Un candidat pro-famille remporte une victoire écrasante lors des élections à un conseil scolaire de la région de Toronto
Robert Kolosowski.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Robert Kolosowski/X
18 juillet 2024, Richmond Hill, Ontario (LifeSiteNews) — Cette semaine, le candidat pro-famille Robert Kolosowski a obtenu une victoire écrasante lors d’une élection partielle pour devenir conseiller scolaire du York Region District School Board (YRDSB) (Conseil scolaire du District régional de York).
Le 16 juillet, Robert Kolosowski a remporté l’élection partielle dans les quartiers 1, 2 et 4 de Richmond Hill, plus de 65 % des électeurs soutenant son programme d’opposition à l’endoctrinement politique dans les écoles. Richmond Hill est situé juste au nord de Toronto.
« La nuit dernière, les familles de Richmond Hill ont envoyé un message très clair en votant pour ramener des politiques de bon sens dans notre système éducatif », a écrit M. Kolosowski sur X.
« Les parents et les enseignants se sont unis derrière notre vision d’un système basé sur le mérite qui donne la priorité à l’éducation et à la sécurité des écoles plutôt qu’à la politique », a-t-il poursuivi.
L’élection s’est déroulée du 13 au 15 juillet afin de pourvoir le poste vacant créé par la démission de Crystal Yu en avril. M. Kolosowski l’a emporté haut la main, avec 66,32 % des voix, alors que les huit autres candidats en lice n’ont recueilli en tout que 33,68 % des suffrages.
« Nous avons mené une campagne axée sur la politique et obtenu deux fois plus de voix que les huit autres candidats réunis », s’est félicité M. Kolosowski. « Notre victoire massive me donne un mandat clair pour mettre en œuvre ces politiques ».
Lire la suite80 % des élèves d’une école primaire d’Ottawa auraient été absents le jour du drapeau de la « fierté »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MIA Studio/Adobe Stock
27 juin 2024, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — 80 % des élèves d’une école primaire d’Ottawa étaient absents le jour de la cérémonie de lever du drapeau de la « fierté » prévue au début du mois, a déclaré un militant pro-famille local.
S’adressant à LifeSiteNews, l’activiste pro-famille musulman Kamel El-Cheikh a déclaré que le 4 juin, les enseignants et le personnel de l’école élémentaire Michaelle Jean à Ottawa, en Ontario, ont été déconcertés par l’absence de 591 des 738 élèves (80 %) le jour de la cérémonie de lever du drapeau de la « fierté » LGBT de l’école. Les absences signalées coïncidaient avec la deuxième journée annuelle de refus du drapeau de la « fierté » organisée par la Coalition nationale pour la Vie (CNV).
En réponse à cette absence massive, M. El-Cheikh, qui a déclaré s’être rendu à l’école pour encourager les parents et les élèves à résister à l’idéologie LGBT, a attesté que la directrice de l’école, Tania Bergeron, et une enseignante de cinquième année du nom de Martine, tentaient de punir les parents dont les enfants n’assistaient pas à la cérémonie du drapeau de la « fierté ».
À son arrivée à l’école, M. El-Cheikh a déclaré que les parents l’ont rapidement informé que deux membres du personnel faisaient circuler un document que les parents devaient signer pour punir ceux qui refusaient de participer à la cérémonie du drapeau de la « fierté ».
« Ces deux personnes devront rendre des comptes à l’avenir », a déclaré M. El-Cheikh, condamnant le personnel de l’école pour avoir « rabaissé et diabolisé les parents ».
« Nous allons demander des comptes à chacun d’entre vous », a-t-il promis.
Lire la suiteLa clique arc-en-ciel contre-attaque
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Orlandowood365/Wikimedia Commons
Un syndicat d’enseignants pro-LGBT tente de renverser une victoire importante pour les droits parentaux.
Brenda Golden, présidente de la section Dufferin-Peel de l’Ontario English Catholic Teachers' Association (OECTA), a lancé une pétition pour tenter de persuader la commission scolaire Dufferin-Peel Catholic District School Board (DPCDSB) de revenir sur sa récente décision de ne pas hisser le drapeau de la « fierté » transgenre et homosexuelle.
Le 11 juin, les administrateurs du DPCDSB, l’un des plus grands conseils scolaires de la province, ont voté à 6 voix contre 3 pour empêcher le symbole LGBT de flotter à l’extérieur du bureau du conseil ou de l’une de ses écoles...
Cette décision a rendu furieux les militants radicaux du syndicat des enseignants.
L’objectif de cette nouvelle pétition est de convaincre la direction du DPCDSB que le fait d’arborer l’arc-en-ciel de la licence est en quelque sorte « crucial » pour l’engagement du conseil catholique à « défendre les droits humains », mais cela ne pourrait pas être plus éloigné de la vérité !
Lire la suiteLe procès contre le conseiller scolaire Del Grande bat de l’aile
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ake/Rawpixel
Bonne nouvelle ! Sur la base des derniers témoignages, je crois que la chasse aux sorcières de l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OEEO) contre Michael Del Grande est en train de s’effondrer.
Cependant, il y a bien plus en jeu que la persécution injuste d’un fidèle conseiller scolaire catholique au sein du Toronto Catholic District School Board (TCDSB) [Commission scolaire catholique de Toronto]...
Si le conseiller Del Grande est reconnu coupable par l’OEEO, les fondements mêmes de notre démocratie parlementaire risquent d’être sérieusement mis à mal.
Je reviendrai sur ce point dans un instant, mais j’aimerais tout d’abord vous informer des dates de l’audience, au cours de laquelle deux témoins de la défense ont été entendus.
Comme beaucoup de nos sympathisants le savent, l’OEEO met tout en œuvre pour révoquer l’autorisation d’enseigner de Mike sur la base d’une série d’allégations de « mauvaise conduite de l’enseignant » (même s’il n’a jamais travaillé en tant qu’enseignant).
En tant qu’institution de gauche totalement alignée sur la clique LGBT, l’OEEO organise ce simulacre de procès pour se venger de Mike, qui a osé s’opposer à l’ajout de l’idéologie transgenre dans le code de conduite du TCDSB lors d’une dernière réunion du conseil d’administration.
La procédure s’éternise avec de nombreuses audiences disciplinaires depuis novembre 2022.
Lire la suiteLe cours de Culture et citoyenneté québécoise imposera l’idéologie du genre à la rentrée
Jean-Léon Laffitte, président de l'Association des parents catholiques du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton — (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jordaniste/YouTube
Le nouveau cours Culture et citoyenneté québécoise, qui remplacera l’ancien cours d’ÉCR à la prochaine rentrée, comprendra dans son volet d’éducation sexuelle (déjà néfaste) l’idéologie du genre.
Dans une entrevue avec Michel Lizotte, journaliste indépendant, Jean-Léon Laffitte, président de l’Association des parents catholiques du Québec (APCQ), explique les fondements de l’idéologie du genre, qui prétend que le sexe est « assigné » à la naissance et est une construction sociale.
La théorie du genre est-elle fondée scientifiquement ? M. Laffitte nous parle du tout récent rapport Cass produit en Grande-Bretagne, où des milliers de personnes ayant subi une « transition de genre » regrettent maintenant d’avoir suivi cette procédure irréversible, qui affirme qu’aucune étude probante ne soutient les prétentions de la théorie du genre, à savoir que les « traitements » comme les bloqueurs de puberté, les hormones transsexuelles ou les opérations sont bénéfiques aux enfants atteints de dysphorie du genre.
Le suicide des jeunes à qui on ne procurerait pas de transition est souvent brandi comme argument pour forcer les parents à approuver la transition de leur enfant atteint de dysphorie. Pour répondre à cet argument, M. Laffitte mentionne une autre étude qui démontre que le taux de suicide chez les jeunes n’est pas plus élevé si on s’occupe de leur santé mentale plutôt que de les transitionner.
Le gouvernement britannique, sur le fondement du rapport Cass est en train de revenir sur l’expérience de l’idéologie du genre. Pourtant, au Québec, souligne M. Laffitte, nous ne profitons pas de l’expérience britannique et persévérons dans la même erreur (Errare humanum est, perseverare diabolicum...).
Lire la suiteRetour sur la Journée nationale de refus du drapeau de la fierté
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : smolaw11/Adobe Stock
Les médias ont largement occulté la couverture de notre deuxième Journée annuelle nationale de refus du drapeau de la « fierté », mais la vérité doit être dite, d’où cette mise à jour.
Ces journées de retrait (des élèves) ont été organisées pour protester contre l’insidieux endoctrinement LGBT dans les salles de classe dans tout le Canada, et nous les avons planifiées pour qu’elles coïncident avec tous les jours où les écoles étaient susceptibles de hisser le drapeau de la fierté LGBT en l’honneur du Mois de la fierté transgenre et homosexuelle.
Nous pensons que ce fut un succès retentissant, tout comme l’année dernière, et j’en donnerai les preuves dans quelques instants.
Les conseils scolaires et les grands médias cachent les taux d’absentéisme
Malheureusement, nous n’avons pas d’accès direct aux chiffres de l’absentéisme.
Croyez-le ou non, chaque commission scolaire demanderait des centaines de dollars si nous soumettions une demande de liberté d’information pour obtenir les chiffres des absences entre le 31 mai et le 4 juin. Je suppose que ces frais sont leur façon de contourner la loi sur la liberté d’information, afin de s’assurer qu’il est difficile pour le public de savoir ce qui se passe. Tant pis pour la transparence !
En 2023, après la première Journée nationale de refus des drapeaux de la « fierté », nous avons pu confirmer des taux d’absence compris entre 30 et 75 % dans de nombreux conseils scolaires.
Lire la suiteUn conseil scolaire catholique d’Ontario refuse d’arborer le drapeau LGBT
Par Josie Luetke (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Je n’en reviens toujours pas.
Hier soir, la commission scolaire Dufferin-Peel Catholic District School Board a voté à 6 contre 3 pour NE PAS déployer de drapeaux « supplémentaires » (c’est-à-dire le drapeau de la Fierté) devant son Centre d’éducation catholique ni de l’une de ses écoles.
Le drapeau de la Fierté n’est pas arboré et ne sera pas arboré à l’extérieur du Centre d’éducation catholique du DPCDSB, situé sur le boulevard Matheson.
De plus, les conseillers scolaires ont adopté une NOUVELLE motion précisant que, devant les établissements du DPCDSB dotés d’un deuxième mât, en plus du drapeau canadien, le drapeau de l’Ontario doit être hissé, et que tout troisième mât doit être réservé aux drapeaux associés à l’année liturgique.
Le DPCDSB est le deuxième plus grand conseil scolaire catholique de l’Ontario et l’un des plus grands du Canada, accueillant plus de 80 000 élèves !
Dieu soit loué.
Et merci à VOUS si vous avez été l’un de nos supporters, si vous avez contacté votre Conseiller, si vous vous êtes présenté à la réunion, si vous avez prié, etc.
Mais même si ce n’est pas le cas, ou si vous n’habitez pas à proximité du DPCDSB, laissez-moi vous dire pourquoi vous devriez aussi vous sentir reconnaissant et heureux !
Vous voyez, j’ai une confession à faire : je ne m’attendais JAMAIS à ce que cela se produise.
Lire la suiteLa 2e manifestation de refus de la « fierté » LGBT au Canada est un succès, selon un groupe pro-famille
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Trey Musk/Unsplash
5 juin 2024 (LifeSiteNews) — Pour la deuxième année consécutive, des Canadiens à travers le pays ont gardé leurs enfants à la maison cette semaine pour protester contre la célébration du mois de la « fierté » LGBT dans les écoles.
En début de semaine, les écoles publiques célébrant le mois de la « fierté » ont enregistré des absences d’élèves, car de nombreuses familles canadiennes n’ont pas envoyé leurs enfants à l’école du 31 mai au 4 juin, préférant participer à des prières devant les conseils scolaires catholiques et les bureaux des évêques, selon l’organisateur du mouvement, la Coalition nationale pour la vie.
« La bataille pour les droits parentaux nécessitera de la persévérance et un engagement à long terme jusqu’à ce que le fléau de la suprématie et de l’endoctrinement homosexuels soit éliminé de nos écoles et des salles de classe de nos enfants », a déclaré Jack Fonseca, de la CNV, à LifeSiteNews.
« Cette manifestation a été un élément important de la pression exercée pour envoyer un message aux enseignants pro-LGBT, aux directeurs d’école, aux administrateurs et aux fonctionnaires du ministère de l’Éducation », a-t-il poursuivi.
La manifestation a bénéficié d’une bonne publicité et du soutien de divers groupes de défense des droits des parents et de réseaux de défense des parents, dont la Coalition canadienne des droits des parents, Hands Off Our Kids et Kamil El-Sheikh, l’organisateur de la MillionPersonMarch4Children de septembre dernier.
Lire la suiteLe premier ministre du Nouveau-Brunswick interdit à un groupe d’éducation sexuelle de venir dans les écoles
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
27 mai 2024 (LifeSiteNews) — Une fois de plus, le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, montre aux politiciens canadiens comment défendre efficacement des politiques socialement conservatrices et sensées. Le 24 mai, il a publié sur X une photo d’une diapositive d’une présentation d’éducation sexuelle donnée dans une école du Nouveau-Brunswick. On y voit des lèvres rouges se refermant sur une sucette, le titre « Thirsty For The Talk » (Assoiffé de discussions) et les questions suivantes : « Est-ce normal de regarder de la porno comme on regarde des séries télévisées ? » « Les filles se masturbent-elles ? » et : « Est-ce que c’est bien ou mal de faire de l’anal ? »
Le premier ministre Higgs a publié sa réponse :
Lire la suiteUn certain nombre de parents inquiets m’ont fait part de photos et de captures d’écran de matériel clairement inapproprié qui a été présenté récemment dans au moins quatre écoles secondaires du Nouveau-Brunswick.
Dire que je suis furieux serait un euphémisme.
Cette présentation ne faisait pas partie du programme d’études du Nouveau-Brunswick et son contenu n’a pas été signalé aux parents à l’avance. Des fonctionnaires du ministère de l’Éducation ont dit à mon bureau que cela devait être une présentation sur le Virus du papillome humain (VPH).
Cependant, le groupe a partagé des documents qui dépassent largement le cadre d’une présentation sur le VPH. Le fait que ces documents aient été diffusés montre qu’un contrôle inadéquat a été effectué, que le groupe a présenté de manière erronée le contenu qu’il allait partager... ou les deux.
Ce groupe ne sera plus autorisé à faire des présentations dans les écoles du Nouveau-Brunswick, et ce dès maintenant.
Notre gouvernement poursuivra les discussions afin de déterminer si des règles supplémentaires concernant les présentations par des tiers doivent être mises à jour.
Les enfants doivent être protégés et les parents doivent être respectés.
Je veux que les parents sachent que nous sommes avec eux. Nous continuerons à prendre des décisions basées sur le principe que les parents doivent être informés de ce qui se passe dans les écoles, afin de pouvoir prendre des décisions parentales en connaissance de cause.
Pensez-vous que nous ayons besoin de règles plus strictes concernant les présentations par des tiers dans nos écoles ? Je souhaite vous entendre directement. Répondez à notre enquête en cliquant ici : https://newbrunswickpc.ca/school
Le drapeau LGBT+ comprend-il maintenant la bestialité ?
Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pete/Flickr
J’ai des nouvelles profondément troublantes à partager avec vous au sujet d’une leçon d’éducation sexuelle LGBT qui a été donnée à la fin du mois de mars à des élèves de 9e année en Australie.
En quoi cela concerne-t-il les parents et grands-parents canadiens ?
[Cela nous concerne] parce que le système éducatif canadien, tout comme celui de l’Australie, a été pris en main par les idéologues LGBT.
Nous avons également des sociétés similaires qui suivent presque à l’identique les tendances de la société occidentale.
Ce qui se passe dans un pays en termes de développement moral et social tend à se produire très rapidement dans l’autre.
Il est donc légitime et nécessaire de craindre que ce que je vais vous raconter, qui vient de se dérouler aux antipodes, ne fasse un jour son apparition dans les salles de classe canadiennes sous les auspices de l’éducation LGBTQ+.
Je vais vous raconter les détails, mais je dois vous avertir qu’ils sont écœurants...
Des parents indignés se sont adressés aux médias et ont retiré leurs enfants du collège Renmark, en Australie-Méridionale, après qu’un éducateur en sexualité LGBTQIA+ se soit présenté le 22 mars et ait enseigné la bestialité aux élèves de 9e année, d’une manière approbatrice, laissant entendre que les relations sexuelles avec des animaux étaient une pratique acceptable au sein de la communauté LGBT !
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