Une petite fille micro-prématurée, née à 23 semaines, fête son premier anniversaire
La petite Dali-Grey Woodgates.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une petite fille née à seulement 23 semaines de grossesse a récemment célébré une étape importante : son premier anniversaire.
Dali-Grey Woodgates, originaire de West Bridgford, au Royaume-Uni, ne pesait qu’une livre et demie à la naissance — une taille si petite que les médecins l’ont placée dans un sac à sandwich pour l’aider à rester au chaud, car sa peau translucide était trop fragile pour le tissu. Sa première couche avait à peu près la taille d’un paquet de ketchup.
Malgré son départ très précoce dans la vie, Dali s’épanouit aujourd’hui. « Elle a 13 mois, mais son âge corrigé est de neuf mois et elle n’a aucun problème de développement, elle est juste plus petite », explique Bryony, la mère de Dali. « C’est un petit ange. Elle dort comme un rêve, elle mange bien, c’est un bébé vraiment heureux, elle est tellement détendue. Elle ne grogne jamais vraiment et ne fait jamais d’histoires ».
Bryony a également noté que Dali fait tout ce que l’on attend des bébés de son âge. « Elle marche presque à quatre pattes. Elle fait tout ce qu’un bébé de neuf mois devrait faire. Elle est incroyable. En la regardant, on ne se doute pas qu’elle a vécu tout cela », a-t-elle déclaré.
Alors que Dali est une petite fille heureuse et en bonne santé, les médecins ont fait craindre le pire à Bryony et à son mari Mike, en leur disant que si le nouveau-né survivait à son arrivée précoce, il serait probablement gravement handicapé et nécessiterait des soins constants. En fait, lorsque Bryony a commencé à montrer des signes de travail précoce en janvier 2022, les médecins lui ont suggéré d’avorter. Bryony et Mike ont refusé et, quatre jours plus tard, leur fille est née.
Lire la suiteLe bébé prématuré d’une maman a survécu à 23 semaines. Aujourd’hui, elle défend ceux des autres
Par Victoria Clarizio (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : christianabella/Pixabay
C’était Thanksgiving 2019, et Crystal Odom préparait la voiture pour des vacances relaxantes avec sa famille. Mais ce jour-là, Odom, enceinte de son deuxième enfant, a commencé à éprouver ce qui ressemblait au début d’un travail prématuré à seulement 17 semaines de grossesse. Abandonnant leurs projets de Thanksgiving, elle et son mari Alex se sont précipités à l’hôpital de l’Université d’Alabama à Birmingham.
Odom avait en fait commencé le travail prématurément en raison d’une incompétence du col de l’utérus, une condition qui entraîne une ouverture prématurée du col. Le bébé n’étant pas assez développé pour survivre en dehors de l’utérus, l’équipe médicale a dû faire quelque chose pour empêcher Odom d’accoucher. Ils ont procédé à un cerclage du col de l’utérus, qui consiste à mettre un point de suture autour du col pour le maintenir fermé. Cela a permis de retarder la naissance du bébé jusqu’à la 23e semaine, moment où les chances de survie étaient les plus élevées. Odom a donné naissance à une petite fille, qu’elle a appelée Everleigh. Avec sa naissance prématurée, Everleigh avait 50 % de chances de survie, mais elle a reçu les meilleurs soins médicaux et elle a maintenant deux ans.
Everleigh a connu diverses conséquences de sa naissance prématurée. Elle a subi plusieurs opérations chirurgicales pour ses organes sous-développés et, plus récemment, on lui a diagnostiqué une paralysie cérébrale. Ses parents ont dû apprendre à se battre pour les soins de leur enfant, et ils remercient également le personnel hospitalier pour sa volonté d’aider Everleigh. « Je suis tellement reconnaissante d’avoir eu Everleigh ici [à l’UAB] et d’avoir maintenant la chance de la voir s’épanouir à la maison grâce à leur volonté d’aider les bébés à un si jeune âge gestationnel », a déclaré Mme Odom.
Malheureusement, toutes les personnes souffrant d’une incompétence du col de l’utérus ne bénéficient pas d’une telle attention. En fait, un autre bébé né à 22 semaines de grossesse en raison de ce problème n’a pas reçu de soins médicaux et n’a survécu que quelques heures. Mais, comme pour beaucoup d’autres bébés prématurés qui ont survécu à une naissance précoce, l’expérience d’Everleigh démontre qu’il est possible à des bébés aussi jeunes de survivre en dehors de l’utérus s’ils reçoivent les soins et l’attention appropriés.
Pendant cette épreuve, Odom a partagé les progrès d’Everleigh avec ses amis et sa famille via les médias sociaux. À sa grande surprise, cela lui a ouvert la porte pour aider d’autres parents dans des situations similaires, en particulier les parents d’enfants handicapés. Ses efforts de sensibilisation ont été remarqués et Mme Odom a été nommée par le gouverneur Kay Ivey au Governor’s Interagency Council du système d’intervention précoce de l’Alabama pour la période 2022-2023. Au sein de ce conseil, Mme Odom sera mieux à même de partager ses expériences, de fournir une aide aux parents et aux prestataires se trouvant dans des situations similaires et d’aider à déterminer où les fonds de l’État seront le mieux utilisés. « C’est une bénédiction qu’ils nous aient choisis », a-t-elle déclaré.
Mme Odom donne ce conseil aux parents qui pourraient se trouver dans une situation similaire : « Dès le début, il ne faut pas avoir peur de poser des questions, de s’impliquer avec l’équipe de soins et d’essayer de comprendre ce qui se passe pour pouvoir défendre les intérêts de son enfant. »
Un bébé atteint d’un grave spina bifida a été opéré dans l’utérus de sa mère
Helena et sa fille Mila.
Par Right to Life UK (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un bébé a subi une intervention chirurgicale « révolutionnaire » avant sa naissance, dans l’utérus, pour le soigner de son spina-bifida. À seulement 23 semaines de gestation, le bébé Mila — abréviation de Milagro, ou miracle, en espagnol — a subi une opération complexe réalisée par une équipe de 25 chirurgiens pour réparer sa moelle épinière exposée et refermer le trou dans son dos.
Sa mère, Helena, a appris que son enfant était atteinte de spina bifida lors de l’examen médical effectué à 20 semaines.
« Il y avait une très grosse lésion dans son dos et la moitié de sa colonne vertébrale était exposée. Ils ont dit qu’il était probable qu’elle soit paralysée, incontinente et ait besoin d’une dérivation pour drainer le liquide de son cerveau plus tard », dit-elle.
« J’étais hors de moi quand ils m’ont dit toutes les conséquences possibles de cette maladie et je n’ai pas pu m’arrêter de pleurer ».
« Ils m’ont dit que la probabilité qu’elle marche ou bouge ses jambes était très, très faible — c’était absolument dévastateur ».
Cependant, quelques jours après, Helena a appris qu’elle et sa fille pouvaient bénéficier d’une intervention chirurgicale pendant que sa fille était encore dans l’utérus. À 23 semaines, elle a été envoyée dans un hôpital spécialisé en Belgique, qui travaille en partenariat avec le NHS, où elle a été opérée.
« Je suis tellement reconnaissante »
Le spina bifida touche environ 1 500 bébés chaque année. Souvent, une partie de la moelle épinière est exposée et ne peut se développer correctement. Cela peut entraîner une paralysie, des problèmes d’intestin, de la vessie et des reins. Mais si les chirurgiens peuvent opérer entre la 22e et la 26e semaine de grossesse, au lieu de le faire après la naissance, cela signifie un bien meilleur résultat pour le bébé.
Lire la suiteUn bébé né prématurément à 23 semaines de grossesse et pesant 566 grammes rentre à la maison
Valentina Alvarado.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
S’il existe un « petit » miracle, c’est bien Valentina Alvarado.
Cette petite fille californienne est née prématurément en septembre dernier et ne pesait que 566 grammes, rapporte CBN News. Aujourd’hui, elle s’épanouit à la maison avec sa famille.
« Elle est vraiment un petit miracle », a déclaré sa mère, Gaby Alvarado, lors d’une récente conférence de presse. « Si elle a pu se battre aussi intensément pour sa vie et surmonter autant de choses alors qu’elle était si petite, il n’y a rien que le reste d’entre nous ne puisse faire ».
Selon KNTV News, Mme Alvarado a donné naissance à sa fille le 4 septembre au centre médical Kaiser Permanente San Leandro, en Californie. Elle n’était enceinte que de 23 semaines à l’époque.
Il n’y a pas si longtemps, les bébés nés avant 24 semaines n’étaient pas considérés comme viables, mais les progrès de la technologie médicale ont repoussé la viabilité à environ 22 semaines. Selon une étude publiée en janvier dans le Journal of the American Medical Association, 55 % des bébés prématurés nés à 23 semaines ont survécu en étant soignés, rapporte KNTV.
Valentina a passé des mois à l’hôpital à recevoir les soins d’une équipe dévouée de médecins et d’infirmières, et, en janvier, Gaby et son mari, Jesús, ont finalement été autorisés à amener leur fille à la maison, selon l’article. Gaby Alvarado a déclaré que sa fille pesait maintenant presque 5 kg et qu’elle se portait bien.
Il y a plusieurs décennies, la viabilité se situait à environ 28 semaines de grossesse, puis elle a reculé à 24. Aujourd’hui, ce point s’est déplacé encore plus tôt, et des bébés de 21 et 22 semaines survivent.
En novembre, les Records du monde Guinness ont reconnu un garçon de l’Alabama, né à 21 semaines de gestation, comme le plus jeune bébé prématuré à survivre. Curtis Means est né en juillet 2020, à 21 semaines et un jour, pesant 419 grammes. En 2017, la revue Pediatrics a mis en lumière l’histoire d’une petite fille qui a survécu après être née à 21 semaines et quatre jours de grossesse.
Malgré des preuves médicales de plus en plus nombreuses, certains hôpitaux refusent toujours, ou n’ont pas la capacité, de fournir un traitement salvateur aux bébés prématurés nés avant 24 semaines. Une étude publiée en 2015 dans le New England Journal of Medicine a révélé que, bien qu’un nombre croissant de prématurés survivent à 22 semaines de grossesse, certains hôpitaux leur refusent des soins médicaux vitaux en se fondant sur des hypothèses concernant la qualité de vie future de ces bébés.
Twenty Two Matters tient à jour une liste des hôpitaux dont il est confirmé qu’ils ont sauvé des bébés nés à 21 ou 22 semaines de grossesse.
Un bébé né à 23 semaines survit grâce à des médecins prêts à lui donner une chance
Bonnie Morgans.
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rachel Morgans
Un bébé né à seulement 23 semaines de grossesse a défié tous les pronostics et rentre maintenant chez lui avec sa famille après seulement quatre mois à l’hôpital. Et cette petite fille n’est en vie aujourd’hui que grâce aux médecins et aux sages-femmes qui ont bien voulu lui donner une chance de vivre. Quand la petite Bonnie Morgans est née, peu de gens pensaient qu’elle survivrait. Sa mère, Rachel, a expliqué à Cornwall Live qu’elle avait eu une grossesse difficile, ayant fait une fausse couche avec la jumelle de Bonnie à un stade antérieur. Lorsque Rachel a accouché prématurément avec Bonnie, il n’y avait pas beaucoup d’espoir que sa petite fille s’en sortirait.
« À l’hôpital de Leighton, la limite est de 24 semaines, donc Bonnie aurait été classée dans les fausses couches tardives, mais les médecins qui étaient ce jour-là et la sage-femme, dont Bonnie a hérité son deuxième prénom, ont décidé de donner à Bonnie une chance, si elle montrait un signe de vie, ils lui donneraient une chance », a-t-elle expliqué. « Bonnie est sortie et a pleuré. Parce qu’elle a pleuré, ils ont dit qu’elle s’était battue pour vivre, alors ils se sont battus pour elle et elle est là aujourd’hui. »
Bonnie ne pesait qu’une livre et sept onces, mais sa volonté de se battre est restée avec elle. Elle a finalement surmonté bon nombre des problèmes médicaux, notamment deux arrêts cardiaques, une hémorragie cérébrale et une opération oculaire. Le 20 janvier, elle a pu enfin rentrer chez elle avec sa famille. « Elle ressemble à un nouveau-né normal, même si elle a quatre mois », a déclaré sa mère. « Je n’aurais jamais pensé que nous arriverions à ce stade. » Bonnie n’est que l’un des nombreux bébés à naître qui survivent bien qu’ils soient nés prématurément à 21, 22 ou 23 semaines. Ces histoires de survie miraculeuse étaient autrefois de rares exceptions, mais maintenant, grâce aux progrès de la médecine, elles deviennent de plus en plus courantes. Partager des histoires comme celle de Bonnie est un rappel important que de nombreux enfants sont capables de déjouer les pronostics, si on leur donne seulement une chance de vivre.
Les médecins ont dit que son bébé naîtrait en « état de mort cérébrale », mais maintenant il fait ses premiers pas
Isaiah Martin.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
En Australie, un garçon d’un an a étonné les médecins dès sa naissance prématurée à 23 semaines. Alors qu’on ne s’attendait pas à ce qu’il survive, Isaiah fait maintenant ses premiers pas et donne de l’espoir à d’autres familles.
La mère d’Isaiah, Jillian Martin, a perdu les eaux alors qu’elle n’était enceinte que de 20 semaines. Les médecins l’ont emmenée dans le service des mort-nés, rapporte ABC, car ils ne s’attendaient pas à ce que son bébé survive. « Ils ont dit que mon fils allait être mort-né, parce que vous avez environ 98 % de chances d’entrer en travail après avoir perdu les eaux », a-t-elle déclaré.
Elle et son partenaire Dan Rhodes ont été « dévastés » par cette nouvelle, mais Mme Martin n’a pas commencé le travail comme les médecins l’avaient prévu. Elle a pu porter Isaiah trois semaines de plus, ce qui a donné à celui-ci le temps nécessaire pour se renforcer. « Il me restait encore un peu de liquide [amniotique], mais dans la limite inférieure de la normale », explique-t-elle. « Alors qu’ils procédaient à d’autres contrôles, les battements de cœur du bébé étaient bons ».
Mme Martin a été transportée par avion à l’hôpital universitaire de Townsville pour accoucher, mais une fois sur place, les médecins lui ont dit qu’ils pensaient que son petit garçon naîtrait en état de mort cérébrale. « C’était dur », dit-elle. « Vous avez eu tout cet espoir et vous êtes restés si positifs tout ce temps et puis en un instant, tout cela est mis par terre. »
Mais lorsqu’Isaiah est né à un peu plus de 23 semaines, il était bien vivant. Il ne pesait que 700 grammes et a été transporté à l’unité de soins intensifs néonatals, où il est resté pendant quatre mois. « Après la naissance, j’étais debout dans l’unité de soins intensifs néonatals et je n’en revenais pas qu’il soit si petit », a déclaré Jillian Martin. Il y a tellement de doutes qui vous traversent l’esprit : « Comment quelque chose d’aussi petit va-t-il pouvoir survivre ? »
Lire la suiteNé à 23 semaines, James est maintenant un enfant de 5 ans en pleine santé
James.
Par Nancy FLanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Michael et Rachel attendaient leur premier bébé en 2015 lorsque Rachel a perdu ses eaux à seulement 22 semaines. C’est à ce moment-là que le couple a appris pour la première fois qu’il attendait des jumeaux, mais les très prématurés nés à 22 semaines n’ont que 21 % de chances de survivre. Malheureusement, le bébé Ian n’a pas survécu, mais son frère jumeau James, né à 23 semaines, a maintenant cinq ans.
À 23 semaines et deux jours, James ne pesait qu’une livre et deux onces, et il avait tout un combat devant lui. Il a fallu six jours avant que sa mère ne le tienne dans ses bras pour la première fois. Et tandis que ses parents disent que les deux premières semaines après la naissance se sont déroulées sans heurts, après cela, James a commencé à faire face à de nombreux problèmes médicaux.
« James a tellement souffert. Il a reçu une intubation [trachéale (?)], puis il est passé au CPAP [ventilateur] et est revenu à l’intubation et toutes ces différentes choses. Et il a traversé tellement de choses », a déclaré Michael dans une vidéo YouTube.
À trois semaines, James a subi une chirurgie PDA pour fermer une ouverture dans le cœur entre l’aorte thoracique et l’artère pulmonaire. Il a bien traversé l’opération, mais à deux mois, ses poumons ne se portaient pas aussi bien qu’on avait espéré et il continuait d’avoir besoin d’une assistance respiratoire. Il est resté à l’hôpital à l’unité de soins intensifs néonataux jusqu’à l’âge de quatre mois environ. Après sa sortie de l’unité des soins intensifs néonataux, il est resté sous oxygène pendant des mois à la maison.
Lire la suiteLors d’une grossesse à haut risque, une mère refuse d’avorter son bébé qui nait à 23 semaines
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère italienne partage son histoire de foi et d’espoir face à une grossesse à haut risque où sa vie et celle de sa petite fille étaient en jeu. Bien que les médecins lui aient proposé un avortement, elle a refusé, et maintenant sa petite fille est à la maison avec sa famille après des mois à l’hôpital.
« On m’a proposé un avortement thérapeutique », a déclaré Jessica à Avvenire.it, « mais j’ai immédiatement refusé ». Elle a ajouté : « J’aurais accepté ma fille avec n’importe quel problème. »
À 23 semaines, Jessica a dû subir une césarienne d’urgence à cause d’un décollement placentaire. Nicol Vittoria est née le 8 mai, ne pesant qu’une livre et mesurant environ 11 pouces. Elle a dû être réanimée et a reçu une canule nasale pour lui permettre de respirer, mais elle a finalement dû être intubée et placée sur un respirateur pendant deux mois. Nicol avait également un problème cardiaque commun aux prématurés, une septicémie staphylococcique et une rétinopathie. Elle a surmonté tous les obstacles.
« J’ai reçu de la force par la prière », a dit Jessica, « ainsi que par les paroles toujours réconfortantes des médecins et des infirmières, en particulier les sourires rassurants du Dr Viviana Cardilli qui a soigné Nicol ».
Jessica ne pouvait passer que quatre heures par jour avec Nicol pour lui tenir la main et lui parler de ses frères et sœurs, de son père et de sa grand-mère qui l’attendaient à la maison. Les précautions [inutiles*] prises à cause de la COVID-19 ne leur ont pas permis de passer beaucoup de temps ensemble et ont empêché d’autres membres de la famille, comme ses frères et sœurs, de lui rendre visite. La prière a aidé Jessica à « oublier les mauvaises pensées de son esprit ». Au bout d’un mois, elle a enfin pu tenir Nicol dans ses bras.
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