Écosse arc-en-ciel : leçons lgbtqi+ obligatoires
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo (modifié) : Freepik
D’ici mai 2021, dans toutes les écoles publiques écossaises deviendront obligatoires des leçons Lgbtqi+. On y parlera de la terminologie arc-en-ciel, de « l’homophobie-biphobie-transphobie », de l’histoire du mouvement Lgbt et de bien d’autres choses encore ayant trait à la culture gay.
Le projet à forte teinte idéologique avait déjà été approuvé en 2018. Le vice-premier ministre de l’époque, John Swinney, avait déclaré :
L’Ecosse est déjà considérée comme l’un des pays les plus progressistes d’Europe en matière d’égalité Lgbtqi+. Je suis heureux d’annoncer que nous serons le premier pays au monde à intégrer une éducation Lgbtqi+ inclusive dans le programme scolaire. Notre système éducatif doit aider chacun à atteindre son plein potentiel. Pour cette raison, il est essentiel que le programme soit aussi diversifié que les jeunes qui viennent apprendre dans nos écoles. Les recommandations acceptées amélioreront non seulement l’expérience d’apprentissage de nos jeunes Lgbt, mais aideront également tous les élèves à célébrer leurs différences, à promouvoir la compréhension et à encourager l’inclusion.
C’est la première fois au monde qu’un gouvernement impose des leçons de genre sur tout son territoire national [excepté au Québec*]. Nous passons ainsi de l’interdiction de discriminer à l’obligation d’embrasser l’idéologie gender, qu’on le veuille ou pas. La Gaystapo est tyrannique.
*Commentaire d’A. H.
Le prélèvement d’organes se fera en Angleterre sur consentement présumé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : peoplecreations/Freepik
L’Angleterre a décidé que le prélèvement d’organes pourra s’effectuer sur la base du consentement présumé des personnes déclarées « mortes », c’est-à-dire les gens qui n’auront pas demandé au gouvernement de ne pas les considérer comme consentants. Précisons que le prélèvement d’organe s’opère sur des personnes dites en état de « mort cérébrale », concept fumeux expressément inventé pour prélever des organes sur des personnes mourantes, ou dans un coma irréversible (encore que les médecins puissent se tromper dans ce cas) ; on ne récolte pas d’organes vivants sur un cadavre. Mais le critère de « mort cérébrale » est plus moins libéral selon les pays, et l’est de plus en plus, comme en Australie où l’arrêt « permanent » de la fonction cardiaque (qui peut être restaurée) en est un. Selon LifeSiteNews :
La loi anglaise permettra désormais à l’État de présumer le consentement à fin de prélèvement d’organes des personnes déclarées « mortes ».
La nouvelle loi qui est entrée en vigueur la semaine dernière accorde au gouvernement l’autorité de prélever les organes des personnes déclarées mortes, à moins que la personne n’ait spécifiquement déclaré qu’elle ne voulait pas que ses organes fussent utilisés. Le gouvernement affirme que la loi a été modifiée « pour aider à sauver et améliorer plus de vies ».
Une loi similaire existe au Pays de Galles depuis 2015. En Écosse, une loi supposant le consentement au don d’organes entrera en vigueur en mars 2021.
« Des cadavres au cœur battant » :
« La prétendue “mort cérébrale” permet aux médecins de prélever des organes vitaux de patients qui sont très probablement encore en vie, bien qu’ils soient peut-être inconscients et proches de la mort », a expliqué le Dr McCarthy [de SPUC].
Les cœurs des donneurs, par exemple, sont en pratique prélevés sur des « cadavres au cœur battant ». La publicité incitant les gens à faire don de leurs organes ne révèle pas que les donneurs dont le cœur bat encore peuvent bouger lors du prélèvement, à moins qu’ils ne soient paralysés par des produits », a-t-il poursuivi.
« Les chirurgiens en transplantation le savent et ils savent aussi que la pression sanguine de la personne augmente lorsqu’une incision est faite. Certains anesthésistes recommandent que ledit “cadavre” soit anesthésié lors du prélèvement de ses organes ».
Le critère australien de perte « permanente » (c.-à.-d., qui demeure pendant une période de temps longue et indéterminée) :
« Un exemple d’évolution inquiétante est le passage en Australie du prélèvement d’organes ne devant être tenté qu’après une perte “irréversible” de la fonction cardiaque, au prélèvement d’organes pouvant être tenté dès la perte “permanente” de la fonction cardiaque, ce dernier cas peut inclure des situations où il a déjà été décidé que la réanimation ne serait pas tentée. Comme l’indique un rapport, “on ne peut prétendre à juste titre que la mort est survenue si la fonction cardiaque peut être rétablie, même si une décision a été prise de ne pas le faire”.
Un juge ne se décide pas à emprisonner un transgenre violent dans une prison pour hommes ou pour femmes
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
East Sussex, Angleterre, 3 mars 2020 (LifeSiteNews) — Au Royaume-Uni, un homme biologique* a plaidé coupable devant l’accusation d’agression après tentative de vol le mois dernier, mais il n’ira pas en prison, car le juge n’a pas su déterminer s’il fallait envoyer la « femme transgenre » dans un établissement pour hommes ou pour femmes.
Leila Le Fey (également connue sous les noms de Layla Le Fey, Adam Hodgson et Marcus Smith) a reconnu avoir menacé un homme avec un marteau au cours d’une tentative de vol de vin dans un magasin de Budgens, rapporte le Daily Mail. Ce n’était que le plus récent des plus de 50 délits inscrits à son dossier, dont de multiples cas de vols à l’étalage armés.
Qualifiant les actions de La Fey d’« inexcusables », le juge Stephen Mooney lui a d’abord infligé une peine de six mois, mais l’a suspendue après que les avocats du prévenu eussent fait valoir que Le Fey ne possédant pas de Certificat de reconnaissance de genre, qui ne sont octroyés qu’aux personnes ayant passé au moins deux ans à vivre comme membres de l’autre sexe, se verrait envoyé dans un établissement pour hommes. On ignore si Le Fey est passé par la transition chirurgicale.
« Nous vivons dans une société qui reconnaît et accepte la diversité et qui permet et encourage les gens à vivre la vie qu’ils veulent avoir », a déclaré M. Mooney. « Parfois, la société ne fait pas les ajustements nécessaires ou appropriés de toutes les manières possibles pour refléter les ajustements de la société dans son ensemble ».
« Après avoir réfléchi à nouveau à l’impact qu’aurait une peine d’emprisonnement immédiate, aux difficultés qu’il y réside et aux problèmes insolubles auxquels le service pénitentiaire serait confronté, j’ai réexaminé la question de l’emprisonnement immédiat », conclut-il. « À la lumière de ces informations, je suis arrivé à la conclusion que dans votre cas particulier, cela me permet d’espérer une certaine forme de réhabilitation ».
Au lieu d’une peine d’incarcération, Le Fey devra suivre 30 séances de réhabilitation, probablement liées à un problème de toxicomanie auquel son avocat a partiellement attribué son dernier crime.
« J’en ai plus qu’assez des hommes qui utilisent l’auto-identification pour abuser et s’en prendre aux femmes et aux filles et qui reçoivent une carte “sortez de prison” », écrivait Julie Bindel dans le UK Spectator. « Un nombre record de délinquants de détenus masculins s’identifient désormais comme femmes. The Daily Telegraph a rapporté qu’il y avait plus de 100 prisonniers de ce type, soit le double de ce qu’on trouvait voilà deux ans. Fair Play for Women estime que la moitié des prisonniers transgenres sont des délinquants sexuels ou des détenus dangereux de catégorie A ».
En Amérique du Nord et en Europe, on s’inquiète de plus en plus du placement d’hommes qui prétendent être des femmes dans des prisons pour femmes, ceux-ci encouragés par des cas comme celui de Stephen Wood, qui a agressé quatre détenues après avoir été placé dans un établissement pour femmes sous le nom de « Karen White ». Le Canada et l’Écosse ont également vu des cas d’hommes revendiquant le statut de « transgenre » afin d’obtenir un traitement plus léger pendant leur incarcération.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Un étudiant viré de sa classe pour avoir dit qu’il n’y a que deux sexes
Le professeur qui a mis dehors un élève parce que celui-ci disait qu'il n'y avait que deux sexes.
Par Doug Mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo
Écosse, 19 juin 2019 (LifeSiteNews) — Un enseignant en Écosse a fait sortir un élève de sa classe après que celui-ci eût insisté sur le fait qu’il n’y avait que deux sexes, masculin et féminin. La vidéo, prise par l’élève sur un téléphone [in]intelligent*, montre l’enseignant qui apostrophe l’élève en dehors de la salle de classe de ce qu’il ne soit pas « inclusif ».
La brève vidéo, filmée par un étudiant du nom de Murray et fournie par le blogue de l’archevêque Cranmer, montre l’enseignant de plus en plus énervé envers Murray, qui persiste calmement à insister sur la réalité binaire de la sexualité humaine homme-femme. On ignore qui est l’enseignant ou dans quelle école cela s’est déroulé.
« Pourquoi m’avez-vous mis à la porte de la classe ? Ce n’est pas très inclusif de votre part », a déclaré Murray.
« Je suis désolé, mais ce que tu disais n’était pas très "inclusif", a déclaré l’enseignant de Murray, "et ici c’est une école inclusive". »
Lire la suiteUne loi qui criminalise la fessée progresse au Parlement écossais
Chateau d'Édimbourg, capitale de l'Écosse.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos : lino9999/Pixabay, waldomiguez/Pixabay
Le gouvernement d’Écosse est en train de s’ingérer dans un domaine qui n’est pas le sien, à savoir l’éducation des enfants. Les châtiments corporels peuvent être raisonnables et le gouvernement s’occupe déjà de sévir contre ce qui est manifestement une vraie violence. Si ce projet de loi n’est pas l’aboutissement ultime du pacifisme, je me demande ce que c’est… En fait, c’est plutôt la lente appropriation des enfants par l’État. Extrait de LifeSiteNews :
L’Écosse envisage d’adopter une loi qui rendrait illégale toute forme de correction physique d’un enfant.
Le « projet de Loi sur les enfants (l’Égalité de protection contre les agressions) (d’Écosse) » a été adopté hier à Holyrood, au Parlement écossais, lors de la première étape d'un processus en trois paliers.
Le projet de loi a reçu 80 voix pour et 29 voix contre. Tous les partisans du projet de loi étaient du Scottish National Party (SNP), le Labour Party et le Green Party, tandis que l’opposition venait des partis conservateurs écossais. Selon le magazine en ligne Holyrood, le projet de loi sera maintenant « examiné et amendé à l’étape du comité ».
John Finnie, membre du Parlement écossais (MSP) pour la région des Highlands et des îles, a présenté le projet de loi le 6 septembre 2018. Hier, il a dit aux autres MSP d’Holyrood qu’il voulait « envoyer un message clair » sur la correction des enfants.
« Mon intention en présentant ce projet de loi est de clarifier la loi en supprimant la protection du châtiment raisonnable, parfois appelé voies de fait justifiables, et d’envoyer un message clair que le châtiment corporel des enfants n’est pas acceptable, » disait-il.
Parlement d'Écosse, à Édimbourg.
Insanité transgenre : La police arrête maintenant les gens riant à la vue d’hommes habillés en femmes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : www.houstondwiattorney.net/HoustondwiPhotos mp/Flickr
L’idéologie du genre s’impose de plus en plus comme vérité primordiale et comme droit intrinsèque. En Grande-Bretagne on peut se faire appeler par la police pour avoir critiqué la théorie du genre, on peut se faire emprisonner pour s’être adressé à un « transgenre, » aux prétentions féminines, comme à un homme qu’il est, enfin on peut se faire arrêter pour avoir ri d’un homme habillé en femme… Quelle est la prochaine étape ? Extrait d’un article de LifeSiteNews, par Jonathon Van Maren :
Lire la suiteUne anecdote circulait pendant la guerre froide au sujet d’un juge soviétique qui avait été vu retournant à son bureau en train de rire de bon cœur. Son collègue s’est approché de lui et lui a demandé ce qui était si drôle. « Oh, juste une blague hilarante que j’ai entendue, » dit le juge. « Eh bien, allez-y, dites-la-moi ! » répondit son collègue. « Oh, je ne pourrais pas faire ça », rétorqua le juge soviétique. « Je viens de donner dix ans à quelqu’un pour ça. »
Je me suis souvenu de cette petite anecdote lorsque j’ai vu dans le Edinburgh News la semaine dernière un article intitulé « Edinburgh labourer shouted abuse at transgender woman » (Des travailleurs manuels d’Édimbourg agressent verbalement une femme transgenre). Il s’avère qu’un certain Graham Spiers, père de deux enfants et ouvrier dans la construction employé sur le chantier de St. James, passait devant un pub de Bonnington dans Édimbourg, avec quelques copains, quand ils ont croisé une femme transgenre, c’est-à-dire un homme biologique. Bien que le journaliste qui écrit l’histoire se donne beaucoup de mal pour donner l’impression que Spiers « criait » sur la victime apparente, Spiers et ses amis étaient spécifiquement accusés de montrer du doigt cette personne et d’en rire ».
L’éducation « gay » et LGBT devient obligatoire en Écosse
Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
L’éducation à l’homosexualité entre à l’école, en Écosse ! On est bien loin des époques mémorables où les rudes Scots savaient tenir tête aux légionnaires romains et aux farouches Anglais ; adeptes des nouvelles « valeurs » contemporaines, de la stupidité de « genre », et du sexuellement correct, ils inclinent craintivement leur tête devant la dictature gaystapiste, véritable puissance tyrannique de nos temps post-modernes.
L’Écosse devient ainsi le premier pays qui oblige les écoles d’État à intégrer l’enseignement des « droits » des minorités sexuelles, c’est-à-dire des lesbiennes, gays, bissexuels, transsexuels et intersexuels dans le cursus scolaire. Le gouvernement a accepté d’intégrer les propositions d’un groupe de travail conduit par des activistes homosexualistes, le Time for Inclusive Education (TIE). Ainsi les établissements scolaires devront, dorénavant, enseigner l’histoire des mouvements gays et lesbiens, affronter les thèmes liés à « l’homophobie » et « la transphobie » et explorer « l’identité Lgbt ». Tout un programme de formatage à l’idéologie arc-en-ciel sur lequel les élèves seront interrogés aux examens finaux.
L’activiste et cofondateur de TIE, Jordan Daly, a bien raison d’évoquer un moment historique :
Lire la suite« C’est une victoire monumentale pour notre campagne et un moment historique pour notre pays. La mise en place de l’instruction inclusive Lgbt dans toutes les écoles d’État est une nouveauté mondiale. Dans un moment d’incertitude globale, ce message envoie aux jeunes lgbt un message fort et clair qu’ici en Écosse ils sont appréciés. »
Mutilations et suicides chez les jeunes «transgenres» ?
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Un rapport instructif de l’organisation écossaise de défense des droits des homosexuels, « Stonewall », révèle que la majeure partie des jeunes dits « transgenres » se font volontairement du mal, un mal allant jusqu’aux mutilations, voire jusqu’au suicide. Un comportement qui dénote un malaise profond, un trouble psychologique intense – et réel, comme le montrent fort bien les chiffres. Mais pour « Stonewall », il ne peut être en aucun cas être la cause de leur « disphorie sexuelle ». Il est, encore et toujours, la conséquence du rejet dont ils font l’objet. Le message est clair : il faut renforcer l’éducation sexuelle dans les écoles sur ce sujet – et sur tous ceux du vaste domaine LGBT…
Le très engagé « Stonewall »
L’étude « School Report Scotland », menée avec l’Université de Cambridge, a pour principal objectif de porter, on l’imagine bien, sur les intimidations et les discriminations que subissent les élèves LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans). Mais les chiffres lancés confirment, encore une fois, autre chose.
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