Un bébé à naître sourit en entendant la voix de son père lors d’une échographie
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran/YouTube
1er octobre 2024 (LifeSiteNews) — Une vidéo virale d’un bébé à naître réagissant à la voix de son père met en lumière la beauté et l’humanité des enfants à naître.
Dans une vidéo téléversée par le New York Post, on voit une petite fille de 32 semaines sourire en entendant son père lui parler lors d’une échographie dans un hôpital de Xanxere, au Brésil.
Les bébés à naître, qui sont des personnes humaines dès le moment de la conception, commencent à entendre des sons à l’intérieur du corps de leur mère vers la 18e semaine. Entre la 27e et la 29e semaine, les bébés peuvent entendre des voix à l’extérieur du corps de leur mère, comme la sienne et celle des personnes qui l’entourent.
Lire la suiteElle a vu l’échographie de son bébé à l’avortoir et a décidé de garder son bébé
Courtney Garaguso et ses enfants.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Courtney Garaguso est devenue enceinte de son premier enfant à 15 ans.
Honteuse et embarrassée, elle a trouvé le courage d’en parler à ses parents, qui ont réagi avec compassion et soutien. En tant que chrétiens pro-vie, l’avortement n’était pas une option, écrit Mme Garaguso dans une chronique publiée cette semaine par le New Jersey Star-Ledger.
Puis, à l’âge de 19 ans, elle est de nouveau devenue enceinte. Ce qui était autrefois impensable [l’avortement] lui a alors traversé l’esprit.
« Comment pouvais-je — toujours célibataire et vivant toujours à la maison, avec un enfant de 4 ans — refaire cela à mes parents, qui avaient tout sacrifié pour moi et avaient déjà connu tant de souffrances ? »
Mme Garaguso explique qu’elle se sentait paralysée par la peur à l’idée d’élever un autre enfant en tant que mère adolescente célibataire. Elle pensait aux choses qu’elle voulait offrir à sa fille, Eliana, mais qu’elle ne pouvait pas se permettre, comme de beaux vêtements et des fêtes d’anniversaire.
Sur le moment, ses craintes et ses inquiétudes l’ont emporté sur le soutien massif qu’elle avait reçu de ses parents, de son église et de son centre local de ressources pour la grossesse, Choices of the Heart à Turnersville, au cours de sa première grossesse.
Lire la suiteL’Espagne oblige une région à supprimer l’offre d’échographies avant l’avortement
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une région d’Espagne qui avait mis en place des politiques de consentement éclairé* avant tout avortement ne pourra plus le faire.
La région de Castille et Léon, située au nord de Madrid, avait récemment annoncé que les femmes enceintes qui demandent un avortement doivent avoir eu auparavant la possibilité d’écouter les battements de cœur de leur enfant à naître ou de visionner une échographie. Pourtant, le ministre de la Présidence et des relations avec les tribunaux, Félix Bolaños, a rapidement répondu que ces politiques ne seront pas autorisées, déclarant que la région devait « cesser immédiatement tout recul des droits des femmes » et affirmant que ces politiques constituaient une « violation des droits et des libertés des femmes ».
Alfonso Fernández Mañueco, le président de la région, a ensuite déclaré cela ne serait pas obligatoire. « Les médecins ne seront pas obligés de faire quoi que ce soit, les femmes enceintes ne seront pas obligées de faire quoi que ce soit », a-t-il déclaré. « Il est clair pour moi que la modification de l’ordre des facteurs pourrait se transformer en coercition directe et indirecte ».
Le premier ministre Pedro Sánchez a réaffirmé l’engagement de l’Espagne en faveur de l’avortement dans un communiqué, déclarant : « Le gouvernement espagnol utilisera toutes les ressources de la loi pour défendre la liberté des femmes et leur droit à interrompre leur grossesse dans les conditions appliquées dans la législation existante ». Actuellement, l’avortement est légal jusqu’à 14 semaines de grossesse en Espagne.
Lire la suiteUne jeune de 14 ans refusa d’avorter après une échographie, voici sa fille aujourd’hui
Delia, la fille de Zayda Carpenter.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Zayda Carpenter, une jeune fille de 14 ans croyait que sa vie était ruinée lorsqu’elle vit les deux lignes rose apparaître sur un test de grossesse.
Dans un article du The Federalist, Zayda Carpenter raconte qu’elle et son petit ami Cole ont vu leurs soucis d’écoliers — premier jour au secondaire, devoir et activité parascolaire — être remplacés par la peur de devenir de jeunes parents.
Un premier test de grossesse avait suscité beaucoup de craintes, mais il n’a suffi que d’une échographie pour changer leur perspective, et choisir de garder leur petite fille.
Carpenter se rappelle combien, trois ans plus tôt, elle était terrifiée en apprenant qu’elle était enceinte. Ils ont rapidement envisagé l’avortement.
« Nous ne nous attendions pas à être propulsés vers la vie adulte si tôt, la double ligne rose sur le test de grossesse nous avait laissés sous le choc », se souvient-elle.
Dans leur jeune esprit, l’avortement n’était qu’un concept vague auquel ils n’avaient jamais vraiment réfléchi.
« Pourquoi l’aurions-nous fait ? Nous n’avions que 14 ans », déclare Carpenter.
« L’équitation et les visites de Cole à la salle de sport étaient plus pertinentes à notre quotidien que les débats moraux et politiques entourant un sujet aussi diviseur que l’avortement. »
Lorsque la grand-mère de Carpenter apprit la nouvelle, elle les encouragea à visiter Reliance, un centre local de ressource pour la grossesse. Cette visite a sauvé la vie de leur fille.
Lire la suiteUne mère a renoncé à l’avortement après avoir entendu les battements de cœur de sa fille : « Ce n’est pas un simple amas de cellules ! »
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Syda productions/Adobe Stock
Lorsqu’Andrea, 19 ans, a entendu battre le cœur de son minuscule bébé alors qu’elle était allongée sur une table dans un centre d’avortement, elle a su qu’il n’était plus question d’avorter.
S’adressant à Live Action News, Andrea a expliqué qu’elle avait cherché à avorter parce qu’elle avait honte d’être enceinte à un jeune âge, d’être célibataire et de ne plus avoir de relation avec le père.
Je me suis dit : « Oh mon Dieu. Ce n’est pas une bonne situation », a-t-elle déclaré à Live Action. Ses amies qui avaient avorté « ne semblaient pas en être gênées. Alors je me suis dit : “Peut-être que ça ne me dérangerait pas non plus” ».
Lorsqu’elle en a parlé à ses parents, ils ont réagi avec amour et soutien, et son père l’a invitée à habiter chez lui après la naissance du bébé. Ils ne l’ont pas fait se sentir coupable ou honteuse ; ce sont des sentiments qu’elle s’imposait à elle-même. D’autres membres de la famille et des amis l’ont encouragée à envisager l’adoption, mais le père de son bébé voulait qu’elle avorte, se souvient-elle. Alors, malgré le soutien de sa famille et de ses amis, elle avait pris rendez-vous dans un centre d’avortement.
Ce qui s’est passé ensuite est inhabituel. Les échographies sont des procédures de routine avant un avortement, mais de nombreuses femmes ayant subi un avortement et d’anciennes employées de centres d’avortement affirment que ces derniers découragent les femmes de regarder l’image de leur enfant à naître.
Dans le cas d’Andrea, cependant, cela s’est passé différemment, et cela a sauvé la vie de sa fille.
Lire la suiteDécision de la Cour suprême des États-Unis: bonne nouvelle pour l’enfant à naître
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
Le décret de la Cour suprême appelé Roe versus Wade (1973) oblige tous les États américains à avoir au moins une clinique pour faire les avortements. On a su ensuite que Mme Roe qui était la plaignante n’avait jamais avorté, mais qu’elle avait été manipulée par un groupe d’avocats particulièrement retors.
Or, plusieurs États n’étaient pas demandeurs et d’autres franchement opposés à l’avortement. Ceux-ci ont utilisé toutes sortes de subterfuges pour essayer de limiter les avortements. C’est ainsi que 400 lois ont été votées par différents États pour contourner Roe/vs Wade. L’une d’entre elles consistait à obliger les praticiens à montrer l’enfant in utero par l’échographie. Donc plusieurs États s’orientèrent dans cette direction sur le plan législatif. Il est évident que les femmes voyant un petit être dont le cœur battait, qui avait une tête et des membres qui bougeaient, se posaient des questions. Elles se disaient que contrairement à la propagande pro-avortement, l’enfant dans le sein maternel n’était pas qu’un amas de cellules.
De nombreux procès commencèrent, diligentés en général par Parenthood ou par des propriétaires de cliniques d’avortement. Ils aboutirent tous à la Cour Suprême. Ces États avaient-ils le droit d’obliger les femmes enceintes à faire une échographie de grossesse ? La Cour vient de rendre son jugement [27 décembre]. Il n’y a aucune raison de refuser qu’ils puissent voter une loi obligeant les femmes enceintes à faire une échographie. Rien d’extraordinaire : en France depuis 25 ans trois échographies sont obligatoires au titre de la surveillance normale de la grossesse.
Nous tirerons deux leçons de cette affaire qui est une colossale victoire pro-vie.
La première est que la vue de leur enfant va dissuader des milliers de femmes d’« interrompre » leur grossesse. Notons que ce terme d’« interrompre » est impropre. Si les grévistes interrompent leur grève, cela signifie que le travail va reprendre un jour. Avec l’avortement, la grossesse ne reprend jamais.
La deuxième conséquence est aussi très importante. Trump a réussi avec peine à faire nommer à la Cour suprême deux juges supplémentaires (sur 9) théoriquement opposés à l’avortement. C’est la preuve que la majorité des membres de cette instance est pro-vie ; comme d’ailleurs la majorité des Américains. (ACLJ, 23/12/2019).
Slovaquie : un projet de loi en faveur de la vie
Par Adèle Cotterau (Droit de Naître)
Le Parti national slovaque (SSN) a présenté un projet de loi visant à prévenir la pratique de l’avortement, comprenant trois mesures essentielles : l’interdiction de faire de la publicité pour l’avortement, ainsi que les obligations de montrer à la femme enceinte l’image échographique du fœtus et de lui faire entendre le battement du cœur du fœtus, selon le journal Slovak Spectator.
Ainsi, les médecins doivent montrer à la femme qui veut se faire avorter des images échographiques « sur le stade de développement de l’embryon ou du fœtus dont le développement doit être interrompu » et « si cela est techniquement possible, le médecin doit également lui permettre d’entendre le battement cardiaque de l’embryon ou du fœtus », selon le projet de loi.
Le parlement slovaque doit encore donner son feu vert à cette mesure.
« Le projet de loi proposé a des répercussions positives sur le mariage, la parentalité et la famille », se sont félicités les membres du SSN. Espérons également que cette nouvelle législation contribue à réduire le nombre d’avortements (7500 par an pour un peu plus de 5 millions d’habitants) dans un pays très catholique, où 50 000 personnes ont manifesté au mois de septembre dernier dans les rues de la capitale — Bratislava — contre l’avortement.
Rappelons qu’en Slovaquie, l’avortement est légal s’il est pratiqué pendant les 12 premières semaines de grossesse, après quoi il ne peut être pratiqué que pour certaines raisons médicales.
Si la législature était adoptée, la Slovaquie serait le seul pays de l’Union européenne à avoir ce type de loi, les États-Unis étant le premier pays à l’avoir adopté.
Un médecin qui offre des ultrasons aux femmes planifiant d’avorter
Dr Gádor Joya.
Par Martins M. Barillas — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Capture d'écran YouTube
Madrid, 21 novembre 2019 (LifeSiteNews) — Une pédiatre en Espagne, entre autres siégeant à une assemblée municipale, est critiquée par les gauchistes en raison de ce qu’ils appellent la pratique « cruelle » d’offrir des échographies gratuites aux femmes enceintes qui prévoient avorter.
Le Dr Gádor Joya, qui représente le parti de centre droit Vox à l’Assemblée législative locale de Madrid, fournit aux femmes enceintes le moyen de voir leurs bébés en développement in utero. Le 15 novembre, attendant à l’extérieur d’un centre d’avortement dans la capitale espagnole, le Dr Joya offrait des images ultrasons dans une fourgonnette appelée « Ambulancia Vida ».
Donner aux mères les ultrasons a irrité les défenseurs de l’avortement qui prétendent que les services de Joya sont à la fois « cruels » et « inhumains ».
Selon le journal espagnol El País, le Dr Joya a affirmé lors d’une audience du comité de la santé plus tôt ce mois-ci, qu’elle et d’autres médecins offrent les échographies aux femmes enceintes. « C’est précisément parce que j’ai fait cela, dit-elle, que je sais ce qui a été caché à ces femmes. La plupart d’entre elles, lorsqu’elles reçoivent de l’information et entendent le battement de cœur du bébé, décident d’aller de l’avant avec leurs grossesses. »
Dans un message sur les médias sociaux, la Dre Joya écrivait : « Ce dont je suis le plus fier en tant que médecin, c’est d’avoir aidé de nombreuses femmes à devenir mères lorsqu’elles étaient sur le point d’avorter. Oui, j’ai travaillé pour un projet visant à défendre le droit à la vie et à la dignité de tous les êtres humains. Et je continuerai à le faire où que je sois. »
Dans une vidéo promotionnelle de 2016 pour le projet Ambulancia Vida, le Dr Joya déclarait que plus de 300 bébés meurent chaque jour par avortement en Espagne. Dans la vidéo, le Dr Sonsoles Alonso, gynécologue pro-vie, affirme qu’il explique aux femmes : « Tout d’abord, nous essayons d’humaniser¹ l’enfant qu’elles ont dans leur ventre. Deuxièmement, nous leur faisons comprendre que quand elles auront franchi les portes du Dator (le fournisseur d’avortement), celui-ci mettra fin á la vie que les habite et que le battement de cœur s’arrêtera ». Comme le fait observer le Dr Joya, le Dr Alonso montre à une femme enceinte une image en temps réel de son bébé dans l’utérus.
Lire la suiteÀ mi-chemin d’un avortement pharmacologique, une femme enceinte sauve la vie de ses jumeaux !
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wheeler_Cowperthwaite
1er juillet 2019 (LifeSiteNews) — La vie de deux jumeaux a été épargnée alors que leur mère a changé d’idée pendant le processus d’un avortement chimique.
« Alexis », était enceinte d’environ six semaines lorsqu’elle s’est présentée pour un avortement à l’une des installations abortives les plus affairées de la Caroline du Nord A Preferred Women’s Health Center, dans la ville de Charlotte.
Au cours de l’ultrason, la technicienne a dit, banalement, « Oh, des jumeaux », ce qui a ému Alexis, car elle avait toujours souhaité avoir des jumeaux.
Alors qu’elle était en train d’assimiler la nouvelle de sa grossesse gémellaire, on lui a administré le premier des deux médicaments inclus au sein du protocole d’avortement chimique. On lui a remis le second médicament pour être pris au cours des 48 heures suivantes.
Au moment où elle quittait le centre d’avortement, un conseiller de trottoir a réussi à s’adresser à Alexis, alors qu’elle éprouvait d’intenses émotions et se sentait confuse. Elle a pu ainsi initier le processus de sauvetage des deux bébés.
« Il n’est peut-être pas trop tard pour vous », lui disait le conseiller. « Il y a moyen de renverser tout ça ; allez consulter le site internet AbortionPillReversal.com, contactez-les ; il n’est pas trop tard pour qu’ils puissent vous aider à sauver votre bébé. »
Alexis a ensuite quitté le lieu en voiture, mais a fini par se stationner rapidement, pour pouvoir ouvrir son téléphone cellulaire et chercher le site internet mentionné par le conseiller. Elle a appelé la ligne d’urgence, qui l’a mise en communication avec le centre local d’aide à la grossesse.
« Nous l’avons très rapidement prise en charge pour lui administrer le protocole d’antidote à l’avortement chimique », a dit Courtney Parks, conseillère en interruption d’avortement par pilule abortive pour les centres de grossesse HELP Pregnancy Center. « C’était une question d’heures. »
L’histoire d’Alexis a été publiée récemment sur le site internet Pregnancy Help News, et ensuite a été remarquée par FoxNews.com.
La « pilule abortive », ou RU-486, réfère à un protocole utilisant deux molécules : la mifépristone et le misoprostol. La mifépristone est prise en premier, pour déstabiliser la grossesse en bloquant les récepteurs de progestérone et en empêchant l’action de la progestérone produite par la mère. L’avortement est ensuite complété par l’administration du misoprostol, qui provoque le travail, obligeant le corps de la mère à expulser le bébé.
Lire la suiteUn centre de grossesse de Virginie vandalisé après que l’Assemblée de l’État ait rejeté un projet de loi infanticide
« You hate women » (Vous haïssez les femmes) gribouillé sur une pancarte du Culpeper Pregnancy Center.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jon Russel
Encore un exemple de la haine des partisans de l’avortement. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteQuelques jours à peine après que la Chambre des délégués de Virginie eût rejeté un projet de loi légalisant l’avortement jusqu’à la naissance, un centre d’aide aux femmes enceintes pro-vie de Culpeper, en Virginie, a été vandalisé avec des messages haineux peints au pulvérisateur tôt vendredi matin.
« You hate women » (Vous haïssez les femmes), dit l’un des messages sur le panneau du Culpeper Pregnancy Center, l’un des quatre établissements gérés par The Pregnancy Centers of Central Virginia.
Ce n’était pas tout. Le Culpeper Star-Exponent rapporte :
« Vous haïssez les femmes » et « Jesus hates this [vulgarité effacée] » (Jésus déteste ça) ainsi que « FAKE » (Faux) en grosses lettres noires ont été gribouillées à l’extérieur du petit office situé sur Sunset Lane, tout près du Culpeper Hospital et en face du Farmington Elementary School. Une vitre avant a été brisée et l’un des panneaux centraux a été recouvert de peinture rouge et un visage triste a été dessiné en dessous.