Un archevêque australien accusé de « discours haineux » pour avoir défendu l’enseignement catholique sur le sexe et l’avortement
Mgr Julian Porteous.
Par Stephen Kokx — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Archidiocese of Hobart/YouTube
15 mai 2024 (LifeSiteNews) — Un archevêque australien a rendu furieux les politiciens et les activistes pro-LGBT de son État après avoir publié une lettre pastorale dénonçant l’idéologie du genre et d’autres causes de gauche.
Mgr Julian Porteous, archevêque de Hobart, en Tasmanie, a publié son document de quatre pages intitulé « Nous sommes le sel de la terre » le 2 mai. Il a été envoyé aux écoles catholiques et aux paroisses de l’archidiocèse afin de les guider dans leur enseignement à la lumière des récents développements politiques.
S’appuyant sur les thèmes abordés dans Dignitatis Infinita, Mgr Porteous souligne qu’« au cours des 30 à 40 dernières années, nous avons assisté à une campagne organisée visant à renverser la conception chrétienne traditionnelle du sexe et de la sexualité dans la société occidentale ».
Il note également que « nous considérons que les efforts visant à déconnecter le genre du sexe biologique nient la réalité de ce que nous sommes et l’identité précieuse que nous avons en tant qu’homme ou femme ».
Le document met également en garde contre les efforts visant à libéraliser les lois sur l’avortement, le suicide assisté et les thérapies de conversion.*
Lire la suiteLa Journée nationale de protestation contre le drapeau de la fierté est de retour
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
J’ai le plaisir d’annoncer la deuxième édition de la Journée nationale de refus des drapeaux de la « Fierté », qui aura lieu le 3 juin !
Je vous en dirai plus dans un instant, mais avant cela, j’aimerais vous faire part d’un certain nombre d’informations...
En 2023, dans la foulée d’une rébellion parentale naissante contre l’endoctrinement des enfants par les commissions scolaires au moyen de la propagande LGBT, nous avons lancé la toute première Journée nationale de protestation contre le drapeau de la « Fierté », qui coïncidait avec le premier jour du mois de juin.
Notre stratégie consistait à faire en sorte que les salles de classe de tout le Canada soient visiblement plus vides le jour où la plupart des conseils scolaires entament une campagne d’endoctrinement transsexuel et homosexuel qui durera un mois.
Nous espérions ainsi envoyer un message fort aux enseignants, aux directeurs d’école et aux administrateurs élus : les parents en ont assez que des programmes sexuels radicaux soient imposés à leurs enfants.
Nous aurions été heureux si les écoles n’avaient connu qu’un taux d’absence de 10 %.
Cependant, nous avons été époustouflés par la réponse que nous avons reçue ! La participation des parents a dépassé de loin nos rêves les plus fous !
Voici quelques chiffres concernant la Journée nationale de protestation contre le drapeau de la « fierté » de l’année dernière :
- Selon la région, les taux d’absence étaient de 30 % à 75 % !
- Au moins 7 provinces et territoires (BC, AB, SK, ON, QC, NB, YK) ont participé à la Journée nationale de protestation contre le drapeau de la « Fierté », des parents ayant gardé leurs enfants à la maison en signe de protestation.
Le personnel de l'école qui a suspendu Malachy O'Kane pour son chandail « Il n'y a que deux sexes » porte des chandails de la « fierté »
Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
1er mai 2024, Sharbot Lake, Ontario (LifeSiteNews) — Les enseignants d’une école publique rurale de l’Ontario ont réagi à un article de LifeSiteNews sur la suspension de deux de leurs élèves catholiques en portant des vêtements de la « fierté » LGBT.
Le vendredi 26 avril, les enseignants de l’école primaire du centre éducatif Granite Ridge de Sharbot Lake ont porté des vêtements de la « fierté » LGBT ornés d’arc-en-ciel pour se rendre au travail. Cette action fait suite à la publication d’un article de LifeSiteNews sur la suspension des frères Malachy et Desmond O’Kane et à une interview de Malachy et de sa mère Kate O’Kane, le jeudi 25 avril.
Malachy et Desmond O’Kane, âgés de 16 et 13 ans, ont tous deux été suspendus de l’école le 18 avril, lorsque Malachy est venu à l’école pour la deuxième fois avec un sweat-shirt portant l’inscription « Il n’y a que deux sexes » (There are only two genders) tandis que Desmond affichait ouvertement la même croyance sur ses vêtements. Malachy a été exclu pendant six jours, tandis que Desmond est retourné à l’école le vendredi et a vu les enseignants arborer leur « fierté » LGBT.
Des affiches présentant la « Licorne du genre » — non scientifique et purement idéologique — ont également été placées dans l’école.
Kate O’Kane a tenté de discuter de la manifestation apparemment impromptue des enseignants lorsqu’elle a accompagné Malachy à sa réunion post-suspension avec la directrice de l’école, Carrie Moore, et le directeur adjoint, Wojtek Czermak.
Lire la suiteL’Alberta soutient la Saskatchewan dans sa bataille juridique pour défendre l’autorité parentale face aux « changements de pronoms »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
11 avril 2024, Alberta (LifeSiteNews) — L’Alberta a annoncé son soutien à la politique de la Saskatchewan exigeant le consentement parental lorsque les enfants veulent utiliser des pronoms différents à l’école, au milieu d’un procès intenté contre cette politique par un groupe d’activistes LGBT.
Le 9 avril, Mickey Amery, ministre de la Justice et procureur général de l’Alberta, et Bronwyn Eyre, ministre de la Justice et procureur général de la Saskatchewan, ont révélé que l’Alberta interviendrait dans le procès où est contestée la Loi des droits des parents de la Saskatchewan, la nouvelle loi pro-famille de cette province.
« La Saskatchewan et l’Alberta conviennent que les figures clés dans la vie des enfants sont leurs parents, et nos provinces sont toutes deux déterminées à soutenir les familles et les enfants afin qu’ils puissent faire face ensemble à leurs besoins uniques », peut-on lire dans la déclaration commune.
« Le fait d’informer les parents et d’exiger leur consentement avant que le nom ou les pronoms d’un enfant puissent être changés à l’école, et avant que des discussions en classe sur l’identité de genre et d’autres sujets sensibles aient lieu, garantit que la relation parent-enfant est respectée et primordiale », poursuit la déclaration.
La politique relative aux pronoms n’est qu’une partie des nouvelles « politiques d’inclusion et de consentement parental » de la Saskatchewan, qui comprennent également des dispositions garantissant que les parents sont autorisés à exclure leurs enfants des cours d’éducation sexuelle et que les présentations par des tiers de groupes tels que Planned Parenthood seront interdites.
Lire la suiteDeSantis recule devant les idéologues LGBT au sujet de la loi sur les droits parentaux en éducation
Ron DeSantis.
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr/Wikimedia Commons
22 mars 2024 (LifeSiteNews) — L’administration DeSantis a inexplicablement déclaré victoire pour le maintien de sa loi surnommée « Ne dites pas Gay » après avoir signé un accord qui neutralise l’intention de la loi, permettant aux influenceurs LGBT dans les systèmes scolaires de Floride de continuer pratiquement sans entrave leurs efforts d’endoctrinement des enfants dans les écoles publiques.
La semaine dernière, l’État de Floride a conclu un accord avec le groupe pro -LGBT Equality Florida et d’autres plaignants dans une affaire contestant la loi sur les droits parentaux en éducation (Parental Rights in Education Act), promulguée en 2022 pour restreindre l’enseignement de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre dans les écoles publiques.
Le règlement, qui a été accepté par l’administration DeSantis, laisse la loi en place mais contient un langage très inquiétant que la Christian Family Coalition (CFC) de Floride pense que les enseignants et administrateurs activistes LGBT utiliseront pour violer l’intention et l’esprit originaux de la loi, qui a été créée en réponse à l’indignation croissante des parents face à l’endoctrinement LGBT omniprésent dans les salles de classe à travers la Floride.
Lire la suiteLe syndicat des écoles de l’Ontario menace les enseignants qui utiliseraient les termes « garçons et filles » et soutiendraient les droits parentaux
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : freepik
21 février 2024, Kingston, Ontario (LifeSiteNews) — Un syndicat scolaire de Kingston a averti les enseignants qu’ils pouvaient être sanctionnés pour des opinions de « droite » telles que le soutien aux droits parentaux, selon un courriel qui a fait l’objet d’une fuite.
Dans un courriel de décembre obtenu par le média indépendant True North, la Fédération des enseignants des écoles secondaires de l’Ontario, section locale du Limestone District School Board (LDSB) de la région de Kingston, a informé le personnel qu’il pouvait être sanctionné pour avoir exprimé une série d’opinions, allant de la contradiction avec le discours LGBT à l’imposition de mesures disciplinaires à leurs élèves.
Le négociateur du district 27 de la Fédération des enseignants des écoles secondaires de l’Ontario, John Vince, a écrit : « Les membres ne savent peut-être pas que certains discours ou actions sur les lieux de travail du Limestone District School Board (LDSB) peuvent entraîner des mesures disciplinaires ».
« Dans d’autres juridictions, telles que les États-Unis ou le Royaume-Uni (dont les médias sont très consultés), certains de ces discours sont autorisés, mais ils ne le sont pas en Ontario, et les membres ne le savent peut-être pas », a-t-il poursuivi.
« Nous avons demandé au conseil d’administration d’informer le personnel des propos qui ne peuvent être tenus en Ontario ou au LDSB et il a indiqué qu’il y travaillait. En l’absence de cette formation, voici quelques exemples de propos ou d’actions qui, s’ils sont prononcés ou effectués sur un lieu de travail, peuvent entraîner des mesures disciplinaires », a ajouté M. Vince.
Lire la suiteUne mère poursuit le district scolaire de New York qui avait commencé à traiter secrètement sa fille comme un garçon
LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rawpixel
6 février 2024, Syracuse, New York (Alliance Defending Freedom) — Le 31 janvier, les avocats d’Alliance Defending Freedom (ADF) ont intenté une action en justice contre un district scolaire de New York après que des fonctionnaires aient commencé à traiter une collégienne comme un garçon à l’insu de sa mère et sans son consentement.
Jennifer Vitsaxaki, que les avocats de l’ADF représentent dans le procès, a retiré sa fille du Skaneateles Central School District à la fin de l’année scolaire 2020-2021 après avoir appris que les employés de l’école, agissant en vertu de la politique du district, avaient commencé à traiter sa fille comme un garçon.
Sans en informer Mme Vitsaxaki ni demander son consentement, les employés ont commencé à se référer à sa fille avec un nom masculin et des pronoms de la troisième personne du pluriel* incompatibles avec le sexe de sa fille. En procédant à la transition sociale de la fille de Mme Vitsaxaki sans son consentement et en dissimulant des informations vitales sur la santé et le bien-être de sa fille, le district a violé les droits parentaux fondamentaux de Mme Vitsaxaki et ses convictions religieuses profondes. La Constitution américaine protège son droit en tant que parent de prendre des décisions concernant l’éducation, l’instruction et les soins de santé de ses enfants.
Lire la suiteLes militants LGBT craignent que Blaine Higgs ne l’emporte grâce à son programme sur les droits parentaux
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
29 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Le jeudi 25 janvier, le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, a prononcé un discours sur « l’état de la province » devant une foule à Fredericton, détaillant les réalisations de son gouvernement et exposant le plan de son administration. À plusieurs reprises, M. Higgs a mentionné le soutien indéfectible de son gouvernement aux droits parentaux, ce qui lui a valu d’être la cible des militants LGBT et des politiciens progressistes depuis qu’il a modifié la politique 713. En vertu de ces modifications, le personnel scolaire doit obtenir le consentement des parents avant de changer, à l’école, le nom ou les pronoms de leurs enfants pour le genre opposé, une pratique qui avait été introduite discrètement quelques années auparavant.
M. Higgs a indiqué qu’il était prêt à s’attaquer à des « questions difficiles » — en décembre, il a réaffirmé que les droits parentaux étaient « très importants » pour lui — et son bilan le prouve. Malgré une couverture médiatique presque universellement négative et la démission de deux de ses ministres, M. Higgs s’en est tenu à ses principes et a compté sur le soutien de l’opinion publique. En effet, les sondages ont indiqué qu’une super-majorité de Canadiens soutenait sa décision politique, et une série d’autres premiers ministres lui ont rapidement emboîté le pas en mettant en œuvre des politiques similaires. La décision de M. Higgs de prendre position a donné aux autres premiers ministres la colonne vertébrale qu’ils auraient dû avoir eux-mêmes. En effet, les conservateurs de son propre parti ont renoncé à contrecœur à tenter de l’évincer après de multiples tentatives risibles et infructueuses d’imposer un réexamen de la direction du parti.
Lire la suiteL’Alberta porte un coup critique à l’idéologie transgenre
Danielle Smith, premier ministre d'Alberta.
Par la Coalition nationale pour la Vie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
Campaign Life Coalition félicite le premier ministre de l’Alberta, Danielle Smith, d’avoir écouté les parents et les membres de base du Parti conservateur uni (UCP) en annonçant de nouvelles politiques révolutionnaires qui maintiennent les parents au centre de la vie de leurs enfants et protègent les enfants contre les idéologies sexuelles néfastes.
« Un miracle politique vient de se produire », a déclaré le président national de la Coalition nationale pour la Vie (CNV), Jeff Gunnarson. « Avec ces nouvelles politiques, un premier ministre canadien a essentiellement dit au mouvement transgenre, apparemment inexpugnable, de s’arrêter et de laisser les enfants de l’Alberta tranquilles. Je félicite le premier ministre Smith pour les politiques qu’il a proposées et qui contribueront grandement à protéger les enfants et à sauvegarder l’irremplaçable relation parent-enfant ».
Le 31 janvier, Mme Smith a annoncé qu’en vertu de ces nouvelles politiques radicales, les opérations chirurgicales mutilantes visant à transformer l’enfant en un être du sexe opposé seraient interdites pour les mineurs de 17 ans et moins. En outre, les enfants de 15 ans et moins ne pourront pas recevoir d’hormones de castration pour bloquer la puberté. À l’instar du Nouveau-Brunswick, le consentement des parents sera requis si un enfant de moins de 16 ans souhaite changer de nom ou de pronoms à l’école. Enfin, et c’est une première étonnante pour le pays, les hommes biologiques qui prétendent être des femmes ne seront plus autorisés à participer à des compétitions sportives réservées aux femmes.
Lire la suiteLe gouvernement du Québec annonce un plan de 23,7 millions de dollars pour promouvoir l’idéologie LGBT
Par Carlos Prado — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
21 décembre 2023 (LifeSiteNews) — Le gouvernement de la province canadienne du Québec a annoncé un financement de 23,7 millions de dollars pour lutter contre « l’homophobie » et la « transphobie ».
Le Québec est actuellement gouverné par le parti Coalition Avenir Québec (CAQ), qui a été qualifié de « centre droit » et de « conservateur ». Malgré cela, la ministre de la Condition féminine, Martine Biron, s’est engagée à financer le « milieu communautaire » LGBT et la supposée « reconnaissance de la diversité sexuelle et de genre ».
Mme Biron a déclaré que ce plan était destiné à lutter contre les discours haineux et à rendre le Québec plus ouvert et plus accueillant.
« Je veux que ce plan soit une réponse, une façon de travailler pour contrer la montée de la violence, la montée de l’intimidation, la montée de l’intolérance », a-t-elle déclaré.
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