Une loi qui criminalise la fessée progresse au Parlement écossais
Chateau d'Édimbourg, capitale de l'Écosse.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos : lino9999/Pixabay, waldomiguez/Pixabay
Le gouvernement d’Écosse est en train de s’ingérer dans un domaine qui n’est pas le sien, à savoir l’éducation des enfants. Les châtiments corporels peuvent être raisonnables et le gouvernement s’occupe déjà de sévir contre ce qui est manifestement une vraie violence. Si ce projet de loi n’est pas l’aboutissement ultime du pacifisme, je me demande ce que c’est… En fait, c’est plutôt la lente appropriation des enfants par l’État. Extrait de LifeSiteNews :
L’Écosse envisage d’adopter une loi qui rendrait illégale toute forme de correction physique d’un enfant.
Le « projet de Loi sur les enfants (l’Égalité de protection contre les agressions) (d’Écosse) » a été adopté hier à Holyrood, au Parlement écossais, lors de la première étape d'un processus en trois paliers.
Le projet de loi a reçu 80 voix pour et 29 voix contre. Tous les partisans du projet de loi étaient du Scottish National Party (SNP), le Labour Party et le Green Party, tandis que l’opposition venait des partis conservateurs écossais. Selon le magazine en ligne Holyrood, le projet de loi sera maintenant « examiné et amendé à l’étape du comité ».
John Finnie, membre du Parlement écossais (MSP) pour la région des Highlands et des îles, a présenté le projet de loi le 6 septembre 2018. Hier, il a dit aux autres MSP d’Holyrood qu’il voulait « envoyer un message clair » sur la correction des enfants.
« Mon intention en présentant ce projet de loi est de clarifier la loi en supprimant la protection du châtiment raisonnable, parfois appelé voies de fait justifiables, et d’envoyer un message clair que le châtiment corporel des enfants n’est pas acceptable, » disait-il.
Parlement d'Écosse, à Édimbourg.
Insanité transgenre : La police arrête maintenant les gens riant à la vue d’hommes habillés en femmes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : HoustondwiPhotos mp/Flickr
L’idéologie du genre s’impose de plus en plus comme vérité primordiale et comme droit intrinsèque. En Grande-Bretagne on peut se faire appeler par la police pour avoir critiqué la théorie du genre, on peut se faire emprisonner pour s’être adressé à un « transgenre, » aux prétentions féminines, comme à un homme qu’il est, enfin on peut se faire arrêter pour avoir ri d’un homme habillé en femme… Quelle est la prochaine étape ? Extrait d’un article de LifeSiteNews, par Jonathon Van Maren :
Lire la suiteUne anecdote circulait pendant la guerre froide au sujet d’un juge soviétique qui avait été vu retournant à son bureau en train de rire de bon cœur. Son collègue s’est approché de lui et lui a demandé ce qui était si drôle. « Oh, juste une blague hilarante que j’ai entendue, » dit le juge. « Eh bien, allez-y, dites-la-moi ! » répondit son collègue. « Oh, je ne pourrais pas faire ça », rétorqua le juge soviétique. « Je viens de donner dix ans à quelqu’un pour ça. »
Je me suis souvenu de cette petite anecdote lorsque j’ai vu dans le Edinburgh News la semaine dernière un article intitulé « Edinburgh labourer shouted abuse at transgender woman » (Des travailleurs manuels d’Édimbourg agressent verbalement une femme transgenre). Il s’avère qu’un certain Graham Spiers, père de deux enfants et ouvrier dans la construction employé sur le chantier de St. James, passait devant un pub de Bonnington dans Édimbourg, avec quelques copains, quand ils ont croisé une femme transgenre, c’est-à-dire un homme biologique. Bien que le journaliste qui écrit l’histoire se donne beaucoup de mal pour donner l’impression que Spiers « criait » sur la victime apparente, Spiers et ses amis étaient spécifiquement accusés de montrer du doigt cette personne et d’en rire ».