Deux gays laissent mourir le bébé prématuré dont la mère porteuse est atteinte de cancer
Par Emilly Glover (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : paulaphoto/Adobe Stock
Brittney Pearson, enceinte, a reçu un diagnostic de cancer du sein et a accouché à 25 semaines, mais les deux hommes qui l’avaient engagée comme mère porteuse ont ordonné que l’enfant soit privé de soins médicaux essentiels, ce qui l’a tué.
Deux hommes ont engagé Brittney Pearson comme mère porteuse pour créer leur « famille de rêve », écrit sur Twitter Lila Rose, présidente de Live Action. « À la fin du processus, un petit garçon de 25 semaines a été assassiné ».
« Brittney a reçu un diagnostic de cancer du sein pendant sa grossesse et a décidé d’accoucher prématurément, à 25 semaines, afin de recevoir la chimiothérapie nécessaire à sa survie et de donner à l’enfant les meilleures chances de survie. Elle a dit que sa pensée était “Je veux garder ce bébé en sécurité et l’amener du côté de la terre” », écrit Rose sur Twitter.
Le couple qui a acheté l’enfant à Brittney a déclaré qu’il « ne voulait pas payer Brittney pour un bébé né avant 38 semaines en raison des problèmes de santé potentiels d’un bébé prématuré », selon Rose.
Le couple a insisté pour que l’enfant soit « immédiatement éliminé ».
Selon son oncle, Brittney était « en plein désarroi ». Elle a proposé d’adopter l’enfant, mais le couple a refusé sa demande, réclamant plutôt un certificat de décès. L’oncle de Brittney a même déclaré : « Je prendrais le bébé si on me le permettait ».
Lire la suiteDes jumeaux de 25 semaines survivent à une naissance prématurée
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michaela/Adobe Stock
Au Royaume-Uni, des bébés jumeaux ont été qualifiés de « miracles » après avoir survécu à un accouchement extrêmement prématuré à seulement 25 semaines.
Toni Lacey, mère de quatre enfants, a déclaré au Mirror qu’elle avait été ravie d’apprendre qu’elle était enceinte de jumeaux après une fausse-couche en juillet dernier, mais qu’en janvier, une échographie de routine avait révélé qu’elle souffrait d’une déhiscence utérine, une complication rare et potentiellement mortelle qui se traduit par une déchirure de la paroi utérine. Elle a été hospitalisée et, trois semaines plus tard, ses fils Arley et Ayden Bowles sont nés.
« Les médecins ont été honnêtes avec nous et nous ont prévenus qu’ils pourraient ne pas survivre, que le parcours serait très long et difficile », a déclaré Mme Lacey.
Les deux garçons pesaient moins d’une miche de pain à la naissance, Arley ne pesant qu’un kilo et demi et Ayden un kilo 600g.
« Ils étaient absolument minuscules. Ma main couvrait tout leur corps lorsqu’ils étaient en couveuse, et l’une de leurs mains tenait à peine autour d’un seul doigt de leur père », raconte Lacey.
Lire la suiteUne adolescente donne naissance au plus petit bébé prématuré du Royaume-Uni
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alessandro Grandini/Adobe Stock
Une jeune maman de 17 ans vient de donner naissance à ce que l’on pense être le plus petit bébé prématuré du Royaume-Uni. La petite Hannah Stibbles est née à Glasgow, en Écosse, le 30 décembre 2021, alors que sa maman, Ellie Paton, n’était enceinte que de 25 semaines. D’après le Daily Mail, Hannah ne pesait que 311,8 g à la naissance.
Ellie a accouché d’Hannah par césarienne d’urgence, les médecins ayant découvert qu’elle souffrait de pré-éclampsie et que le bébé devait être mis au monde immédiatement. Elle et son conjoint, Brandon Stibbles, ont été prévenus que leur fille n’avait que 20 % de chances de survie. « On nous a clairement fait comprendre qu’il n’y avait aucun espoir pour elle », a déclaré Brandon. « Ils nous ont complètement préparés au pire, en nous disant qu’ils devraient la réanimer, puis ils ont dit qu’ils s’assureraient d’abord qu’Ellie aille bien. »
Malgré ces avertissements alarmants, Hannah est née en respirant toute seule. « Dès qu’elle est née, ils l’ont emmenée à l’USIN [Unité de soins intensifs néonataux] mais elle n’a pas eu besoin d’être réanimée, ce qui nous a tout de suite donné de l’espoir. Nous savions qu’elle lutterait [pour sa survie] », a déclaré Ellie au Daily Record. Hannah est toujours à l’USIN et se trouve actuellement dans une couveuse enveloppée dans du papier bulle pour l’aider à rester au chaud.
Bien qu’il existe de nombreux cas de bébés prématurés qui survivent même à 21 semaines, les médecins ont prévenu que les chances d’Hannah étaient minces en raison de sa taille particulièrement petite. Des médecins de haut niveau venaient dans l’unité de néonatalogie et disaient « les bébés de cette taille ne survivent pas », explique Brandon. « À 25 semaines de grossesse, les bébés devraient peser 500 grammes ou plus, Hannah ne pesait que 325 grammes ».
Depuis sa naissance, Hannah a pris au moins 25 grammes, et elle ne montre jusqu’à présent aucun signe de problème médical malgré sa prématurité. Le Daily Record rapporte que tous les scanneurs du cerveau et du cœur sont revenus clairs. « Nous sommes tellement fiers d’elle. Elle s’est battue pour sa vie et a prouvé que tout le monde avait tort. C’est une petite championne », a déclaré Ellie. Le couple a déclaré que [la naissance de] bébé Hannah est « la meilleure chose qui nous soit jamais arrivée ».
La taille extrêmement petite d’Hannah signifie qu’elle est considérée comme le plus petit bébé jamais né et ayant survécu au Royaume-Uni. Selon le Daily Mail, l’ancienne détentrice du record était Aaliyah Hart, qui pesait 340 grammes à sa naissance en 2003. Le plus petit bébé survivant au monde était un petit garçon né à Tokyo en 2019, pesant moins de 283 grammes.
Une mère qui a été poignardée alors qu’elle était enceinte ramène chez elle son fils né à 25 semaines
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Un petit garçon né à seulement 25 semaines de grossesse après que sa mère ait été poignardée est maintenant rentré de l’hôpital. Il a passé cinq mois dans l’unité de soins intensifs néonatals (USIN).
Selon ABC News, Théodore Jude est sorti de l’hôpital pour enfants d’Atlanta à Egleston le 8 octobre après avoir passé les cinq premiers mois de sa vie hors de l’utérus à l’hôpital. Les infirmières se sont alignées dans le couloir avec des hochets pour dire au revoir à leur petit patient, né par césarienne d’urgence après l’agression de sa mère.
Le 5 juin, Valérie Kasper, la mère de Théodore, se promenait près de sa voiture avec son fils Benjamin, âgé de trois ans, lorsqu’elle a été poignardée à plusieurs reprises par un sans-abri qui a ensuite admis avoir porté le coup de couteau, a indiqué l’Associated Press. La police a constaté que la « maladie mentale de l’homme a joué un rôle » dans l’attaque. Benjamin n’a pas été blessé, mais Kasper a été transportée dans un hôpital local où elle a dû subir une césarienne d’urgence pour la sauver, elle et son bébé.
« Le traumatisme de l’attaque a été assez intense et le moment de l’opération a été tout aussi effrayant », a déclaré Mme Kasper. « Quand je suis entrée dans la salle d’opération, je pleurais en disant : “Sauvez mon bébé et sauvez mon utérus”, parce que je pensais que si mon bébé ne s’en sortait pas, je voudrais en avoir un autre. »
Théodore, qui pesait deux livres, a été emmené à l’unité de soins intensifs néonatals pendant que les médecins réparaient le côlon et le foie de Kasper. Ce n’est que 24 heures plus tard qu’elle a enfin pu voir son nouveau-né. Mais elle souffrait encore beaucoup et n’a pas pu le tenir dans ses bras, ce qui, selon elle, « était très difficile ».
Lire la suiteUn enfant né 15 semaines trop tôt a lutté pour sa vie et s’épanouit aujourd’hui
Amell Lee-Lewis.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Amell Lee-Lewis a peut-être un handicap, mais cela ne le définit pas ─ ni ne le retient.
En novembre 2016, Amell est né avec 15 semaines d’avance et ne pesait que 2 livres et 2 onces (963,88 g). Selon la page de collecte de fonds de la famille, Amell a tout de suite été séparé de sa mère et a été envoyé dans un hôpital doté d’une unité de soins intensifs néonatals de niveau supérieur afin qu’il puisse recevoir les soins dont il avait besoin.
Cependant, les choses se sont rapidement gâtées, le transfert ayant entraîné une détérioration de son état de santé, notamment une grave hémorragie cérébrale et une accumulation de liquide dans le cerveau. Amell a été opéré un mois seulement après sa naissance et a dû subir d’autres interventions chirurgicales au cerveau au cours des six mois suivants, dont une due à une infection. Il a été sous oxygène pendant près d’un an et est resté à l’hôpital pendant 125 jours. Mais les combats se poursuivaient.
« Dès son plus jeune âge, les médecins nous ont dit qu’il était probable qu’il souffrirait d’infirmité motrice cérébrale, ce qui a été confirmé lorsqu’il a eu 18 mois », ont écrit ses parents sur la page de collecte de fonds. « On nous a dit qu’il souffrait d’hypertonie quadriplégique, ce qui signifie que ses mouvements et la coordination de tout son corps seraient probablement affectés en raison de la gravité des hémorragies cérébrales dont il a souffert. »
Lire la suiteUn bébé né à 25 semaines, à qui on ne donnait que 50 % de chances de survie, se porte bien
Henry Augustus Truhill.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Henry Augustus Truhill vint au monde à 25 semaines le 1er février 2021 après que sa mère fut amenée d’urgence pour subir une césarienne, car Nicole, la mère, et Henry étaient tous deux en danger.
Selon le Média local Tucson, Nicole avait été diagnostiquée d’un décollement placentaire ce qui est une complication dangereuse lorsque le placenta se détache de la paroi utérine. Dans une telle situation, les deux vies sont à risques, car le bébé est privé d’oxygène et la mère peut faire une hémorragie.
Sur la page GoFundMe de cette famille, on mentionne que Nicole avait déjà une pré-éclampsie, une complication qui inclut une très haute pression artérielle et c’est ce qui exige une césarienne d’urgence. C’est la raison pour laquelle Nicole fut transportée par hélicoptère au Centre Médical Tucson, tandis que son époux Kyle, s’y rendit en voiture, parcourant 78 miles de distance. Une fois arrivée alors que l’équipe médicale s’affairait à préparer la mère, les médecins disaient ne donner que 50 % de chance de survie au bébé. Dans la salle opératoire, il y avait une telle tension à la naissance du bébé, car tous attendaient fébrilement d’entendre son cri, ce qu’il finit par faire à leur grand soulagement.
L’équipe médicale fit une conférence de presse pour dire qu’Henry est maintenant stable après avoir reçu plusieurs transfusions sanguines afin d’augmenter sa capacité respiratoire et donc son taux d’oxygène, ce qui fait que le bébé pouvait désormais respirer par lui-même. Alors l’équipe de spécialiste espère bien pouvoir les laisser sortir en juin prochain. Même Kyle put dire : « je n’aie jamais vu de toute ma vie quelque chose d’aussi beau et d’aussi petit et fragile, au moment de la naissance je fus submergée par l’émotion, la gratitude, la sensation d’un miracle, un grand soulagement, mais aussi la peur bleue de le perdre. Alors cette semaine je peux dire que je n’aie jamais autant pleuré de ma vie, on veut juste que notre bébé vive ! »
Sur la page GoFundMe familiale, on apprend qu’Henry fut nommé ainsi en l’honneur de son arrière-arrière-grand-père et qu’il a gagné 7 oz depuis sa naissance, que la mère se porte bien.
Il faut dire que dans ces dernières années, le taux de survie des bébés prématurés s’est amélioré, au point qu’il y en a qui viennent au monde à 21 semaines et s’en sortent quand ils reçoivent des soins médicaux. Mais en dépit de ces nouvelles encourageantes, il reste encore bien des hôpitaux qui eux refusent de mettre au monde des bébés de moins de 24 semaines. À ceux concernés, vous pouvez vérifier sur la carte de Twenty-Two Matters s’il existe près de chez vous un hôpital qui accepte de soigner les prématurés de moins de 22 semaines.
Un bébé né à 25 semaines à qui on ne donnait que 10 % de chances de survie, plus petit que la main de son père
Kevin Cook mettant sa main à côté de son bébé Mirren.
Par la Society for the Protection of Unborn Children ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Après un combat de 16 semaines, un bébé, plus petit à sa naissance que la main de son père, à qui les médecins ne donnaient que 10 % de chance de survie, se porte bien et a quitté l’hôpital avec ses parents, Kevin et Katie Cook.
Le bébé prématuré, nommé Mirren, né à 25 semaines dans un hôpital en Écosse, ne pesait que 467 grammes.
Sa mère, Katie, souffrait de pré-éclampsie, un problème de grossesse potentiellement fatal, caractérisé par une pression artérielle élevée. Une césarienne d’urgence fut nécessaire parce qu’elle ne sentait plus le bébé bouger.
Après transfert de Mirren à l’unité des soins intensifs néonataux, ses parents durent attendre 10 jours avant de pouvoir la tenir dans leurs bras.
Katie décrit le moment où elle tint Mirren dans ses bras pour la première fois : « C’était un sentiment indescriptible, j’aurais pu me noyer dans les larmes de joie… j’ai attendu ce jour pendant longtemps. En un sens, c’était comme si elle ne m’avait pas réellement appartenue jusqu’à ce jour. »
Je me félicite d’avoir été me faire examiner, ça nous a réellement sauvées.
La césarienne fut effectuée juste à temps, soit le 10 mai dernier. Les médecins mentionnèrent à Kevin et à Katie que s’ils avaient attendu un autre 48 heures, Mirren n’eut peut-être pas survécu ; même à ce moment, on lui accordait seulement 10 % de chance de survie.
« Les prochains quatre mois ont été en dents de scie, se rappelle Katie, mais Mirren continuait à lutter.
Lire la suiteUn bébé prématuré né à 25 semaines rentre chez lui après 150 jours d'hospitalisation
Kaliie Bender.
Par Anne Maie Williams (LiveActionNews)
Née 15 semaines plus tôt en mai de cette année, la petite Kallie Bender de Phoenix, en Arizona, a reçu son congé de l'hôpital avec sa famille le lundi après 150 jours d'hospitalisation.
Pendant sa grossesse, la mère de Kallie, Ebonie, avait consulté un médecin pour cas à haut risque à cause d'hypertension artérielle, aussi appelée hypertension liée à la grossesse. L'hypertension artérielle chez une femme enceinte peut être dangereuse pour le bébé en raison de la diminution du flux sanguin dirigé vers le bébé via le placenta ; c'est également appelé insuffisance placentaire. Avec le temps, une diminution du débit sanguin du bébé peut empêcher celui-ci de grandir correctement (médicalement, c'est ce qu'on appelle une restriction de croissance intra-utérine) et entraîner des problèmes de développement pulmonaire et gastro-intestinal.
Quatre jours avant la naissance de Kallie, une échographie effectuée lors d'un rendez-vous d'urgence a montré qu'en raison d'un faible débit sanguin placentaire, également appelé débit diastolique terminal absent, Kallie n'avait presque aucun liquide amniotique autour d'elle. La mère d'Ebonie a été admise à l'hôpital et l'enfant est née par césarienne le 24 mai 2019, à 25 semaines de gestation. Elle pesait moins d'une livre et était plus petite qu'une poupée Barbie placée à côté d'elle dans son incubateur.
Au début, Kallie avait besoin d'une machine pour l'aider à respirer et d'une sonde pour la nourrir. Peu après sa naissance, elle a subi une opération visant à corriger une anomalie cardiaque courante chez les bébés très prématurés, appelée persistance du canal artériel. En fait, elle avait 37 jours quand sa mère et son père, Dameon, ont pu la tenir.
Becky Cole, l'une des infirmières de soins primaires de Kallie à l'unité de soins intensifs néonatals, se souvient de cette journée. Elle a dit : « Je n'ai pas pu être là quand Dameon l'a tenue pour la première fois, mais j'ai pu aider Ebonie à tenir Kallie pour la première fois. C'était vraiment un moment incroyable, et il a fallu quelques-uns d'entre nous. Ce n'était pas facile. »
Le Dr Vinit Manuel, directeur médical de l'unité de soins intensifs du Dignity Health St. Joseph’s Hospital and Medical Center où Kallie est née, a noté qu'« aucune technologie ne peut remplacer l'utérus » et que « la participation de la famille aux soins de ces enfants est cruciale ».
Pendant son séjour à l'hôpital, les parents et les frères de Kallie lui ont lu des histoires à voix haute, ce qui, selon les recherches, améliore les progrès généraux pour les tout petits bébés et diminue les complications de l'hospitalisation. Maintenant, Kallie pèse trois kilos et prospère. Elle est rentrée chez elle lundi avec de l'oxygène et une sonde d'alimentation, avec l'objectif de ne plus avoir besoin des deux à l'avenir.
Des histoires comme celle de Kallie deviennent de plus en plus courantes à mesure que la technologie médicale permet aux bébés de survivre à un âge gestationnel de plus en plus précoce en dehors du ventre de leur mère. Vingt-quatre semaines est largement considéré comme l'âge de la viabilité, l'âge auquel un bébé a une chance sur deux de survivre en dehors de l'utérus avec un soutien médical important, mais des histoires de survie comme Cullens, 22 semaines, Lylas, 21 semaines et Elioras, 21 semaines sont aussi là.
Mais, chose désolante, les bébés encore plus avancés que Kallie ne l'était à la naissance sont toujours visés par l'avortement. C'est la volonté, et non les possibilités de la technologie scientifique, qui détermine s'ils vivent ou meurent.