Le gouvernement néo-zélandais va retirer l’endoctrinement LGBT des écoles
Par David James — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressfoto/Freepik
15 décembre 2023, Wellington (LifeSiteNews) — Le nouveau gouvernement de la Nouvelle-Zélande, une coalition entre le Parti national de centre droit, le parti libertaire ACT New Zealand, et le parti populiste Nouvelle-Zélande d’abord, a signalé qu’il supprimerait les lignes directrices portant sur le genre, la sexualité et les relations des écoles.
Cette annonce fait partie de « guerre au wokisme » du nouveau gouvernement. Les lignes directrices visant à replacer les autres restent à définir mais, selon le premier dirigeant néo-zélandais Winston Peters, l’intention est de les rendre plus transparentes. Il a dit que les parents ont le droit de savoir ce que leur enfant apprend « avant et non après l’événement ».
Selon l’organisme de bienfaisance néo-zélandais Family First, le programme précédent visait à « injecter l’éducation sexuelle dans le reste du programme », mettant ainsi « les écoles à risque de devenir des espaces d’idéologies et d’endoctrinement ». Les enfants d’âge primaire devaient « être traités par leur nom et leurs pronoms préférés ». L’accès aux toilettes devait « correspondre à leur identité de genre ». Les étudiants trans n’étaient pas tenus d’utiliser des toilettes neutres, mais pouvaient choisir les toilettes pour hommes ou femmes au choix. L’ancien programme s’étendait même à l’enseignement des sciences, les élèves étant invités à examiner comment le sexe biologique est « construit ».
Lire la suiteUn juge accepte d’entendre le cas d’un professeur puni pour avoir critiqué les livres LGBT des écoles
Carolyn Burjoski.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter/X
28 novembre 2023, Waterloo, Ontario (LifeSiteNews) — Un tribunal de l’Ontario a statué en faveur d’une enseignante qui a été réduite au silence pour avoir exprimé ses préoccupations au sujet des livres LGBT dans les bibliothèques scolaires.
Le 23 novembre, le juge James Ramsay de la Cour supérieure de l’Ontario a rejeté la demande du Conseil scolaire du district régional de Waterloo (WRDSB) de rejeter le procès en diffamation de l’enseignante Carolyn Burjoski, aujourd’hui à la retraite. Mme Burjoski avait intenté une action en justice pour avoir été réduite au silence et attaquée publiquement l’année dernière, parce qu’elle avait tiré la sonnette d’alarme lors d’une réunion du WRDSB au sujet de livres pro-LGBT mis à la disposition des jeunes élèves dans les bibliothèques scolaires.
« Ce qui s’est passé ici ne devrait pas se produire dans une société démocratique », a déclaré M. Ramsay dans sa décision, selon le National Post.
Lire la suiteLutter pour les droits parentaux — votre député provincial peut-il suivre ces exemples ?
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
J’ai des nouvelles pro-famille encourageantes à partager avec vous de l’un des endroits les plus improbables du Canada.
La Colombie-Britannique (dite la « côte gauche ») est une terre fertile pour les politiques progressistes et socialistes, dirigée par un gouvernement NPD radical. Cependant, il y a des gens bien dans la province qui ont émergé pour mener le bon combat. Permettez-moi de vous parler de deux d’entre eux.
Tout a commencé la semaine précédant l’Action de grâce, lorsque les députés provinciaux sont retournés au travail pour le début de la session d’automne de la législature.
Le premier de ces politiciens courageux dont je souhaite vous parler est le chef du parti conservateur de la Colombie-Britannique, le député John Rustad.
Lors de sa première période de questions depuis qu’il a pris la tête du parti conservateur, et alors que tous les regards étaient tournés vers lui pour savoir ce qu’il pourrait demander au premier ministre néo-démocrate, le député John Rustad a stupéfié le gouvernement et les médias en profitant de l’occasion pour dénoncer les méfaits de l’idéologie du genre enseignée dans les salles de classe de la province.
Lire la suiteLes Canadiens protestent à nouveau contre l’endoctrinement des enfants à l’idéologie du genre
La marche pour les enfants à Abbotsford en Colombie-Britannique le 21 octobre 2023.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : BC Perspective/Twitter
Les Canadiens se sont rassemblés une seconde fois pour la 1 Million March 4 Children (Marche un million pour les enfants) du 21 octobre à travers le pays pour protester contre l’endoctrinement des enfants à l’idéologie LGBT dans les écoles.
La participation, bien que moindre que la première fois, a été appréciable dans plusieurs villes comme :
Abbotsford en Colombie-Britannique
Abbotsford BC right now. Peaceful. Beautiful.
— BC Perspective 🍁 (@bc_perspective) October 21, 2023
Virtually no counter protestors. #1MillionMarch4Children pic.twitter.com/IgKtH1uSB7
Toronto
Concerned parents and freedom loving Canadians are marching together in downtown Toronto chanting: "ABC, 123. No gender ideolgy."#1MillionMarch4Children#SaturdaysForFreedom pic.twitter.com/DSZNhslB7f
— Salman Sima (@SalmanSima) October 21, 2023
Winnipeg
#1MillionMarch4Children October 21 - WINNIPEG
— Dougmore (@kafka_douglas) October 21, 2023
LEAVE OUR KIDS ALONE!! pic.twitter.com/n7YQ7ijGCd
Kitchener
Parents are protesting LGBT indoctrination in schools at Kitchener’s City Hall. #1MillionMarch4Children #cdnpoli @WCDSBNewswire @wrdsb pic.twitter.com/nc85AbMy8a
— Jack Fonseca (@JackFonsec) October 21, 2023
Plusieurs manifestations ont été annulées, notamment celle d’Ottawa, à cause de l’affrontement entre Israël et la bande de Gaza et des passions qu’il soulève jusqu’au Canada.
Félicitation à tous les participants qui ont manifesté pour l’innocence des enfants et le droit des parents de la préserver.
La Saskatchewan adopte sa loi sur les jeunes de moins de 16 ans qui se disent transgenre à l’école
Scott Moe, premier ministre de Saskatchewan.
Par Pour une école libre au Québec
Le projet de loi sur l’utilisation des pronoms pour les jeunes trans dans les écoles a reçu l’approbation finale de l’Assemblée législative de la Saskatchewan, vendredi.
La nouvelle loi interdit donc aux jeunes de moins de 16 ans de changer de prénom ou de pronoms à l’école sans l’accord de leurs parents.
Le gouvernement a eu recours à la disposition de dérogation de la Charte canadienne des droits et libertés pour outrepasser certains articles de la Charte et du Code des droits de la personne de la Saskatchewan.
Le Parti saskatchewanais au pouvoir a déclaré que cette loi venait officialiser, en fait, des politiques déjà en place dans de nombreux districts scolaires et qu’elle garantissait que les parents sont informés au sujet de leurs enfants.
Lors du débat final en Chambre, vendredi matin, le ministre de la Société d’investissements de la Couronne, Dustin Duncan, a souligné que pour son gouvernement, « les parents sont des partenaires dans l’éducation de leurs enfants ».
Un juge fédéral américain refuse de reconnaître aux parents le droit de soustraire leur enfant aux leçons LGBT
Par reinformation.tv — Photo : pressfoto/Freepik
Jusqu’au début de l’année, le district de Montgomery dans le Maryland autorisait les parents qui le souhaitaient à soustraire leurs enfants à l’enseignement LGBTQ dispensé dans les écoles publiques. C’est aujourd’hui interdit et plusieurs parents d’enfants du primaire ont poursuivi le district de Montgomery pour qu’il rétablisse sa politique intérieure. Mais le juge fédéral chargé de l’affaire (nommé par Joe Biden) les a déboutés, estimant qu’ils n’ont pas le droit de priver leurs enfants de ce cursus scolaire. L’affaire avait commencé en mars quand la direction de l’école avait annoncé aux parents qu’ils ne recevraient plus d’information préalable sur les leçons prévues ni sur la façon dont ils pouvaient soustraire leur enfant aux cours : trois familles ont estimé que cela lésait leur droit à la libre expression garantie par l’Amendement Numéro 1, l’amendement Numéro 14 et la loi du Maryland. Mais le juge Deborah L. Boardman a décidé que le droit invoqué par les plaignants de diriger leurs enfants en les soustrayant à un enseignement qui entre en conflit avec leurs opinions religieuses « n’est pas un droit fondamental ».
Les directives des évêques irlandais mettent en danger l’innocence des enfants dans les écoles catholiques
Par Voice of the Family — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Schwier/Adobe Stock
Dans une édition spéciale « Irlande » de Catholic Schools Watch, Voice of the Family appelle les catholiques du monde entier à s’unir aux parents de la République d’Irlande et d’Irlande du Nord pour défendre leurs enfants. Les ressources relatives à l’éducation aux relations et à la sexualité (RSE) récemment publiées par le Conseil pour l’éducation de la Conférence épiscopale irlandaise constituent une menace sérieuse pour l’innocence et le développement sain des élèves des écoles catholiques.
Catholic Schools Watch a été lancé à l’été 2023 pour rendre compte des programmes RSE mis en œuvre dans les écoles catholiques du monde entier et pour aider les laïcs, qu’ils soient parents ou non, à prendre les mesures qui s’imposent. Le danger pour la foi catholique et l’innocence des enfants est d’autant plus grave que les attaques viennent de ceux dont la responsabilité première est d’aller dans le monde « et de prêcher l’Évangile à toute créature » (Mc 16, 15).
Les évêques irlandais encouragent désormais les élèves à s’engager dans des discussions (au mieux) inappropriées et (au pire) salaces sur des propositions telles que :
« Tout le monde a droit au plaisir sexuel ... Je peux faire ce que je veux de mon corps, y compris me masturber pour atteindre le plaisir sexuel ... La façon dont vous atteignez le plaisir sexuel n’a pas d’importance tant que c’est entre adultes consentants ... Personne n’a le droit de me dire ce que je dois faire de mon corps ... La seule règle concernant le sexe que je dois écouter est celle du consentement ... Je ne peux pas être vraiment épanoui dans la vie sans plaisir sexuel ». (Catholic Education Partnership, « Living Love » [Vivre l’amour] (ressources RSE), leçon sur « l’attirance sexuelle », diapositive 20)
La doctrine catholique sur le mal moral des vices tels que l’abus de soi, la fornication et les actes homosexuels n’est présentée nulle part dans les ressources RSE. Les parents peuvent se permettre de douter que les enseignants des écoles catholiques d’Irlande soient censés connaître et croire la doctrine catholique sur ces questions ou sur d’autres sujets.
Lire la suiteLe chef du parti conservateur de Colombie-Britannique prône le respect des droits parentaux dans les programmes scolaires
John Rustad, chef du Parti conservateur de Colombie-Britannique.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : John Rustad/Twitter
16 octobre 2023, Victoria, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — Le chef d’un parti provincial croit que la Colombie-Britannique devrait respecter les souhaits des parents lorsqu’il s’agit de l’éducation de leurs enfants.
Le 12 octobre, le chef du parti conservateur de la Colombie-Britannique, John Rustad, a révélé que l’implication des parents dans les écoles était importante pour son parti et a cité la résistance pro-famille croissante à travers le pays.
« Des dizaines de milliers de parents de toute la province expriment leur inquiétude au sujet de leur système éducatif », a déclaré M. Rustad à The Epoch Times. « Je pense que de nombreux parents et grands-parents s’inquiètent des risques pour l’innocence de leurs enfants ».
M. Rustad a également condamné les bibliothèques scolaires qui proposent de la littérature pornographique aux enfants, citant un cas récent où un livre jugé trop choquant pour être lu au Parlement était disponible pour les enfants dans les bibliothèques scolaires.
Il s’est également attaqué à SOGI 123, un programme national qui prône les valeurs LGBT dans les écoles sous l’étiquette de l’inclusivité.
M. Rustad a déclaré que SOGI 123 « doit être remplacé par une approche solide de lutte contre les brimades et par l’acceptation totale de tous dans nos écoles, afin d’éliminer ce paratonnerre ».
Lire la suiteL’organisateur de la marche pour les enfants annonce de nouvelles manifestations nationales contre l’agenda LGBT
Kamel El-Cheik à la Marche 1 Million 4 Children.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : darstv/YouTube
11 octobre 2023 (LifeSiteNews) — L’organisateur de la Marche un million de personnes qui s’est tenue en septembre pour lutter contre les programmes LGBT radicaux enseignés dans les écoles publiques prépare une nouvelle manifestation pour le 21 octobre après avoir reçu plus de « 12 appels par jour » pour en organiser une autre.
Le « Worldwide Stop the War on Children Rally » (Manifestation mondiale « Stop à la guerre contre les enfants »), qui se tiendra dans tout le pays, envisagera d’adopter l’approche « mesurer deux fois, couper une fois », a déclaré Kamel El-Cheikh, principal organisateur de la manifestation de septembre, lors d’une récente émission avec Clyde Do Something.
Il a fait remarquer qu’il y a un « désir » intense « d’un bout à l’autre du pays » pour débarrasser les écoles canadiennes de l’endoctrinement en matière d’orientation sexuelle et d’identité de genre (OSIG).
« Nous voulons nous assurer que nous mesurons deux fois et que nous coupons une fois », a déclaré M. El-Cheikh, ajoutant que les organisateurs ne veulent pas simplement « protester pour protester ».
« La nation veut faire la fête ensemble et ce sera beaucoup plus grand, je le garantis », a-t-il ajouté.
La première Marche un million de personnes a eu lieu le 20 septembre et a inspiré des milliers de Canadiens d’un bout à l’autre du pays de descendre dans la rue pour exiger que les programmes LGBT radicaux soient exclus des écoles publiques canadiennes.
Lire la suiteTrudeau fait marche arrière et affirme qu’il n’a jamais qualifié de haineux les participants à la marche pour les enfants
Justin Trudeau.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : CPAC
6 octobre 2023 Vaughan, Ontario (LifeSiteNews) — Le premier ministre Justin Trudeau nie maintenant avoir affirmé que les manifestants pro-famille de la Marche un million — contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles — de personnes prônent la « haine » et que leurs opinions n’ont « pas leur place » au Canada — bien que Trudeau ait bel et bien publié ce message sur les médias sociaux le jour des manifestations.
Lors d’une conférence de presse sur le thème du logement, organisée jeudi à Vaughan (Ontario), un journaliste a interrogé M. Trudeau sur le message qu’il a publié sur les médias sociaux le 20 septembre, le jour même où des milliers de Canadiens inquiets sont descendus dans la rue pour la Marche du million contre l’endoctrinement LGBT dans les écoles du pays — ce message préoccupe les chrétiens et les musulmans, car ils considèrent que la « caractérisation » du mouvement comme haineux est malhonnête et erronée de la part du premier ministre.
« Je n’ai jamais suggéré que quelqu’un qui se préoccupe des droits parentaux est en quelque sorte rempli de haine ou d’intolérance », a affirmé M. Trudeau.
Le journaliste a également demandé à M. Trudeau s’il allait « s’excuser » pour ses commentaires, ce à quoi il a répondu qu’il « défendra toujours les droits de chacun dans ce pays », y compris ceux des personnes qui s’identifient comme LGBT.
Trudeau n’a jamais dit directement qu’il est en faveur des droits parentaux en répondant aux questions du journaliste, mais a plutôt insisté sur le fait que les gens utilisent ses commentaires au sujet de la marche comme une « tactique » pour « diviser les communautés ».
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