulnérables et impressionnables de moins de 16 ans.
Cette politique exige que les écoles obtiennent la permission des parents lorsque des enfants de moins de 16 ans souhaitent changer leur nom ou les pronoms de genre utilisés pour s’adresser à eux. Elle interdit de dissimuler la décision d’un enfant de changer de sexe, ce qui l’empêchera de mener une double vie schizophrénique à l’école. Elle reconnaît judicieusement que ce sont les familles, et non les bureaucrates, qui doivent avoir le dernier mot en ce qui concerne les valeurs et les croyances des enfants.
Cette politique stipule également que les parents doivent être informés du contenu des cours sur la santé et avoir la possibilité d’en exclure leurs enfants à l’avance.
Dans une lettre adressée à tous les présidents des conseils scolaires, M. Duncan écrit : « La première réponse à un élève qui soulève une question controversée sera de l’adresser à sa famille pour clarifier ses convictions personnelles et familiales. Tout autre conseil offert à un élève ne sera envisagé qu’avec l’accord écrit et explicite de ses parents ou de son tuteur ».
Lire la suiteLa Pologne adopte une loi interdisant l’éducation sexuelle à l’école
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Irina Schmidt/Adobe Stock
Le parti Droit et Justice et la Confédération nationaliste ont fait adopter par 243 voix contre 202 à la Chambre des députés de Pologne une loi interdisant l’éducation sexuelle dans les écoles, ainsi que tout forme de corruption ou de sexualisation des mineurs. La loi prévoit jusqu’à cinq ans de prison pour les contrevenants. Le préambule de la Loi « Stop à la pédophilie » déclare : « la nouvelle loi protégera les enfants et les adolescents contre la dépravation et la perversion de la morale qui se répandent de manière alarmante par le biais de la soi-disant éducation sexuelle ».
Programme d’éducation au Québec : le sexe est une « catégorie sociale »...
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
Dans le « glossaire des notions en éducation à la sexualité » du programme scolaire du Québec, il est écrit en toutes lettres, dans la section pour le primaire et le secondaire 1, que le sexe est une « Catégorie sociale qui répartit la population entre femmes et hommes à partir de caractéristiques physiologiques » !...
Je pensais pour ma part que ces « caractéristiques physiologiques » étaient LE sexe en question.
Ce que vous avez vu plus haut, c'est ce que vos enfants apprendront désormais, entre autres fadaises, dans les écoles du Monopole de l’Endoctrinement du Québec.
Un professeur canadien affirme que montrer des parties intimes d’adultes à de « petits enfants » est une « excellente idée éducative pour les parents »
Katja Thieme.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
4 août 2023 — Un professeur agrégé de l’Université de Colombie-Britannique (UBC) a suggéré que les parents exposent leurs enfants à des « pénis » et des « vulves » de différents « âges » pour les préparer à des rencontres potentielles avec des hommes confus dans les espaces féminins et vice versa.
Katja Thieme, du département d’anglais de l’UBC, a posé la question sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter : « Hé, tu veux connaître l’une de mes meilleures idées éducatives pour les parents ? »
« Laissez les petits enfants voir des pénis et des vulves de différents âges et tailles d’une manière décontractée, normalisée et totalement sûre », a-t-elle répondu, ajoutant que « le monde vous en remerciera. Et il en sera de même pour ces enfants lorsqu’ils grandiront ».
Les propos choquants du professeur étaient une réponse à un message posté sur les réseaux sociaux par la nageuse universitaire américaine Riley Gaines. La jeune athlète a acquis une grande popularité en ligne en défendant les sports féminins contre l’inclusion d’hommes tels que William « Lia » Thomas.
Selon True North, Thieme a d’abord répondu à un message de Gaines dans lequel cette dernière racontait l’histoire d’une nageuse de 16 ans qui aurait été « bannie du YMCA et expulsée de son équipe de natation pour s’être opposée à un homme nu dans leurs vestiaires ».
Lire la suiteUne jeune fille de 16 ans a été exclue du YMCA et renvoyée de son équipe de natation pour s’être opposée à la présence d’un homme nu dans les vestiaires.
Et pour ne rien arranger, sa sœur aînée a vécu exactement la même chose avec Lia Thomas. Mais ce n’est « pas vraiment en train de se produire »...
— Riley Gaines (@Riley_Gaines_) 9 juillet 2023
Un journaliste de la presse grand public dénonce les cours d’éducation sexuelle canadiens qui banalisent auprès des enfants le sadomasoschisme
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sebra/Aobe Stock
26 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Au cours des dix dernières années, les médias grand public se sont attachés à discréditer ceux qui s’opposent à l’éducation sexuelle de plus en plus radicale et obscène qui est devenue la norme dans les écoles publiques canadiennes. Avec la résurgence des manifestations à travers le pays en juin (et d’autres prévues en septembre), nous sommes peut-être enfin arrivés à un point de rupture. Le 23 juillet, par exemple, Adam Zivo du National Post a publié une série de photos de documents d’éducation sexuelle distribués dans une école publique de Nanaimo, en Colombie-Britannique. La discrétion du lecteur est fortement conseillée, même pour la description de Zivo — mais gardez à l’esprit que ce matériel est distribué à des enfants :
« Un membre inquiet de la communauté m’a envoyé des photos d’une brochure d’éducation sexuelle distribuée dans les écoles secondaires de Nanaimo. Cette brochure banalise la consommation de drogues dures pendant les rapports sexuels et aborde les thèmes du sadomasochisme, de la scatologie, du “fisting” et du “piss play”. Cette brochure est distribuée à des enfants de 14 ans. Le membre de la communauté a affirmé que plusieurs élèves se sont plaints du contenu de la brochure — et il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. »
Zivo a fait remarquer : « Les jeunes ne devraient pas apprendre qu’il est acceptable de consommer des drogues dures tout en ayant des relations sexuelles. Et bien que les gens aient le droit d’avoir leurs fétiches, et qu’ils doivent savoir comment y participer en toute sécurité, ce genre de matériel est manifestement inapproprié pour les jeunes adolescents ». Il est évident que je soutiendrais une barre nettement plus élevée que Zivo, mais le fait que l’éducation sexuelle soit désormais si manifestement inappropriée (et je dirais même objectivement nuisible et immorale) que les journalistes des grands médias la jugent digne d’être commentée constitue sans aucun doute une évolution.
Lire la suiteLondres impose l’« éducation » sexuelle LGBT à l'Irlande du nord
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : wavebreak3/Adobe Stock
Le gouvernement britannique vient mettre son grain de sel et son grain de sable dans les rouages des institutions éducatives de l’île d’Emeraude. Le nouveau rapport de la Commission des droits de l’homme d’Irlande du Nord (NIHRC) déplore en effet que de trop nombreuses écoles diffusent, en lieu et place de l’éducation sexuelle de mise, une vision rétrograde, sexiste, trop hétérosexuelle, bref pas assez libertaire. Il faut que ça change.
Jusqu’à présent, chaque école d’Irlande du Nord prenait ses propres décisions sur la manière d’enseigner l’éducation sexuelle dans le cadre de son programme. La décision vient désormais de Westminster, et elle est woke, jusqu’au bout des ongles.
« Un long chemin »… de décadence pour les « droits » des enfants
La Commission a donc mené une enquête pour évaluer dans quelle mesure les écoles post-primaires dispensaient « une éducation adaptée à l’âge, complète et scientifiquement exacte sur la santé et les droits sexuels et reproductifs, couvrant la prévention des grossesses précoces et l’accès à l’avortement ». Le rapport est sans appel : la majorité en Irlande du Nord ne le fait pas.
Homosexualité : certaines écoles d’Irlande du Nord enseignent aux élèves que l’homosexualité est mauvaise. L’une d’entre elles écrit même, dit le rapport, que « la conviction que les actes homosexuels sont contraires à la nature et au but des relations humaines sera présentée aux élèves ». Un tiers des écoles ont déclaré qu’elles enseigneraient aux élèves que « les relations hétérosexuelles étaient le contexte “principal” ou “idéal” de l’intimité sexuelle ».
Sexisme : la plupart des écoles « contribuent indirectement au blâme sociétal des victimes et à la honte des femmes et des filles ».
Lire la suiteL’ONU veut imposer l’éducation sexuelle obligatoire pour tous les enfants, et aussi leur droit de refuser l’éducation religieuse
Par reinformation.tv — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Le comité des droits de l’enfant de l’ONU a enjoint vendredi dernier au Royaume-Uni d’intégrer à tous les niveaux des cours d’éducation sexuelle « adaptés à l’âge », y compris « sur la diversité sexuelle », sans laisser « la possibilité pour les écoles religieuses ou les parents de se soustraire par choix à une telle éducation ». L’ONU impose donc sa version arc-en-ciel de l’éducation sexuelle à tous les établissements, parents et enfants, sans faire droit à l’objection de conscience. En même temps, le comité des droits de l’enfant invite enseignants et responsables à « s’assurer des droits de tous les enfants, y compris au-dessous de 16 ans, de se retirer des classes de religion sans le consentement des parents ». Voilà qui est triplement clair : sous couleur de « droits de l’enfant » l’ONU entend soustraire les enfants à l’autorité parentale, les soumettre à sa vision de l’homme, les inciter à s’éloigner de Dieu. Rien d’absolument nouveau, mais un discours et une action assumés contre la religion chrétienne et pour l’instauration d’un totalitarisme « laïc » et « humaniste ».
Une mère ontarienne demande au conseil scolaire catholique pourquoi on fait jouer des élèves de 4e année à des jeux de « préparation sexuelle » en classe
Patricia Castillo.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
25 mai 2023, Waterloo, Ontario (LifeSiteNews) — Un conseil scolaire catholique de l’Ontario a refusé de répondre aux questions des parents sur la raison pour laquelle on fait jouer leurs enfants à des jeux axés sur la sexualité dans une classe de quatrième année.
Au cours d’une réunion tenue le 1er mai, le conseil scolaire Waterloo Catholic District School Board (WCDSB) est resté silencieux lorsque Patricia Castillo, un parent inquiet, a révélé que sa fille de quatrième année jouait à un « jeu du pénis et du vagin » en classe de santé, sur les instructions de l’enseignant.
« Je veux mettre fin à l’endoctrinement des enfants par des adultes idéologiquement possédés à l’école », a déclaré Mme Castillo, qualifiant le jeu de « préparation sexuelle ».
« Cette tendance populaire à sexualiser les enfants ne devrait pas être encouragée dans les salles de classe ou dans les bibliothèques scolaires », a-t-elle ajouté.
Selon la fille de Mme Castillo, le jeu consistait à ce que deux élèves se tiennent devant la classe et se voient attribuer le mot « pénis » ou « vagin ». Les élèves prononçaient à tour de rôle le mot qui leur avait été attribué jusqu’à ce que l’un d’entre eux se mette à rire. L’élève qui riait le premier était le perdant du jeu.
Mme Castillo a déclaré que sa fille lui avait parlé du jeu pendant les vacances d’été. En septembre 2022, elle s’est adressée au directeur de l’école, lui demandant si le jeu était toujours pratiqué et quel en était l’objectif. Toutefois, Mme Castillo n’a toujours pas reçu de réponse de sa part.
Bien que Mme Castillo ait été autorisée à présenter ses préoccupations au conseil d’administration, ce dernier avait annoncé que les administrateurs ne répondraient pas aux questions au cours de la réunion.
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