Des écoles obligées d’arborer le drapeau LGBT
Lettre de Jeff Gunnarson, Président national de Campaign Life Coalition — traduit par Campagne Québec-Vie
Cher sympathisant,
Le programme LGBT pour les écoles publiques est en train d'être mis en œuvre agressivement, une toute nouvelle stratégie d’endoctrinement dans le domaine de l’école, visant les enfants dès le plus jeune âge.
Tel que rapporté dans le Windsor Star, le Greater Essex County District School Board d’Ontario a voté le 19 février pour forcer toutes les écoles élémentaires [de son district] à arborer le drapeau de la fierté homosexuelle pendant au moins une semaine au mois de juin, lorsque le « mois de la fierté gaie » est célébré.
Comme le rapporte LifeSiteNews, cette stratégie d’endoctrinement public est mise en œuvre dans les conseils scolaires partout au pays.
Dès l’âge de 4 ans, à la maternelle, les enfants verront le drapeau de la fierté gaie flotter au-dessus de leur tête lorsqu’ils entreront dans l’école.
De plus, nous savons que, très souvent, tout le corps étudiant est obligé de sortir pour une cérémonie du lever du drapeau, au cours de laquelle les enfants se font apprendre à accepter et à célébrer l’homosexualité, le transgenrisme et toutes les identités sexuelles poussées par le lobby LGBT, qu’ils le veuillent ou non.
Lire la suiteSi vous ne voulez pas que vos enfants soient endoctrinés, sortez-les des écoles publiques
Par Jonathon Van Maren (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
8 février 2018 (The Bridgehead) — Si la gauche progressiste peut revendiquer une victoire culturelle presque totale, c’est bien dans son infiltration et sa conquête du système éducatif public. Les écoles publiques du monde occidental — en particulier le Canada, les États-Unis et la Grande-Bretagne — servent maintenant de vecteurs d’idéologie postmoderne, et sont remplies de cours de « justice sociale » ainsi que d’éducation sexuelle conçue pour intégrer une grande variété de modes de vie alternatifs. Les dernières nouvelles sur ce front viennent du Royaume-Uni.
D’après Breitbart :
« Annonçant une mise à jour du programme LGBT inclusif, le géant de l’éducation Pearson a lancé un guide pour pousser l’activisme en “justice sociale” dans toutes les parties du programme scolaire.
“Creating an LGBT-Inclusive Curriculum” (Créer un programme d’études LGBT inclusif) a été produit par le groupe d’activistes LGBT Stonewall et promu par la maison Pearson, qui possède le conseil d’examen Edexcel et publie des milliers de manuels scolaires en tant qu’une des plus grandes entreprises d’éducation du Royaume-Uni.
Lire la suiteTémoignage de Patrick Lagacé sur l'école publique
Sur le site du journal La Presse du 18 octobre 2012:
(Patrick Lagacé)
Quand vint le temps de la rentrée 2010, les aléas de la vie ont fait que mon fils était inscrit à l'école du quartier de l'appart de sa mère. Une école publique de la CSDM, dans Rosemont. Je n'avais aucune espèce de préjugés, même si l'école souffrait d'une mauvaise réputation parmi les parents que je connaissais dans le quartier.
Je me rappelle ce matin-là. Je me souviens d'avoir braillé comme un veau, en le voyant marcher dans ses vêtements neufs, un sac d'école trop gros sur son petit dos.
***
Je me rappelle aussi la première chose que j'ai vue en mettant le pied dans la cour de cette école: des éclats de verre brisé, vestiges de quelques bouteilles de bière balancées là. J'étais loin d'être impressionné qu'on ait laissé traîner ça, en ce jour de rentrée.
Dans certaines écoles de Montréal, je sais que la rentrée est l'occasion de faire une grande fête dans l'école. Mais en ce matin d'août 2010, ni jeux gonflables, ni mascottes, ni musique n'attendaient les ti-culs de la maternelle. L'atmosphère dans le gymnase était aussi jojo qu'au centre de tri du goulag.
Sans convivialité et sans bonne humeur, les trois profs plantés au centre du gymnase appelaient les élèves un par un. Une fois sur deux, un père ou une mère devait aller pousser son enfant dans le dos vers le prof, parce qu'il était soit a) mort de trouille comme tout bon enfant de 5 ans à son premier jour d'école, soit b) assourdi par l'écho de la voix de ces adultes inconnus.
Même pas foutus, ces adultes, d'appâter les écoliers avec des noms de groupes ludiques de type Girafe, Licorne ou Calinours. Non, ce fut groupe 1, groupe 2, groupe 3. Bonjour l'ambiance.
Puis, la directrice est venue faire son petit laïus de début d'année aux parents. Je ne suis pas exactement dans l'équipe de Mme Denise Bombardier quand il s'agit d'étiquette et de décorum, mais quand une directrice interrompt son discours pour a) essuyer son nez enrhumé avec son avant-bras et b) s'exclamer: «Je sais pas ce que j'ai ce matin, j'ai le nez qui me coule!», je commence sérieusement à me dire que quelque chose cloche dans cette école.
Le lendemain, j'étais hors du pays. La maman de Zak m'a relaté de nouvelles anecdotes trahissant un laisser-aller inquiétant dans l'école.
Un témoignage parmi tant d'autres sur la piètre qualité de tant d'écoles publiques. Ce serait le dernier des problèmes, si en plus, ces écoles n'étaient de véritables chantiers d'endoctrinement à la pensée unique du relativisme, d'une sexualité sans amour, d'une ignorance de ce qu'est l'amour même...
N'oublions pas que c'est Diane de Courcy, ministre du Parti Québécois, qui a introduit les distributrices de condoms dans les écoles de Montréal, marquant par là un manque de confiance flagrant dans les capacités de maîtrise de soi des adolescents.