Décision de la Cour suprême des États-Unis: bonne nouvelle pour l’enfant à naître
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
Le décret de la Cour suprême appelé Roe versus Wade (1973) oblige tous les États américains à avoir au moins une clinique pour faire les avortements. On a su ensuite que Mme Roe qui était la plaignante n’avait jamais avorté, mais qu’elle avait été manipulée par un groupe d’avocats particulièrement retors.
Or, plusieurs États n’étaient pas demandeurs et d’autres franchement opposés à l’avortement. Ceux-ci ont utilisé toutes sortes de subterfuges pour essayer de limiter les avortements. C’est ainsi que 400 lois ont été votées par différents États pour contourner Roe/vs Wade. L’une d’entre elles consistait à obliger les praticiens à montrer l’enfant in utero par l’échographie. Donc plusieurs États s’orientèrent dans cette direction sur le plan législatif. Il est évident que les femmes voyant un petit être dont le cœur battait, qui avait une tête et des membres qui bougeaient, se posaient des questions. Elles se disaient que contrairement à la propagande pro-avortement, l’enfant dans le sein maternel n’était pas qu’un amas de cellules.
De nombreux procès commencèrent, diligentés en général par Parenthood ou par des propriétaires de cliniques d’avortement. Ils aboutirent tous à la Cour Suprême. Ces États avaient-ils le droit d’obliger les femmes enceintes à faire une échographie de grossesse ? La Cour vient de rendre son jugement [27 décembre]. Il n’y a aucune raison de refuser qu’ils puissent voter une loi obligeant les femmes enceintes à faire une échographie. Rien d’extraordinaire : en France depuis 25 ans trois échographies sont obligatoires au titre de la surveillance normale de la grossesse.
Nous tirerons deux leçons de cette affaire qui est une colossale victoire pro-vie.
La première est que la vue de leur enfant va dissuader des milliers de femmes d’« interrompre » leur grossesse. Notons que ce terme d’« interrompre » est impropre. Si les grévistes interrompent leur grève, cela signifie que le travail va reprendre un jour. Avec l’avortement, la grossesse ne reprend jamais.
La deuxième conséquence est aussi très importante. Trump a réussi avec peine à faire nommer à la Cour suprême deux juges supplémentaires (sur 9) théoriquement opposés à l’avortement. C’est la preuve que la majorité des membres de cette instance est pro-vie ; comme d’ailleurs la majorité des Américains. (ACLJ, 23/12/2019).
Slovaquie : un projet de loi en faveur de la vie
Par Adèle Cotterau (Droit de Naître)
Le Parti national slovaque (SSN) a présenté un projet de loi visant à prévenir la pratique de l’avortement, comprenant trois mesures essentielles : l’interdiction de faire de la publicité pour l’avortement, ainsi que les obligations de montrer à la femme enceinte l’image échographique du fœtus et de lui faire entendre le battement du cœur du fœtus, selon le journal Slovak Spectator.
Ainsi, les médecins doivent montrer à la femme qui veut se faire avorter des images échographiques « sur le stade de développement de l’embryon ou du fœtus dont le développement doit être interrompu » et « si cela est techniquement possible, le médecin doit également lui permettre d’entendre le battement cardiaque de l’embryon ou du fœtus », selon le projet de loi.
Le parlement slovaque doit encore donner son feu vert à cette mesure.
« Le projet de loi proposé a des répercussions positives sur le mariage, la parentalité et la famille », se sont félicités les membres du SSN. Espérons également que cette nouvelle législation contribue à réduire le nombre d’avortements (7500 par an pour un peu plus de 5 millions d’habitants) dans un pays très catholique, où 50 000 personnes ont manifesté au mois de septembre dernier dans les rues de la capitale — Bratislava — contre l’avortement.
Rappelons qu’en Slovaquie, l’avortement est légal s’il est pratiqué pendant les 12 premières semaines de grossesse, après quoi il ne peut être pratiqué que pour certaines raisons médicales.
Si la législature était adoptée, la Slovaquie serait le seul pays de l’Union européenne à avoir ce type de loi, les États-Unis étant le premier pays à l’avoir adopté.
Un médecin qui offre des ultrasons aux femmes planifiant d’avorter
Dr Gádor Joya.
Par Martins M. Barillas — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran YouTube
Madrid, 21 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Une pédiatre en Espagne, entre autres siégeant à une assemblée municipale, est critiquée par les gauchistes en raison de ce qu’ils appellent la pratique « cruelle » d’offrir des échographies gratuites aux femmes enceintes qui prévoient avorter.
Le Dr Gádor Joya, qui représente le parti de centre droit Vox à l’Assemblée législative locale de Madrid, fournit aux femmes enceintes le moyen de voir leurs bébés en développement in utero. Le 15 novembre, attendant à l’extérieur d’un centre d’avortement dans la capitale espagnole, le Dr Joya offrait des images ultrasons dans une fourgonnette appelée « Ambulancia Vida ».
Donner aux mères les ultrasons a irrité les défenseurs de l’avortement qui prétendent que les services de Joya sont à la fois « cruels » et « inhumains ».
Selon le journal espagnol El País, le Dr Joya a affirmé lors d’une audience du comité de la santé plus tôt ce mois-ci, qu’elle et d’autres médecins offrent les échographies aux femmes enceintes. « C’est précisément parce que j’ai fait cela, dit-elle, que je sais ce qui a été caché à ces femmes. La plupart d’entre elles, lorsqu’elles reçoivent de l’information et entendent le battement de cœur du bébé, décident d’aller de l’avant avec leurs grossesses. »
Dans un message sur les médias sociaux, la Dre Joya écrivait : « Ce dont je suis le plus fier en tant que médecin, c’est d’avoir aidé de nombreuses femmes à devenir mères lorsqu’elles étaient sur le point d’avorter. Oui, j’ai travaillé pour un projet visant à défendre le droit à la vie et à la dignité de tous les êtres humains. Et je continuerai à le faire où que je sois. »
Dans une vidéo promotionnelle de 2016 pour le projet Ambulancia Vida, le Dr Joya déclarait que plus de 300 bébés meurent chaque jour par avortement en Espagne. Dans la vidéo, le Dr Sonsoles Alonso, gynécologue pro-vie, affirme qu’il explique aux femmes : « Tout d’abord, nous essayons d’humaniser¹ l’enfant qu’elles ont dans leur ventre. Deuxièmement, nous leur faisons comprendre que quand elles auront franchi les portes du Dator (le fournisseur d’avortement), celui-ci mettra fin á la vie que les habite et que le battement de cœur s’arrêtera ». Comme le fait observer le Dr Joya, le Dr Alonso montre à une femme enceinte une image en temps réel de son bébé dans l’utérus.
Lire la suiteÀ mi-chemin d’un avortement pharmacologique, une femme enceinte sauve la vie de ses jumeaux !
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wheeler_Cowperthwaite
1er juillet 2019 (LifeSiteNews) — La vie de deux jumeaux a été épargnée alors que leur mère a changé d’idée pendant le processus d’un avortement chimique.
« Alexis », était enceinte d’environ six semaines lorsqu’elle s’est présentée pour un avortement à l’une des installations abortives les plus affairées de la Caroline du Nord A Preferred Women’s Health Center, dans la ville de Charlotte.
Au cours de l’ultrason, la technicienne a dit, banalement, « Oh, des jumeaux », ce qui a ému Alexis, car elle avait toujours souhaité avoir des jumeaux.
Alors qu’elle était en train d’assimiler la nouvelle de sa grossesse gémellaire, on lui a administré le premier des deux médicaments inclus au sein du protocole d’avortement chimique. On lui a remis le second médicament pour être pris au cours des 48 heures suivantes.
Au moment où elle quittait le centre d’avortement, un conseiller de trottoir a réussi à s’adresser à Alexis, alors qu’elle éprouvait d’intenses émotions et se sentait confuse. Elle a pu ainsi initier le processus de sauvetage des deux bébés.
« Il n’est peut-être pas trop tard pour vous », lui disait le conseiller. « Il y a moyen de renverser tout ça ; allez consulter le site internet AbortionPillReversal.com, contactez-les ; il n’est pas trop tard pour qu’ils puissent vous aider à sauver votre bébé. »
Alexis a ensuite quitté le lieu en voiture, mais a fini par se stationner rapidement, pour pouvoir ouvrir son téléphone cellulaire et chercher le site internet mentionné par le conseiller. Elle a appelé la ligne d’urgence, qui l’a mise en communication avec le centre local d’aide à la grossesse.
« Nous l’avons très rapidement prise en charge pour lui administrer le protocole d’antidote à l’avortement chimique », a dit Courtney Parks, conseillère en interruption d’avortement par pilule abortive pour les centres de grossesse HELP Pregnancy Center. « C’était une question d’heures. »
L’histoire d’Alexis a été publiée récemment sur le site internet Pregnancy Help News, et ensuite a été remarquée par FoxNews.com.
La « pilule abortive », ou RU-486, réfère à un protocole utilisant deux molécules : la mifépristone et le misoprostol. La mifépristone est prise en premier, pour déstabiliser la grossesse en bloquant les récepteurs de progestérone et en empêchant l’action de la progestérone produite par la mère. L’avortement est ensuite complété par l’administration du misoprostol, qui provoque le travail, obligeant le corps de la mère à expulser le bébé.
Lire la suiteUn centre de grossesse de Virginie vandalisé après que l’Assemblée de l’État ait rejeté un projet de loi infanticide
« You hate women » (Vous haïssez les femmes) gribouillé sur une pancarte du Culpeper Pregnancy Center.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jon Russel
Encore un exemple de la haine des partisans de l’avortement. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteQuelques jours à peine après que la Chambre des délégués de Virginie eût rejeté un projet de loi légalisant l’avortement jusqu’à la naissance, un centre d’aide aux femmes enceintes pro-vie de Culpeper, en Virginie, a été vandalisé avec des messages haineux peints au pulvérisateur tôt vendredi matin.
« You hate women » (Vous haïssez les femmes), dit l’un des messages sur le panneau du Culpeper Pregnancy Center, l’un des quatre établissements gérés par The Pregnancy Centers of Central Virginia.
Ce n’était pas tout. Le Culpeper Star-Exponent rapporte :
« Vous haïssez les femmes » et « Jesus hates this [vulgarité effacée] » (Jésus déteste ça) ainsi que « FAKE » (Faux) en grosses lettres noires ont été gribouillées à l’extérieur du petit office situé sur Sunset Lane, tout près du Culpeper Hospital et en face du Farmington Elementary School. Une vitre avant a été brisée et l’un des panneaux centraux a été recouvert de peinture rouge et un visage triste a été dessiné en dessous.
États-Unis : voici comment les Chevaliers de Colomb sauvent des vies : 1 000 dons d’échographes
Mgr Michael Burbidge, évêque d’Arlington, bénit le nouvel échographe de la Mother of Mercy Free Clinic à Manassas, en Virginie, le 14 janvier 2019.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Joe Cashwell du Catholic Herald
Comme dit le proverbe, « Loin des yeux, loin du cœur », ce qui est assez vrai quand une mère a oublié que son enfant à naître est bien son enfant et non un amas de cellules. C'est pourquoi il est important que les centres pro-vie d'aide aux femmes enceintes disposent d'un échographe afin de pouvoir dévoiler à une mère son enfant bien vivant. Extrait de CNA/EWTN News :
Un programme de don d’échographes aux centres de grossesse américains a franchi la barre des 1 000, grâce à l’action charitable des Chevaliers de Colomb et de ses membres.
« Construire une culture de la vie exige que nous nous battions tous pour le juste traitement des enfants à naître innocents et que nous accompagnions avec compassion les femmes confrontées à des grossesses critiques », a déclaré le chevalier suprême Carl Anderson des Chevaliers de Colomb dans le numéro de janvier 2019 du magazine Columbia, qui est publié par cet organisme de bienfaisance.
« Ce programme sauve des centaines de milliers de vies. »
Violet fut sauvée de l’avortement lorsque sa mère quitta la clinique de Planned Parenthood
Ally et son bébé Violet
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Cela lui prit beaucoup de force et courage, mais Ally, qui avait fait l’objet de pression pour qu’elle se fasse avortée, sortit de la clinique où elle avait un rendez-vous pour un avortement.
Ally découvrit qu’elle était enceinte après avoir pris un test gratuit de grossesse au Ventura County Pregnancy Center (Centre de grossesse du comté de Ventura). Les gens du centre lui ont montré également une échographie de son bébé et lui ont parlé de ses options et du développement du fœtus. Ally se sentit bouleversée et décida de s’en aller. Elle a affirmé que les personnes du centre de grossesse lui assuraient qu’elles seraient là pour elle, peu importe ce qu’elle choisirait de faire.
Lire la suiteUn bébé sauvé de l’avortement après que sa mère l’ait vu bouger sur l’échographie
Un bébé bien vivant
Par LiveActionNews traduit par Campagne Québec-Vie
Une absence de règles. Un test de grossesse maison donnant deux faibles lignes. Lorsque je découvris il y a quatre mois que j’étais enceinte, j’ai paniqué.
Je n’avais pas peur pour les mêmes raisons pour lesquelles une femme enceinte de 21 ans pourrait avoir des peurs. Oui je suis jeune, mais j’ai une relation d’amour, je suis financièrement stable, j’ai une famille qui est là pour moi et qui me supporte. Si j’avais peur, c’est que cette grossesse pouvait être dangereuse pour moi.
Il y a trois ans de cela, mon petit ami, Darren fut diagnostiqué avec le cancer des testicules. Le traitement par radiations, avec lequel on l’a soigné, lui a sauvé la vie, cependant ce traitement pouvait lui causer de sérieux problèmes pour avoir des enfants. Il a été prévenu que s’il venait à en avoir, qu’il pourrait naître avec des déformations et que la mère de cet enfant, pourrait être lésée par cette grossesse.
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Bébé Edwin fut sauvé de l’avortement après que sa mère vit une échographie
Par Miriam Harding (Alliance Defending Freedom) - traduit par Campagne Québec-Vie
(19 juillet 2016) Voilà quelques semaines, j'ai eu une envie inébranlable de tendre la main à une ancienne camarade de classe à l'école secondaire : Sarah. Nous n'avions jamais été de bonnes amies, mais j'ai récemment aperçu une publication sur Facebook comme quoi Sarah avait accouché d'un garçon. J’envoyai à Sarah un court message, lui demandant si elle aimerait un repas et des couches. Je reçus un “Oui !” emphatique de sa part et nous avons arrangé une rencontre.
Lorsque je visitai Sarah, je n’étais pas au courant de la manière dont Dieu avait œuvré dans sa vie durant les derniers mois.
Étonnamment, au milieu de notre conversation, Sarah affirma “qu’elle ne pouvait pas croire qu’elle n’ait pas considéré aucune autre option.” Lorsque je me renseignai par ce qu’elle voulait dire, j’appris que Sarah était fiancée à un homme depuis plusieurs mois, et que quelques semaines après avoir rompu cet engagement, elle apprit qu’elle était enceinte. Sarah était dévastée, et ce qui est pire est le fait que son ex-fiancé affirma qu’il ne voulait plus rien savoir d’elle, et qu’il n’y était pour rien pour le bébé. Son expérience fut l’exemple du cliché parfait – il lui dit de “s’en débarrasser.”
Lire la suiteAprès neuf tentatives d'avortement à Planned Parenthood, une échographie a tout changé
Par Christina Marie Bennett de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
McKenzie était une étudiante apeurée, accablée par les émotions de faire face à une grossesse non planifiée. Elle et son petit ami Marcus avaient décidé qu'ils ne pouvaient pas avoir un bébé tout en poursuivant leurs études. McKenzie a trouvé une clinique de Planned Parenthood près de son université au Connecticut et prévu un avortement. Quand elle a pris un rendez-vous, il a été annulé. Elle en a pris un autre et celui-là a été reporté. Elle a essayé à nouveau et elle a été informée par le personnel de Planned Parenthood qu'ils étaient surréservés. Elle a essayé une fois de plus et a été informée que le médecin n'était pas présent. En tout, McKenzie a pris neuf rendez-vous pour un avortement.
Après cela, McKenzie était frustrée et a décidé de chercher de l'aide ailleurs. C'est à ce moment qu’elle a découvert le Centre de Femmes ABC.
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