Le ministre de l’Éducation du Québec rejette les toilettes neutres dans les écoles
Bernard Drainville, ministre de l'Éducation du Québec.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Montreal Gazette/YouTube
21 septembre 2023, Québec (LifeSiteNews) — Le Québec a annoncé qu’il n’autorisera pas l’installation de salles de bain neutres dans ses écoles, plaçant le bien-être des étudiants au-dessus des demandes des activistes LGBT.
Le 12 septembre, le ministre de l’Éducation du Québec, Bernard Drainville, a déclaré que la province n’installerait pas de salles de bain neutres dans les écoles après qu’une école, l’École d’Iberville, ait annoncé son intention d’installer des salles de bain neutres pour l’année scolaire suivante.
« Nous ne pensons pas que ce soit une bonne idée », a déclaré M. Drainville lors d’une rencontre avec la presse mardi, premier jour de la session parlementaire provinciale qui reprend à Québec. « L’école doit rectifier la situation ».
L’école d’Iberville, une école secondaire de Rouyn-Noranda, au Québec, a déclaré qu’elle prévoyait construire des cabines de toilettes allant du plafond au plancher, de sorte que seule la zone des lavabos serait partagée.
Cependant, M. Drainville s’est dit préoccupé par le fait que les étudiantes se sentent mal à l’aise lorsqu’elles doivent partager l’espace des toilettes avec des étudiants de sexe masculin.
« Une jeune fille de 12, 13 ou 14 ans qui commence à avoir ses règles, par exemple, et qui sort de sa cabine, se retrouve face à des garçons de 13 ou 14 ans qui la regardent fixement », a-t-il expliqué. « Moqueries, sarcasmes, humiliations : c’est un scénario que nous ne voulons pas. Je pense donc qu’il faut tracer une ligne, et c’est ce qui est fait aujourd’hui ».
Lire la suiteJordan Peterson met en garde contre les LGBT « radicaux » qui tentent de « détruire » le catholicisme
Le Dr Jordan Peterson.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
18 septembre 2023, Toronto (LifeSiteNews) — Le psychologue et auteur canadien Jordan Peterson a averti que les activistes LGBT radicaux travaillent à « détruire » le catholicisme.
Dans des remarques faites en exclusivité à LifeSiteNews, Peterson a accusé le système scolaire « catholique » au Canada d’embrasser l’agenda LGBT et critiqué les catholiques qui succombent aux exigences de la clique LGBT.
« Le programme radical du LGBTETC ne pourrait pas être plus contraire à la doctrine catholique s’il avait été spécifiquement conçu dans ce but », a déclaré Peterson à LifeSiteNews.
Bien que Peterson ne soit pas catholique lui-même, il reconnaît la valeur du catholicisme et de la tradition, appelant les catholiques à se battre pour préserver leur foi. Il est également connu pour son amour et son intérêt pour les Écritures.
« Les radicaux du mouvement de l’alphabet tentent de faire au catholicisme, au sens le plus étroit, et au christianisme, au sens le plus large, ce qu’ils font à toutes les traditions : les détruire », a-t-il déclaré.
« Pour ce faire, ils ont recours à la culpabilité, à la manipulation et à la menace, ainsi qu’à des allégations constantes de victimisation et d’oppression », a ajouté M. Peterson.
« Les catholiques trop endormis ou trop naïfs pour s’en rendre compte ou incités à coopérer par des appels à la compassion sont les “idiots utiles” qui participent à leur propre perte », a-t-il averti.
Lire la suiteLa politique du premier ministre Moe sur l’éducation mise à l’épreuve
Par David Cooke (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La Saskatchewan prend position pour ce qui est juste, et je dois reconnaître le mérite du premier ministre Scott Moe.
Le mois dernier, j’ai écrit au sujet d’une nouvelle politique pour les étudiants mise en place par le ministre de l’Éducation de la Saskatchewan. Cette politique exige que les écoles obtiennent la permission des parents lorsque des enfants de moins de 16 ans souhaitent changer leur nom ou les pronoms de genre utilisés pour s’adresser à eux. Elle demande également aux écoles d’informer les parents du contenu des cours de santé et de leur donner la possibilité d’en exclure leurs enfants à l’avance.
Cette politique pleine de bon sens reconnaît que les parents ont à cœur l’intérêt supérieur de leurs enfants et que l’autorité parentale doit être respectée. En outre, elle vise à empêcher les enseignants et le personnel pro-LGBT de préparer les élèves au mode de vie transgenre à l’insu de leurs parents.
Cette politique favorise la transparence dans les écoles, une meilleure communication entre les parents et les enseignants et un environnement scolaire plus sûr pour les élèves. Elle prévient les types d’abus qui peuvent se produire lorsque des conversations intimes entre élèves et enseignants sont dissimulées sous le manteau du secret. Elle évite également aux enfants souffrant de confusion sexuelle de vivre une double vie schizophrénique, où ils se présentent sous une identité à la maison et sous une autre à l’école.
Cette politique éducative de la Saskatchewan est sensée et nous sommes heureux d’entendre le premier ministre Moe affirmer : « Nous ne reculons pas ». Nous devons exprimer notre soutien à M. Moe et l’encourager dans son engagement.
Sans surprise, le lobby LGBT a annoncé qu’il lutterait contre cette politique.
Lire la suiteLes politiques scolaires transgenres sont à l’origine des malheurs d’une jeune fille de Virginie
Par Jonathan Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
6 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Au Canada, des politiciens progressistes et le mouvement LGBT affirment actuellement qu’il devrait être illégal pour les parents d’être informés lorsque leur enfant décide de faire une « transition », et que le personnel scolaire et les enfants devraient garder cela secret des pères et mères. Une campagne de peur a été lancée pour souligner le prétendu danger d’inclure les parents dans les décisions graves qui changent la vie de leurs enfants.
J’espère qu’ils suivent l’actualité.
Selon des informations publiées cette semaine, une collégienne de Virginie s’est enfuie de chez elle et a fini par être victime de trafic sexuel dans plusieurs États. Elle a fait cette fugue en partie parce que le collège n’avait pas dit à ses parents qu’elle s’identifiait comme un homme et qu’elle était victime d’intimidation. Selon le New York Post :
Lire la suite« Ils m’ont volé le droit de protéger ma fille », a déclaré au Washington Examiner Michele Blair, grand-mère et mère adoptive de Sage, aujourd’hui âgée de 16 ans. Sage — qui a eu une enfance difficile et a souffert de problèmes de santé mentale — a commencé à fréquenter l’école secondaire du comté d’Appomattox à l’âge de 14 ans le 10 août 2021 ». C’est à cette école qu’elle a commencé à s’identifier comme un homme, en utilisant des pronoms et un nom masculins et en utilisant les toilettes pour hommes, selon un procès intenté par Mme Blair devant le tribunal fédéral de Virginie le mois dernier.
Mais bien que le personnel de l’école ait activement été impliqué dans le désir de Sage de devenir un garçon et ait été au courant des brimades répétées dont elle était victime, ils ont « délibérément caché » le changement de sexe et n’ont impliqué ses parents que lorsqu’il était trop tard et que Sage s’était enfuie. Elle a ensuite fini par être violée par plusieurs hommes pendant des mois dans quatre États différents, selon la poursuite.
Les politiciens canadiens qui défendent les droits parentaux sont la cible de fortes critiques des militants transgenres
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : senivpetro/Freepik
30 août 2023 (LifeSiteNews) — Comme je l’ai noté dans cette colonne plus tôt cette semaine, le Canada semble enfin avoir une sorte de percée culturelle. Le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, a décidé de miser sa carrière sur le soutien aux droits parentaux — plus précisément, sur le fait que les parents doivent être informés avant que le personnel de l’école puisse désigner leurs enfants par de nouveaux noms et pronoms. Deux tentatives visant à l’évincer de son poste de premier ministre ont échoué, et le large soutien dont bénéficie sa position n’est pas passé inaperçu. Le Manitoba, la Saskatchewan et l’Ontario lui ont emboîté le pas, et le chef du parti conservateur fédéral, Pierre Poilievre, a également annoncé qu’il soutenait les droits parentaux.
Cela fait des années que j’écris que la majorité des Canadiens n’adhère pas aux principes de l’idéologie du genre, mais que cette majorité de bon sens n’a pas de voix politique en dehors de quelques partis marginaux inefficaces. Ainsi, le premier homme politique à avoir eu le courage de délimiter le territoire — Blaine Higgs, en l’occurrence — a découvert que les militants LGBT et leurs alliés progressistes ne font que projeter leur force. Une grande partie de leur pouvoir réside dans l’illusion de leur pouvoir, ce qui explique pourquoi tant d’hommes politiques auparavant silencieux ont attendu que quelqu’un d’autre teste les eaux en premier.
En effet, comme l’a dit un journaliste LGBT sur Twitter : « La façon dont cette merde a commencé à se répandre de province en province, de conservateur en conservateur, dès qu’il y a eu une preuve (c’est-à-dire au Nouveau-Brunswick) que cette rhétorique pouvait jouer au Canada, est tellement grossière et devrait être super inquiétante dans le contexte des prochaines élections fédérales ». Ou bien, encourageante. Cela dépend de votre position. En attendant, les réactions à ce changement valent la peine qu’on s’y attarde, car comme je l’ai mentionné plus tôt, il y a beaucoup de gens qui disent tout haut ce qu’ils croient — et ce qu’ils croient devrait être pris en compte, surtout par les parents.
Lire la suiteLa Saskatchewan met en œuvre des politiques de droits parentaux sur les questions de « genre » et d’éducation sexuelle dans les écoles publiques
Scott Moe, premier ministre de Saskatchewan.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduction de Campagne Québec-Vie
24 août 2023, Regina, Saskatchewan (LifeSiteNews) — La Saskatchewan introduit de nouvelles lois sur l’éducation sexuelle dans les écoles, y compris l’obligation d’informer les parents si leur enfant veut adopter un « genre » différent.
Le 22 août, le ministre de l’Éducation de la Saskatchewan, Dustin Duncan, a annoncé de nouvelles « politiques d’inclusion et de consentement parental », qui exigent que les parents soient informés si leur enfant veut s’identifier à un nom ou à un « genre » différent, qui permettent aux parents d’exclure leurs enfants de l’éducation sexuelle et qui interdisent les présentations de tierces parties, y compris celles de Planned Parenthood.
« Notre gouvernement a entendu les préoccupations soulevées par les parents de la Saskatchewan concernant la nécessité d’être informés et de participer à l’éducation de leurs enfants dans ces domaines importants », a déclaré M. Duncan dans un communiqué de presse.
« Nous avons également constaté que si toutes les divisions scolaires de la Saskatchewan disposaient de politiques traitant de ces questions, ces politiques variaient d’une division à l’autre. Il était donc important de normaliser ces politiques et d’assurer la cohérence de l’inclusion des parents, quel que soit l’endroit où l’enfant va à l’école », a-t-il ajouté.
« La participation des parents et des tuteurs est essentielle à l’éducation de chaque élève », a déclaré M. Duncan. « Les écoles continueront à garantir des environnements d’apprentissage sûrs où tous les élèves se sentent inclus, protégés et respectés ».
Lire la suiteLa Saskatchewan se décide à respecter les droits parentaux
Dustin Duncan, ministre de l’Éducation de la Saskatchewan.
Par David Cooke (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
La nouvelle en provenance de la Saskatchewan, du 22 août, a été comme une bouffée d’air frais. La province est la deuxième à prendre des mesures pour protéger les enfants contre la menace du transgenrisme.
Suivant l’exemple du Nouveau-Brunswick, le ministre de l’Éducation de la Saskatchewan, Dustin Duncan, a mis en place une nouvelle politique de consentement parental et d’inclusion qui protège les enfants vulnérables et impressionnables de moins de 16 ans.
Cette politique exige que les écoles obtiennent la permission des parents lorsque des enfants de moins de 16 ans souhaitent changer leur nom ou les pronoms de genre utilisés pour s’adresser à eux. Elle interdit de dissimuler la décision d’un enfant de changer de sexe, ce qui l’empêchera de mener une double vie schizophrénique à l’école. Elle reconnaît judicieusement que ce sont les familles, et non les bureaucrates, qui doivent avoir le dernier mot en ce qui concerne les valeurs et les croyances des enfants.
Cette politique stipule également que les parents doivent être informés du contenu des cours sur la santé et avoir la possibilité d’en exclure leurs enfants à l’avance.
Dans une lettre adressée à tous les présidents des conseils scolaires, M. Duncan écrit : « La première réponse à un élève qui soulève une question controversée sera de l’adresser à sa famille pour clarifier ses convictions personnelles et familiales. Tout autre conseil offert à un élève ne sera envisagé qu’avec l’accord écrit et explicite de ses parents ou de son tuteur ».
Lire la suiteÉCR : « Les contestations juridiques du programme ont miné la confiance du public »
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Syda Productions/Adobe Stock
Georges Leroux est un des pères du programme contesté d’éthique et de culture religieuse (ECR) qui a été imposé (pardon « offert ») aux élèves du Québec en 2008, qu’ils soient inscrits dans des écoles publiques ou privées. Le tout censément afin d’imposer le respect de la « diversité » en forçant l’enseignement d’un programme unique gouvernemental à la place de la diversité de programmes préexistants : catholiques, protestants ou laïques. Ce professeur militant a été jusqu’à défendre ce programme « audacieux » plusieurs fois devant les tribunaux.
Il reconnaît dans les colonnes du Devoir que la stratégie des parents de contester ce programme en justice a porté ses fruits malgré les ressources importantes de l’État québécois pour imposer ECR.
Les multiples contestations juridiques du programme ont miné la confiance du public, selon lui. « Ça nous a fait perdre beaucoup de temps. Ça a donné l’impression que quelque chose n’allait pas dans cette maquette-là », dit-il.
Le même article du Devoir relate ces propos de Mireille Estivalèzes de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal :
La professeure est convaincue que ce programme faisait l’affaire de la majorité silencieuse. Elle reconnaît qu’il a été contesté de toutes parts — y compris jusqu’en Cour suprême —, pour les mauvaises raisons, selon elle. Les catholiques le trouvaient trop multireligieux, les religieux le trouvaient trop laïque, les athées le trouvaient trop religieux, les nationalistes identitaires y voyaient une promotion du multiculturalisme à la Trudeau…
Il s’agit apparemment d’une croyance qui relève de la foi, car Mme Estivalèze ne fournit aucune preuve alors que, d’une part, mécontenter les catholiques, les religieux, les athées et les nationalistes cela fait beaucoup de monde et, d’autre part, que plusieurs sondages ont montré que la majorité des parents — malgré la propagande gouvernementale et médiatique en faveur du programme ECR — n’appuyait pas l’imposition de ce programme contesté.
Lire la suiteUn journaliste de la presse grand public dénonce les cours d’éducation sexuelle canadiens qui banalisent auprès des enfants le sadomasoschisme
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sebra/Aobe Stock
26 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Au cours des dix dernières années, les médias grand public se sont attachés à discréditer ceux qui s’opposent à l’éducation sexuelle de plus en plus radicale et obscène qui est devenue la norme dans les écoles publiques canadiennes. Avec la résurgence des manifestations à travers le pays en juin (et d’autres prévues en septembre), nous sommes peut-être enfin arrivés à un point de rupture. Le 23 juillet, par exemple, Adam Zivo du National Post a publié une série de photos de documents d’éducation sexuelle distribués dans une école publique de Nanaimo, en Colombie-Britannique. La discrétion du lecteur est fortement conseillée, même pour la description de Zivo — mais gardez à l’esprit que ce matériel est distribué à des enfants :
« Un membre inquiet de la communauté m’a envoyé des photos d’une brochure d’éducation sexuelle distribuée dans les écoles secondaires de Nanaimo. Cette brochure banalise la consommation de drogues dures pendant les rapports sexuels et aborde les thèmes du sadomasochisme, de la scatologie, du “fisting” et du “piss play”. Cette brochure est distribuée à des enfants de 14 ans. Le membre de la communauté a affirmé que plusieurs élèves se sont plaints du contenu de la brochure — et il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. »
Zivo a fait remarquer : « Les jeunes ne devraient pas apprendre qu’il est acceptable de consommer des drogues dures tout en ayant des relations sexuelles. Et bien que les gens aient le droit d’avoir leurs fétiches, et qu’ils doivent savoir comment y participer en toute sécurité, ce genre de matériel est manifestement inapproprié pour les jeunes adolescents ». Il est évident que je soutiendrais une barre nettement plus élevée que Zivo, mais le fait que l’éducation sexuelle soit désormais si manifestement inappropriée (et je dirais même objectivement nuisible et immorale) que les journalistes des grands médias la jugent digne d’être commentée constitue sans aucun doute une évolution.
Lire la suiteLa présidente d’un conseil scolaire californien menacée pour la politique de notification des parents d’enfants transgenres
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : davit85/Adobe Stock
27 juillet 2023, Chino, Californie (LifeSiteNews) — La présidente d’un conseil scolaire californien a déclaré avoir reçu des menaces de mort contre elle-même et ses enfants après avoir contribué à l’adoption d’une politique exigeant que les écoles informent les parents de la décision d’un élève de s’identifier au sexe opposé.
La semaine dernière, le conseil d’éducation du Chino Valley (California) Unified School District (CVUSD) a adopté des règles selon lesquelles les écoles doivent informer les parents de la demande d’un élève de s’identifier à « un genre autre que le sexe biologique de l’élève », notamment en souhaitant utiliser des pronoms différents ou un nom différent, ou d’utiliser des vestiaires ou des toilettes qui « ne correspondent pas au sexe biologique de l’élève ».
La présidente du CVUSD, Sonja Shaw, a déclaré peu après à l’émission « Washington Watch with Tony Perkins » qu’au lendemain de la décision, son district avait reçu un appel anonyme menaçant de la tuer et de la « démembrer ».
« Beaucoup de choses ont été dites, mais une chose était très claire — cette personne allait me tuer, et elle a dit qu’elle allait arracher des parties de mon corps, mes membres plus précisément », a déclaré Shaw à Perkins lundi.
Lorsqu’elle a eu le courage de consulter la messagerie de son district, elle a trouvé sa boîte de réception inondée d’autres menaces, disant « des choses comme “tu vas mourir”, “tes enfants vont mourir” et “tes animaux vont mourir” », ainsi qu’une référence au type d’animaux qu’elle possède pour l’intimider.
« Dieu merci, nous avons ici un service de police extraordinaire qui a immédiatement réagi », a déclaré Mme Shaw, précisant par la suite que le service de police intensifiait ses patrouilles autour de sa maison.
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