Le nouveau gouverneur pro-vie de Virginie, Glenn Youngkin, soutien les droits des parents en éducation

Glenn Yougkin, gouverneur de Virginie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Glenn Youngkin/Flickr
Le nouveau gouverneur de Virginie, le pro-vie Glenn Youngkin, qui a arraché ce bastion démocrate grâce notamment à l’appui des parents indignés par l’ingérence de l’État dans leurs prérogatives en éducation et par son incurie face au problème d’abuseurs transgenres dans les écoles, est entré en fonction le lundi 17 janvier, signant, pour son premier geste, onze décrets. Quelques-uns d’entre eux nous intéressent particulièrement.
L’interdiction de la « théorie critique de la race » dans les écoles, une idéologie qui dresse plus qu’autre chose les races les unes contre les autres ; la levée du port obligatoire du masque dans les écoles, laissant aux parents le soin de décider si leur enfant porte ou non le masque ; l’ordonnance d’une enquête sur la possible dissimulation de viols d’élèves commis par un transgenre ; et l’abrogation des mesures covid imposées aux commerces et de la vaccination obligatoire pour tous les employés de l’État ! Selon LifeSiteNews :
Parmi les points saillants, citons l’interdiction de la promotion de la théorie critique de la race — doctrine selon laquelle la race est une « catégorie socialement construite (culturellement inventée) qui est utilisée pour opprimer et exploiter les personnes de couleur » par le biais des institutions américaines — dans les écoles publiques ; la clarification du fait que les parents ont le droit exclusif de décider si leurs enfants portent le masque dans les écoles publiques ; la demande d’une enquête sur le district scolaire du comté de Loudoun à la suite d’allégations selon lesquelles il aurait couvert des viols d’étudiants ; la suppression des réglementations commerciales covid et l’annulation des mandats de vaccination covid pour tous les employés de l’État.
Plusieurs écoles ont d’ores et déjà annoncé qu’elles continueraient à imposer le masque aux enfants dans leurs murs, l’école d’Alexandrie surenchérissant avec de nouvelles directives qui obligent les élèves à porter le masque KN95 ou deux masques ! (Comment peut-on encore en redemander ?…) Le gouverneur a riposté qu’il utiliserait tous les moyens à sa disposition afin de contraindre ces écoles à se conformer à ses décrets.
Ceci dit, comme je l’ai souligné plus haut, c’est notamment grâce à l’appui des parents, indignés à juste titre, que Glenn Youngkin occupe pour le bien de tous le poste de gouverneur, tant il est vrai que lorsque les parents prennent leurs responsabilités au sérieux, il en sort un grand bien, tant pour leurs enfants que pour la nation.
Un lycée d’Arizona annule la semaine de sensibilisation transgenre suite au tollé des parents

Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
13 décembre 2021, Goodyear, Arizona (LifeSiteNews) — Dans une autre victoire récente des parents contre l’idéologie LGBT qui s’insinue dans les écoles publiques, un lycée de la région de Phoenix a mis fin à une semaine de « sensibilisation transgenre » après une vague de protestations de la part des parents et des étudiants locaux.
Le mois dernier, l’Estrella Foothills High School (EFHS) avait prévu une semaine d’activités pro-transgenre à l’échelle de l’école, en l’honneur de la « National Transgender Awareness Week » (semaine nationale de sensibilisation transgenre), rapporte The Federalist. Selon les demandes de dossiers publics, les activités comprenaient l’affichage par les élèves de leurs pronoms préférés sur des étiquettes nominatives et l’encouragement à porter des tenues de « fierté » arc-en-ciel et les couleurs rose et blanche du drapeau transgenre.
Le club « Coexist » de l’école, pro-LGBT, a été le fer de lance de cette initiative, selon les courriels publiés par The Federalist. Courtney Ratkus, professeur d’anglais à l’EFHS et marraine du club Coexist, a proposé l’idée dans un courriel adressé à la directrice Kimberly Heinz, lui demandant la permission d’organiser ce qu’elle décrit comme des « journées de l’esprit » sur le thème du transgenrisme.
Mme Ratkus a ensuite fait la promotion de la semaine de « sensibilisation aux questions transgenres » auprès des élèves et du personnel, indiquant aux élèves dans un courriel que « des badges nominatifs vous seront fournis par votre professeur de première heure » pour qu’ils puissent afficher les pronoms qu’ils auront choisis le premier jour. « J’enverrai des badges dans chacune de vos boîtes aux lettres d’ici lundi matin pour que vous puissiez les distribuer à vos élèves afin qu’ils puissent participer aux événements de lundi », a-t-elle écrit dans un autre courriel adressé au personnel.
Lire la suiteUn médecin qui a été le pionnier du protocole covid au HCQ exhorte à « la résistance contre la tyrannie gouvernementale »

Le Dr Zelenko.
Extraits de LifeSiteNews traduits par Pierre-Alain Depauw (Medias presse Info) — Photo : Facebook
Le Dr Vladimir Ze’ev Zelenko a été l’un des pionniers du protocole de traitement précoce pour COVID-19 impliquant l’hydroxychloroquine (HCQ) et le sulfate de zinc. Il avait écrit une lettre ouverte au président Donald Trump annonçant son protocole de traitement du coronavirus.
Ce médecin juif orthodoxe partage également fréquemment des réflexions sur la bataille entre le Bien et le Mal. Dans une interview du mois de mars avec le Dr Peter Breggin, Zelenko a expliqué à son hôte que l’histoire elle-même est marquée par une lutte « entre des personnes essayant de vivre une vie consciente ou centrée sur Dieu » et d’autres qui « ont toujours essayé d’être Dieu » et voulu « avoir un contrôle global sur le reste de l’humanité ».
Ce que nous vivons est probablement la plus grande opération psychologique de l’histoire de l’humanité », a-t-il déclaré. Une opération « extrêmement bien orchestrée, brillamment exécutée, [et] exceptionnellement maléfique ».
Atteint d’une forme de cancer particulièrement sévère, le Dr Zelenko estime que son devoir est de parler tant qu’il le peut encore. Il commente la publication du 19 novembre de documents utilisés par la FDA (organe officiel des Etats-Unis) pour autoriser pleinement les injections anti-COVID de Pfizer, malgré leur connaissance de 150 000 effets indésirables graves recensés et de plus de 1 200 décès liés aux « vaccinations » au cours des trois premiers mois suivant son autorisation d’utilisation d’urgence.
« Le gouvernement des États-Unis a agressé la population américaine avec ses politiques meurtrières, la preuve étant que la FDA était au courant des effets secondaires bien avant de déployer ce vaccin auprès du public américain », a déclaré Zelenko. Des propos qui valent pour tous les gouvernements occidentaux.
Lire la suiteLes écoles de Chicago obligent les garçons et les filles à partager les toilettes au nom de « l’équité des genres »

Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MarkRademaker/Adobe Stock
3 décembre 2021, Chicago (LifeSiteNews) — Le Chicago Public Schools (CPS) a annoncé qu’il exigera que toutes les écoles sous sa juridiction affichent des panneaux permettant expressément aux étudiants et au personnel de choisir des toilettes masculines ou féminines en fonction de leur « identité ou expression de genre » préférée, au nom de la réalisation de « l’équité de genre ».
« Tous les étudiants et le personnel des CPS auront un accès juste et équitable aux toilettes qui correspondent à leur identité de genre », a déclaré Camie Pratt, responsable de la sécurité des élèves des écoles publiques de Chicago, dans une annonce vidéo publiée le 30 novembre. Elle a ajouté qu’à partir du 1er décembre, les panneaux « indiqueront clairement que toutes les toilettes pourront être utilisées par toute personne qui s’y sent à l’aise ».
« Le personnel continuera à disposer de toilettes réservées au personnel », a ajouté Camie Pratt, sans préciser si ces toilettes ou d’autres installations à occupation unique seront accessibles aux élèves qui ne souhaitent pas partager des installations intimes avec un membre du sexe opposé. « Le Bureau de la protection des élèves et de [l’application de la Loi] “Title IX” de notre district travaille également sur un plan à long terme visant à créer une signalisation plus permanente pour nos salles de bain ».
« Mes filles ne se sentiront pas à l’aise de partager une salle de bain avec des garçons », a réagi un parent sur les médias sociaux, comme le souligne le Daily Wire. « Qui prend ces décisions ridicules ? Qui s’assure que les filles ne seront pas harcelées ou intimidées dans ces cabines ? Où mon enfant peut-il obtenir de l’intimité pour s’assurer qu’aucun garçon n’essaiera de l’épier pendant qu’elle est dans une cabine ? »
Les conservateurs affirment que le fait de forcer les enfants et les adolescents à partager des installations intimes avec des membres du sexe opposé viole leur droit à la vie privée, les soumet à un stress émotionnel inutile et donne aux prédateurs masculins potentiels un prétexte valable pour entrer dans les toilettes ou les [salles de] casiers des femmes.
Une révolte publique contre ces politiques a récemment alimenté la victoire du républicain Glenn Youngkin sur le démocrate Terry McAuliffe pour le poste de gouverneur de Virginie, ainsi que la prise de contrôle de la Chambre des délégués de l’État par le Parti républicain ─ révolte causée en particulier par le viol d’une étudiante par un camarade « transgenre » dans les toilettes des filles du lycée Stone Bridge du comté de Loudoun.
En juin, la Cour suprême des États-Unis a refusé d’entendre l’appel d’une décision d’une juridiction inférieure selon laquelle l’ex-étudiant « trans » Gavin Grimm avait le droit constitutionnel d’utiliser les toilettes pour hommes du lycée de Gloucester, également en Virginie, laissant ainsi en suspens une victoire de la redéfinition « transgenre » des règles fédérales de non-discrimination.
Le Vermont oblige les écoles publiques à donner des préservatifs aux enfants

Par Fabien Laurent (Médias Presse Info) — Photo : WaveBreakMediaMicro/Adobe Stock
Une nouvelle loi du Vermont qui vient d’entrer en vigueur oblige toutes les écoles secondaires publiques à fournir des préservatifs à tout élève qui en fait la demande, et ce dès l’âge de 12 ans. Le gouverneur Phil Scott, un républicain pro-avortement, a signé la loi à la fin de l’année dernière.
Le géant de l’avortement Planned Parenthood (le planning familial) est directement impliqué. Selon le rapport, « les écoles n’ont pas à payer pour les préservatifs, ils sont fournis par Planned Parenthood of Northern New England ».
Planned Parenthood est une chaîne d’avortements multimilliardaire qui réalise environ 40 % de tous les avortements aux Etats-Unis.
Le Vermont Right to Life Committee s’est inquiété du fait que le nouveau programme a le « potentiel d’augmenter les taux d’avortement dans le Vermont », rapporte CBN News. Ce qui n’est pas sans fondement comme la suite le montrera.
Le Vermont est le premier Etat américain à exiger la distribution gratuite de préservatifs dans tous les collèges et lycées publics. Les législateurs ont déclaré que le programme contribuera à prévenir et à réduire les taux de grossesses non désirées et de maladies sexuellement transmissibles.
La loi demande aux responsables des districts scolaires et aux infirmières scolaires de déterminer « la meilleure façon de mettre des préservatifs à la disposition des élèves ». Les préservatifs doivent être placés dans des endroits sûrs et facilement accessibles aux élèves, notamment dans le bureau de l’infirmière scolaire.
Lire la suiteUn Conseil scolaire « catholique » invite les enfants à s’identifier comme « non-binaires » et « fluides »
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Par Campaign Life Coalition — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pixel-Shot/Adobe Stock
(Note : Le texte suivant est une version d’un courriel traitant de questions catholiques au Conseil scolaire catholique du district de Waterloo et qui a été envoyé aux partisans de la région.)
Si vous êtes le parent d’un élève inscrit au Conseil scolaire catholique de Waterloo (WCDSB), dont le niveau se situe entre la 4e et la 12e année, communiquez s’il vous plaît avec le directeur et l’enseignant de votre école et demander à que votre enfant soit exempté de participer au « recensement des élèves » qui doit avoir lieu autour du 1er novembre. La date n’est peut-être pas exacte, mais c’est pour bientôt.
Si vous êtes grand-parent d’enfants du WCDSB, parlez à vos enfants adultes de retirer vos petits-enfants de l’école pendant cette étude.
Les activistes qui dirigent le WCDSB ont prévu de demander aux enseignants de chaque classe de la 4e à la 12e année de guider les élèves pour qu’ils remplissent un « recensement des élèves » rempli d’idéologie transgenre et homosexuelle radicale.
Le recensement des étudiants est présenté comme une initiative « antiraciste », mais il s’agit en réalité d’un programme idéologique LGBTQ.
Le recensement contient des questions symboliques sur la race. Cependant, il s’agit de toute évidence d’un cheval de Troie destiné à empêcher les parents d’examiner de plus près les questions d’ordre sexuel qui seront posées aux enfants dès l’âge de 9 ans, et qui constituent le véritable objectif du « recensement ».
Je vous le dis — c’est peut-être la chose la plus dangereuse que nous ayons jamais vue s’infiltrer dans les écoles catholiques... et nous avons vu beaucoup de propagande moralement corrosive et antichrétienne s’y infiltrer au fil des ans.
Lire la suiteVictoire surprise en Virginie d’un républicain en faveur du droit de regard des parents dans l’éducation de leurs enfants

Glenn Youngkin (au centre) et sa famille.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Glenn Youngkin/Flickr
Glenn Youngkin, pro-vie et candidat au poste de gouverneur de Virginie, a été élu avec 2,7 points d’avance sur son concurrent démocrate Terry McAuliffe, d'après le décompte de 95 % des bulletins de vote, rapporte Pour une école libre au Québec (PÉLQ).
La victoire de ce républicain dans un État tenu par les démocrates depuis douze ans est en partie due à ses promesses de faire respecter davantage les droits des parents en ce qui concerne l’éducation de leurs enfants. Dans le domaine scolaire, justement, une controverse tournait autour de trois idéologies et de leurs conséquences, comme : « l’enseignement de la théorie critique de la race, l’omerta autour de filles agressées par un élève mâle qui se disait fille dans les toilettes des filles ainsi que la longue fermeture des écoles publiques pendant la pandémie », rapporte PÉLQ.
Un indicateur pour les élections de mi-mandat de l’année prochaine ? :
La course au poste de gouverneur de Virginie étant considérée comme un indicateur clé avant les élections de mi-mandat de l’année prochaine, la victoire de Youngkin dans un État où les républicains n’avaient pas gagné au niveau de l’État depuis une douzaine d’années accroîtra les inquiétudes des démocrates alors qu’ils tenteront de défendre leurs très minces majorités à la Chambre et au Sénat en 2022.
Glenn Youngkin promet de soutenir les parents :
Youngkin, candidat pour la première fois à un poste politique et ancien PDG d’une firme d’investissement, a gagné grâce à une vague d’enthousiasme des électeurs républicains et en puisant dans la colère des parents face aux décisions de leurs conseils scolaires locaux.
« Nous allons soutenir nos parents, pas les ignorer », a-t-il souligné dans son discours de victoire.
Le Conseil scolaire catholique de Toronto bafoue les droits des parents et enfreint son propre règlement

Par Everyday For Life — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jess O/Flickr/Wikimedia Commons
Jeudi dernier, le Toronto Catholic District School Board (TCDSB) [Conseil scolaire du district de Toronto] a tenu sa réunion, et a pris deux décisions qui devraient inquiéter les parents et les enseignants.
Premièrement, l’avocat du conseil, Paul Matthews, a informé les conseillers scolaires que le serment au Magistère prêté par les conseillers scolaires ne figure pas dans la Loi sur l’éducation. Cette observation, qui n’est pas inexacte, laisse entendre que le serment [de fidélité à] l’enseignement de l’Église catholique est un exercice facultatif qui pourrait être supprimé.
Cependant, Matthews n’a pas dit toute la vérité. Voici ce que dit l’article 4.1 de la Loi sur l’éducation : « Les pouvoirs conférés par la présente loi, notamment le pouvoir de faire des règlements, des ordonnances ou de prendre des décisions et le pouvoir d’émettre des directives ou des lignes directrices, sont exercés en conformité avec les droits et privilèges garantis par l’article 93 de la Loi constitutionnelle de 1867 et par l’article 29 de la Charte canadienne des droits et libertés, et dans le respect de ces droits et privilèges ».
Les droits et privilèges garantis par l’article 93 de la Constitution et l’article 29 de la Charte reconnaissent le droit des écoles confessionnelles (catholiques et protestantes). En bref, les conseils scolaires catholiques continuent d’avoir le droit légal de demander à leurs conseillers élus de prêter un serment d’allégeance à l’enseignement de l’Église. Le TCDSB a également adopté le règlement 175 qui décrit le serment au Magistère prêté par les conseillers scolaires. M. Matthews n’a fait aucune référence à cette politique, ni aux droits confessionnels.
Seul le conseiller Michael Del Grande a remis en question l’omission du serment. Les autres conseillers étaient impatients de passer à d’autres points de l’ordre du jour, y compris le directeur. Pour les parents, le serment ou le rite de renouvellement des administrateurs peut être trouvé ici.
Lire la suiteLe gouverneur d’Illinois signe une loi instaurant une «éducation sexuelle» explicite qui promeut l’avortement

Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/AdobeStock
Le gouverneur de l’Illinois, J.B. Pritzker, a signé vendredi un projet de loi mettant en place une éducation sexuelle qui promeut l’avortement, ignorant les plaintes des démocrates et des républicains concernant ce programme au contenu sexuellement explicite qui sera imposé aux enfants dès la maternelle.
Breitbart rapporte que Pritzker a fait l’éloge du projet de loi 818 du Sénat de l’État comme d’une initiative qui « aidera à garder nos enfants en sécurité ».
La nouvelle loi, qui entre en vigueur immédiatement, exige que les écoles publiques qui dispensent une éducation sexuelle suivent les normes nationales d’éducation sexuelle. Les parents peuvent en faire dispenser leurs enfants.
Les normes nationales d’éducation sexuelle ont été élaborées par des groupes de promotion de l’avortement, dont Planned Parenthood, Sister Song et Advocates for Youth. Ces « normes » enseignent aux enfants que l’avortement n’est qu’une « procédure médicale ou chirurgicale qui met fin à une grossesse » et leur indiquent comment trouver des centres d’avortement dans leur région.
M. Pritzker a affirmé que la nouvelle loi allait « moderniser » l’éducation sexuelle dans l’État et « garantir que des leçons importantes comme le consentement et la sécurité sur internet soient enseignées dans les salles de classe ».
« En travaillant ensemble, nous continuerons à renforcer notre système éducatif et à offrir l’avenir brillant que nos enfants méritent », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Cependant, la loi a été repoussée par des législateurs républicains et démocrates ainsi que par des parents préoccupés.
Lire la suiteL’Administration Biden veut punir les élèves qui n’emploient pas les noms et pronoms « transgenres » de leurs camarades…

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : WavebreakMediaMicro/AdobeStock
Aussi fou que cela puisse paraître, l’Administration Biden a publié un document intitulé Confrontation du harcèlement anti-LGBTQI+ dans les écoles, qui est sensé donner une ligne de conduite aux écoles, et selon lequel les ministères de la Justice et de l’Éducation pourraient mener enquête sur la (juste) discrimination dont font l’objet les élèves « transgenres » quant à certaines de leurs prétentions — comme d’aller aux toilettes réservées à l’autre sexe ou de se faire donner du « elle » quand il s’agit de « il », et inversement. Le document recommande donc que soient réprimandés les établissements discriminant les « transgenres » et que soient punis les élèves ne se pliant pas à l’exercice grotesque (pour ne pas dire abominable) de traiter leurs camarades « transgenres » selon la fantaisie de ces derniers.
Ainsi, le document donne quelques cas types qu’il croit devoir désigner comme tragiques et auxquels il serait nécessaire de remédier, selon International Family News :
« Alors qu’elle se dirige vers les toilettes des filles, une lycéenne transgenre [c’est-à-dire un homme biologique] est arrêtée par le principal qui lui interdit l’entrée. Le principal dit à l’élève d’utiliser les toilettes des garçons ou le bureau de l’infirmière parce que son dossier scolaire l’identifie comme un “homme”. Plus tard, l’élève rejoint ses amies pour essayer de faire partie de l’équipe de pom-pom girls et l’entraîneur la renvoie des essais uniquement parce qu’elle est transsexuelle. Lorsque l’élève se plaint, le principal lui répond que c’est la politique du district ».
Ainsi, la politique créée par un conseil scolaire de district élu, qui a été conçue pour respecter la vie privée des femmes dans ces lieux les plus intimes et pour s’assurer que les hommes biologiques* ne se mesurent qu’à d’autres hommes biologiques — et qui est légale selon la loi actuelle — est présumée être un comportement illicite. L’administration Biden veut nous faire croire que les éducateurs et les parents devraient avoir honte d’essayer de protéger leurs filles.
Dans un autre exemple, un garçon transgenre (c’est-à-dire une femme biologique) à l’école intermédiaire « se présente sous le nom de Brayden et dit à ses camarades de classe qu’il utilise les pronoms il/elle ». Cet enfant, qui n’a très probablement que 11 ans, est déjà « affirmé » par la note dans son identité transgenre. Parmi les activités que la note considère comme méritant une enquête, il y a le fait que des camarades de classe « appellent [l’étudiant] par son ancien nom ». Ainsi, des collégiens de 11 ans, qui ont très probablement connu l’étudiante biologique en question comme étant une fille pendant plusieurs années et qui peuvent faire la différence de manière innée entre les garçons et les filles, adoptent un comportement illicite lorsqu’ils utilisent l’ancien nom de l’étudiante. Selon l’administration Biden, ces élèves de collège doivent être contraints par le gouvernement à soutenir le programme LGBT ou à en subir les conséquences. S’il y a jamais eu un cas de tyrannie, c’est bien celui-là.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.