Le mouvement des écoles catholiques indépendantes offre aux parents ontariens une alternative
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : puhimec/Adobe Stock
22 avril 2024 — Un groupe de personnes investies dans l’éducation catholique développe un réseau pour aider le mouvement des écoles catholiques indépendantes en Ontario.
Le Consortium des écoles catholiques indépendantes de l’Ontario (Consortium of Independent Ontario Catholic Schools — CIOCS) est un réseau d’écoles dont l’objectif principal est de favoriser la collaboration et la communion entre les écoles membres tout en soutenant des valeurs, une mission et un engagement communs envers l’éducation catholique.
John Pacheco, l’un des directeurs du Consortium, a expliqué l’une des motivations du groupe.
« On parle beaucoup aujourd’hui d’identité, et nous croyons que l’identité de chaque enfant doit s’enraciner et se conformer à l’image de Jésus-Christ, à l’image immuable duquel nous avons été créés », a-t-il déclaré.
« D’un point de vue pratique, nous cherchons à développer une structure de soutien pour aider nos écoles membres actuelles et futures dans divers domaines. L’un des principaux objectifs du CIOCS est de trouver des moyens de réduire les coûts afin de mettre l’enseignement privé catholique à la portée des parents ».
Lire la suiteDeSantis recule devant les idéologues LGBT au sujet de la loi sur les droits parentaux en éducation
Ron DeSantis.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
22 mars 2024 (LifeSiteNews) — L’administration DeSantis a inexplicablement déclaré victoire pour le maintien de sa loi surnommée « Ne dites pas Gay » après avoir signé un accord qui neutralise l’intention de la loi, permettant aux influenceurs LGBT dans les systèmes scolaires de Floride de continuer pratiquement sans entrave leurs efforts d’endoctrinement des enfants dans les écoles publiques.
La semaine dernière, l’État de Floride a conclu un accord avec le groupe pro -LGBT Equality Florida et d’autres plaignants dans une affaire contestant la loi sur les droits parentaux en éducation (Parental Rights in Education Act), promulguée en 2022 pour restreindre l’enseignement de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre dans les écoles publiques.
Le règlement, qui a été accepté par l’administration DeSantis, laisse la loi en place mais contient un langage très inquiétant que la Christian Family Coalition (CFC) de Floride pense que les enseignants et administrateurs activistes LGBT utiliseront pour violer l’intention et l’esprit originaux de la loi, qui a été créée en réponse à l’indignation croissante des parents face à l’endoctrinement LGBT omniprésent dans les salles de classe à travers la Floride.
Lire la suiteL’Indiana lance un site permettant aux parents de dénoncer l’endoctrinement sur le genre et les races dans les écoles
Todd Rokita, procureur général de l'Indiana.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Office of the Indiana Attorney General/YouTube
9 février 2024, Indianapolis (LifeSiteNews) — Le bureau du procureur général républicain de l’Indiana, Todd Rokita, a lancé un site internet pour permettre aux parents de l’État de signaler plus facilement les cas d’endoctrinement idéologique dans les salles de classe de leurs enfants.
La page officielle « Eyes on Education » de l’État contient un formulaire que les résidents peuvent remplir pour soumettre leurs plaintes, accompagnées de photos ou de documents le cas échéant, un lien vers la Charte des droits des parents de l’Indiana qui précise les garanties d’implication des parents et les options de recours, ainsi que des liens vers la documentation sur les politiques pertinentes et le matériel répréhensible provenant de nombreux districts scolaires de l’État.
« Nos enfants doivent se concentrer sur les éléments fondamentaux de l’éducation, et non sur l’idéologie politique, qu’elle soit de gauche ou de droite », peut-on lire sur la page. « Eyes on Education est une plateforme permettant aux étudiants, aux parents et aux éducateurs de soumettre et de visionner des exemples réels provenant de salles de classe de tout l’État. Le bureau du procureur général assurera le suivi des documents soumis au portail qui pourraient enfreindre la loi de l’Indiana en utilisant nos outils d’investigation, y compris les demandes d’archives publiques, et publiera également ses conclusions sur le portail ».
Lire la suiteUne vidéo hilarante montre à quel point il est facile de démystifier la propagande transgenre
Socrate.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Tloutakos/Wikimedia Commons
5 février 2024 (LifeSiteNews) — Une vidéo publiée sur X (Twitter) par Lee Harris, le commentateur de GB News, dans laquelle un enseignant interroge calmement un élève sur les raisons pour lesquelles il pense que J.K. Rowling est « transphobe », est devenue virale, accumulant 36 millions de vues et 36 000 rediffusions. La vidéo dure un peu plus de quatre minutes et mérite qu’on s’y attarde :
This is utterly brilliant. A student accuses @jk_rowling of being transphobic. This teacher skilfully dissects the claim and challenges it by asking questions.
— Lee Harris (@addicted2newz) February 3, 2024
He teaches not what to think, but how to think critically.
Watch until the end.
You see the epiphany in real-time. pic.twitter.com/x00gWdOugc
L’élève demande au professeur s’il aime toujours le travail de Rowling « malgré ses opinions intolérantes ».
« Mais soyons précis. Définissons les “opinions intolérantes”. Quelles sont les opinions intolérantes ? », répond l’enseignant. « Il s’agit d’une expérience de pensée. Je ne vais pas dire ce qui est bien ou mal ou ce qu’il faut penser. L’objectif est d’apprendre à penser, pas de savoir ce qu’il faut penser. Oui, lorsque vous dites “intolérantes”, vous partez de la conclusion suivante : “étant donné ses opinions intolérantes”. Commençons donc par demander si elle a des opinions intolérantes. Ainsi, lorsque vous dites “opinions intolérantes”... »
L’élève : « J’ai entendu dire qu’elle était extrêmement transphobe ».
Enseignant : « Vous avez entendu, et alors ? Pouvez-vous me donner un exemple ? »
Lire la suiteLes militants LGBT craignent que Blaine Higgs ne l’emporte grâce à son programme sur les droits parentaux
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
29 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Le jeudi 25 janvier, le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, a prononcé un discours sur « l’état de la province » devant une foule à Fredericton, détaillant les réalisations de son gouvernement et exposant le plan de son administration. À plusieurs reprises, M. Higgs a mentionné le soutien indéfectible de son gouvernement aux droits parentaux, ce qui lui a valu d’être la cible des militants LGBT et des politiciens progressistes depuis qu’il a modifié la politique 713. En vertu de ces modifications, le personnel scolaire doit obtenir le consentement des parents avant de changer, à l’école, le nom ou les pronoms de leurs enfants pour le genre opposé, une pratique qui avait été introduite discrètement quelques années auparavant.
M. Higgs a indiqué qu’il était prêt à s’attaquer à des « questions difficiles » — en décembre, il a réaffirmé que les droits parentaux étaient « très importants » pour lui — et son bilan le prouve. Malgré une couverture médiatique presque universellement négative et la démission de deux de ses ministres, M. Higgs s’en est tenu à ses principes et a compté sur le soutien de l’opinion publique. En effet, les sondages ont indiqué qu’une super-majorité de Canadiens soutenait sa décision politique, et une série d’autres premiers ministres lui ont rapidement emboîté le pas en mettant en œuvre des politiques similaires. La décision de M. Higgs de prendre position a donné aux autres premiers ministres la colonne vertébrale qu’ils auraient dû avoir eux-mêmes. En effet, les conservateurs de son propre parti ont renoncé à contrecœur à tenter de l’évincer après de multiples tentatives risibles et infructueuses d’imposer un réexamen de la direction du parti.
Lire la suiteLa guerre non déclarée contre les parents
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gajus/Adobe Stock
Le 28 février 1395, Isidore Glabas, évêque de Thessalonique, en Grèce du Nord, prononça un sermon dans lequel il commença par poser la question suivante :
« Que dois-je dire et comment dois-je considérer l’ampleur du malheur présent ? ... J’ai entendu le dur décret concernant nos êtres les plus chers, et je tremble comme quelqu’un devant un feu trop chaud pour en être approché, ou comme quelqu’un qui se trouve face à un escrimeur invincible. ... Mes lèvres se transforment en lamentations, mon esprit se voile d’un nuage de découragement et je suis presque fou. Mes yeux sont remplis de larmes et je ne peux plus supporter de voir mes bien-aimés. » (1)
Ce qu’il raconte ensuite est l’une des premières descriptions que nous ayons du devshirme (du mot turc signifiant « rassemblement »), également connu sous le nom d’impôt sur le sang : le tribut sur les enfants exigé des peuples de Roumanie, de Grèce et des Balkans. Tous les cinq ans environ, sur les terres chrétiennes de l’Empire ottoman, les garçons âgés de huit à quinze ans étaient « rassemblés » et les plus grands, les plus forts et les plus beaux étaient ramenés en Anatolie en tant qu’esclaves. Là, ils étaient convertis de force à l’islam et recevaient des noms musulmans. Ils étaient soumis à des travaux forcés pour les endurcir avant de suivre une formation militaire. Les meilleurs et les plus brillants rejoignaient les rangs privilégiés des janissaires, les troupes d’élite du sultan. Fanatiquement fidèles à leur nouveau maître, ils étaient utilisés pour soumettre leur propre peuple et conquérir de nouveaux territoires pour les Turcs. C’est ainsi que les fils de parents chrétiens ont contribué à perpétuer le régime qui les avait réduits en esclavage ainsi que les générations de garçons qui leur ont succédé.
Lire la suiteViktor Orbán est un héros parce qu’il ne sacrifie pas sa nation pour l’argent de l’UE
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alan Santos/PR/Palácio do Planalto/Flickr
22 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Si vous voulez savoir pourquoi le premier ministre hongrois Viktor Orbán est un héros pour de nombreux conservateurs, prenez une minute pour regarder cette brillante vidéo :
#Hungary cannot be blackmailed! There is not enough money in the world to force us to accept mass #migration and to put our children in the hands of LGBTQ activists. This is impossible! pic.twitter.com/RXobNStYMy
— Orbán Viktor (@PM_ViktorOrban) January 19, 2024
« Il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour nous forcer à laisser entrer les migrants », déclare M. Orbán. « Et il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour lequel nous mettrions nos enfants ou nos petits-enfants entre les mains d’activistes LGBTQ. C’est impossible. »
Pourquoi, demande M. Orbán, le commissaire européen retient-il des fonds auxquels la Hongrie a droit ? Pour deux raisons. Premièrement, leur position sur l’immigration. Deuxièmement, » [les Hongrois] ne permettent pas aux militants LGBTQ d’être parmi leurs enfants. Et c’est une erreur d’un point de vue européen, selon leur idée de l’Europe, et ils veulent changer ces lois par tous les moyens, y compris la pression financière. La seule chose que nous pouvons dire — très calmement — en guise de réponse, c’est qu’il n’y a pas assez d’argent dans le monde ».
Depuis des mois, la Commission européenne à Bruxelles, qui fait partie de l’exécutif de l’Union européenne, bloque environ 20 milliards d’euros de fonds européens destinés à Budapest en raison de sa position sur les questions de migration et d’idéologie LGBT. M. Orbán s’est attiré les foudres de l’Union européenne après avoir interdit la propagande LGBT destinée aux jeunes, ce qui a valu à la Hongrie d’être traduite devant la Cour de justice de l’Union européenne. En 2010, le parti d’Orbán a également adopté une loi consacrant la définition du mariage comme étant l’union d’un homme et d’une femme.
Lire la suiteLe gouvernement néo-zélandais va retirer l’endoctrinement LGBT des écoles
Par David James — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressfoto/Freepik
15 décembre 2023, Wellington (LifeSiteNews) — Le nouveau gouvernement de la Nouvelle-Zélande, une coalition entre le Parti national de centre droit, le parti libertaire ACT New Zealand, et le parti populiste Nouvelle-Zélande d’abord, a signalé qu’il supprimerait les lignes directrices portant sur le genre, la sexualité et les relations des écoles.
Cette annonce fait partie de « guerre au wokisme » du nouveau gouvernement. Les lignes directrices visant à replacer les autres restent à définir mais, selon le premier dirigeant néo-zélandais Winston Peters, l’intention est de les rendre plus transparentes. Il a dit que les parents ont le droit de savoir ce que leur enfant apprend « avant et non après l’événement ».
Selon l’organisme de bienfaisance néo-zélandais Family First, le programme précédent visait à « injecter l’éducation sexuelle dans le reste du programme », mettant ainsi « les écoles à risque de devenir des espaces d’idéologies et d’endoctrinement ». Les enfants d’âge primaire devaient « être traités par leur nom et leurs pronoms préférés ». L’accès aux toilettes devait « correspondre à leur identité de genre ». Les étudiants trans n’étaient pas tenus d’utiliser des toilettes neutres, mais pouvaient choisir les toilettes pour hommes ou femmes au choix. L’ancien programme s’étendait même à l’enseignement des sciences, les élèves étant invités à examiner comment le sexe biologique est « construit ».
Lire la suiteLettre ouverte au ministre de l’Éducation Bernard Drainville
Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : goodluz/Adobe Stock
Le 10 novembre 2023
Monsieur Bernard Drainville
Ministre de l’Éducation du Québec
Bonjour Monsieur Drainville !
En tant que fondatrice et directrice du Centre international de recherche et d’éducation familiale, (CIREF), je me sens poussée à vous revenir. Cette fois, c’est dans le but de vous exprimer ce qui m’est monté au cœur et à l’esprit à la suite de la présentation de votre Plan pour combattre la violence et l’intimidation dans les écoles. J’y vois, sans aucun doute, un projet qui s’impose dans notre société actuelle marquée par une violence qui demande d’être prévenue en tout lieu.
Avant tout, Monsieur Drainville, je tiens à vous dire grand merci d’avoir souligné cette phrase qui m’a beaucoup plu et qui m’invite à m’adresser à vous, en toute confiance :
« L’éducation, ça commence à la maison ! »
Combien je souhaiterais que ces quelques mots soient retenus par l’ensemble de notre société québécoise ! Cela aiderait un grand nombre de nos concitoyens à reconnaître l’importance pour tout enfant, dans le cadre de son éducation familiale, d’être aidé dans le développement des fondements de la construction de sa personne.
Cela exige, aujourd’hui comme hier, de faire l’expérience d’être aimé par ses deux parents, afin d’apprendre à s’accepter et à s’aimer et pour apprendre, au fil des années, à aimer autrui par le don généreux de soi-même. Cela s’apprend, avant tout, à l’école de sa famille.
Ne dit-on pas :
Lire la suite« Qui sait vivre en famille, sait vivre en société » ?
Les politiciens canadiens commencent à prendre position en faveur des droits parentaux en matière d’éducation
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :gpointstudio/Adobe Stock
13 novembre 2023 (LifeSiteNews) — L’un des aspects les plus encourageants de la conversation publique sur les droits parentaux au Canada est le fait que les politiciens, qui sont principalement libertaires dans leurs perspectives — tels que le chef conservateur fédéral Pierre Poilievre et le premier ministre de l’Alberta Danielle Smith — expriment également leur soutien aux droits parentaux dans l’éducation. Lors du récent congrès du Parti conservateur uni à Calgary, par exemple, Mme Smith a rendu ce soutien explicite, ce qui lui a valu des applaudissements nourris de la part des députés.
« Je veux que tous les parents qui m’écoutent aujourd’hui m’entendent haut et fort : les parents sont les premiers responsables et éducateurs de leurs enfants », a déclaré Mme Smith. « Nous ne pouvons pas avoir une province ou une société prospère sans des familles fortes et épanouies. Et même si l’extrême gauche sape souvent le rôle des parents, je veux que vous sachiez que les droits parentaux et le choix de l’éducation de votre enfant sont et resteront un principe fondamental de notre parti et de notre gouvernement, et nous ne nous excuserons jamais pour cela. »
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