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Lettre au ministre de l’Éducation Drainville par Solange Lefebvre-Pageau

Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : Syda Productions/Adobe Stock

Le 15 décembre 2022

Monsieur le Ministre Bernard Drainville
Ministère de l’Éducation (Québec)

Bonjour Monsieur Drainville !

À l’approche du congé des ministres du Québec, assurément bien mérité, consciente que les défis ne vous manquent pas et sachant que vous avez exprimé votre volonté de faire avancer les choses, je me permets de venir vers vous.

Pourquoi ? Pour vous inviter, d’abord, Monsieur Drainvillle, à lire le livret ci-joint, intitulé Le témoignage d’une militante, qui vous fera découvrir les grands défis qui continuent à être les miens depuis 1970 — comme infirmière spécialisée en Éducation — dans le domaine de l’éducation de nos enfants et de nos jeunes à l’amour et à la sexualité intégrés. Ce concept, je le reconnais, est hélas largement méconnu sinon profondément méprisé au sein de notre société laïque ayant opté pour un projet de société sans Dieu.

En tant que fondatrice et directrice du Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF), j’estime cette tendance inacceptable, voire criminelle, dans notre société qui se dit démocratique et ouverte à tous. Que les enjeux sont graves pour nos enfants, jeunes et moins jeunes, qui ont reçu, depuis des décennies, une pseudo éducation à la sexualité qui ne répond aucunement à leurs besoins. Ils ont le DROIT de recevoir une éducation de qualité dans ce domaine, pour s’humaniser en vérité.

Bien que je sache que le contenu du cours d’Éducation à la sexualité en milieu scolaire fera dorénavant partie du cours Citoyenneté, qui remplacera celui d’Éthique et culture religieuse, je prévois que cet aspect du cours ira à l’encontre du concept d’intégration à l’amour et à la sexualité appelé à être transmis personnellement à l’enfant dès sa petite enfance.

Monsieur Drainville, dans le cas où vous acceptiez de lire mon livret avec un préjugé favorable, je ne serais pas surprise que vous vouliez aussi prendre un peu de temps pour découvrir notre site Web www.ciref.ca. Je vous invite surtout à prendre connaissance de la rubrique Formation, ce qui vous amènera à découvrir notre Campus virtuel qui offre un important enseignement à distance des deux premières formations annoncées. La troisième formation, L’intégration de l’amour et de la sexualité chez les jeunes adultes, sera prête sous peu. Vous en trouverez, ci-joint, le Module 13 que je viens de terminer. C’est un échantillon de notre enseignement à distance.

Les deux premières formations L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’enfant de 0 à 12 ans et L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’adolescent(e), comme vous le constaterez, sont destinées particulièrement aux parents, qui, à notre avis, ont la responsabilité de transmettre, dans le climat intime de leur foyer et au moment opportun, les éléments essentiels d’humanité. Cela serait fort possible grâce à l’enseignement à distance de notre CIREF, soutenu par des agents formateurs des parents préparés par nous.

Pour parvenir à atteindre cet objectif, il faudrait que les responsables des Comités de parents soient encouragés par vous, Monsieur Drainville à découvrir et partager cette information. Pas vrai ?

Je souhaite tellement que l’ensemble du monde de l’Éducation et de la Santé œuvrant en milieu scolaire découvrent, par notre enseignement à distance, une solide éducation du concept d’intégration de l’amour et de la sexualité, de la naissance à la maturité, afin qu’advienne bientôt chez nous une véritable culture de l’amour et de la sexualité intégrés.

Pour terminer, je vous dis, monsieur Drainville, que je serais ravie de vous rencontrer en personne pour vous démontrer combien le milieu de l’Éducation a besoin de notre CIREF, pour renouveler les fondements éthiques de notre société québécoise.

Un grand merci, monsieur Drainville, de bien accueillir mon appel à l’aide.

Solange Lefebvre-Pageau
Fondatrice et directrice du CIREF
Infirmière retraitée
M. Sc., option enseignement
Certificat en théologie
Maman et grand-maman

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Reconstruire l’espoir de notre peuple

Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : Nikita Vasilchenko/Adobe Stock

À l’heure où l’on découvre de plus en plus d’indices d’un plan politique mondial déterminé à imposer à l’ensemble de l’humanité un monde sans Dieu, assujetti à un régime totalitaire ayant pour objectif de reconstruire l’être humain (transhumanisme), grande fut ma joie, le 10 septembre 2022, de fêter la victoire de Monsieur Pierre Poilièvre.

Bravo à notre nouveau chef de l’opposition conservatrice, homme de principe et combattant, comme l’a si bien souligné sa remarquable épouse. Anaida ! Qu’il me fut bon d’entendre ces paroles du nouvel élu : « Liberté ! Liberté ! Liberté ! »

Puisse Monsieur Poilièvre réaliser son profond souhait de faire du Canada le pays le plus libre au monde. Cela donnera, j’ose l’espérer, le véritable sens de la liberté humaine : liberté qui redonnera à tous et à toutes y compris les citoyens de foi chrétienne de chacune des provinces du Canada, la liberté d’expression, le droit de choisir. Cette liberté depuis si longtemps bat de l’aile dans notre Québec.

Quant à moi, infirmière à la retraite et directrice du Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF), j’ose ardemment souhaiter qu’avec l’appui de Monsieur Poilièvre, soient remis en question le rejet systématique de tout projet éducatif destiné à nos enfants et nos jeunes qui fait référence à l’Auteur de la création.

Il faudra aussi examiner avec sérieux l’enseignement actuel de la sexualité en milieu scolaire, enligné avec des valeurs laïques et athées prônées mondialement, ayant ouvertement pour but de nier le plan du Créateur sur la sexualité et l’amour et de brimer la véritable mission éducative des parents.

J’ai confiance qu’un chef comme Monsieur Pierre Poilièvre saura comprendre l’importance de l’éducation comme fondement de la société libre qu’il se soucie de reconstruire pour le peuple canadien.

Solange Lefebvre-Pageau

Montréal

Le 12 septembre 2022

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Pendant que le gouvernement canadien dépense pour l’avortement, que fait-il pour la famille ?

Par Solange Lefebvre-Pageau (CIREF)

Le 12 mai 2022

Le Gouvernement fédéral du Canada pensera-t-il aussi
à subventionner les défenseurs de la culture
de l’amour et de la sexualité intégrés ?

Les médias proclament que le 11 mai 2022 fut un grand jour pour les défenseur(e)s du « droit » à l’avortement au Canada et peut-être aussi pour les nombreux militants pro-choix qui n’hésitent pas devant le choix de détruire un minuscule être humain, dont la vie débute à peine 35 heures après une rencontre sexuelle fertile.

Voici la raison pourquoi : M. Jean-Yves Duclos, ministre fédéral de la Santé et Mme Marci Ien, ministre fédérale des Femmes et de l’égalité des genres et de la jeunesse, nous ont révélé cette « importante » nouvelle : « Pour améliorer l’accès à l’avortement partout au Canada, notre gouvernement fédéral consacrera 45 millions pendant trois ans, dont 14 millions en cette année 2022. »

À quoi cette somme extravagante servira-t-elle ? Elle est destinée à :

  • faire avancer les droits sexuels et à faciliter l’accès à l’avortement, partout au Canada ;
  • favoriser des accès sécuritaires à la santé reproductrice (droit à la contraception, à l’avortement et à la stérilisation des femmes et des hommes) ;
  • défendre la liberté individuelle de toute femme de recourir sans intimidation à l’avortement ;
  • augmenter le nombre des services de référence et d’aide aux femmes avortées ;
  • dispenser un important enseignement relatif à l’avortement aux agents de santé : médecins de famille, obstétriciens, gynécologues, infirmières, sages femmes et travailleuses sociales afin qu’ils deviennent en aide efficacement aux personnes réclamant le droit de à l’avortement.

Cette « victoire fondamentale et historique » est le résultat d’un vote symbolique, car le droit à l’avortement fait déjà partie des lois du Canada*. Je trouve humiliant comme Canadienne que le brouhaha chez nos voisins du sud ait provoqué chez Monsieur Trudeau le besoin de souligner ainsi une loi qui n’a pas été appuyée par la population, mais par des élus qui obéissent à leurs chefs plutôt qu’à leur conscience ou au désir des citoyens qu’ils n’ont pas consultés.

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Il n’est pas bon de parler de la sexualité aux enfants de moins de douze ans à l’école (après est une autre question)

Par Solange Lefebvre-Pageau (CIREF) — Photo : Shutterstock

Première partie

Ces jours-ci, j’ai relu un article retenu dans l’un de mes fichiers, provenant du Journal Le Devoir, en date du 31 août et 1er septembre 2019 : La sexualité, une « vraie » matière — Le ministre Jean-François Roberge songe à l’intégrer au cours d’ÉCR. Je ne suis pas sans ignorer qu’au ministère de l’Éducation, la décision est maintenant prise d’intégrer l’éducation à la sexualité, tant au niveau primaire que secondaire, dans le cours prochain à venir : Citoyenneté.

Une bonne nouvelle ?

Ce n’est pas vraiment mon avis à moi, jadis infirmière de profession qui, en 1997, ai fondé le Centre international de recherche et d’éducation familiale (le CIREF), afin d’offrir un service spécialisé aux parents dans le domaine de l’éducation de leurs enfants, ados et jeunes adultes à l’amour et à la sexualité intégrés.

Pour se construire harmonieusement

Au cours de leur première enfance, à l’école de la famille, les enfants ont à recevoir les plus importantes « leçons » d’éducation à l’amour et à la sexualité de toute leur vie. Cela se fait par le bon exemple de leurs parents et par une réponse adéquate à leurs questions intimes. Or, pour que les parents leur offrent ce précieux héritage, il est essentiel qu’ils aient acquis eux-mêmes une connaissance mûre des concepts amour, sexualité, intégration.

Au cours de leur seconde enfance — période de latence, dite aussi période d’intériorité —, tant en leur foyer qu’à leur école, les enfants de 6 à 11-12 ans ont le besoin et le droit de vivre un repos sexuel bien mérité, après avoir assimilé cette grande réalité : « Je suis un garçon. » « Je suis une fille. » À ce stade, les parents, les éducateurs, etc., ont à bien saisir la signification de silence sexuel nécessaire aux 6 à 12 ans, pour le respecter et le favoriser. Il s’agit d’un élément essentiel de l’éducation à l’intégration de l’amour et de la sexualité. Le mot d’ordre devrait être :

« Chut ! Ils dorment ! »
« Ne les réveillons pas ! »

Cette période de silence sur la sexualité permettra aux enfants d’entrer sereinement dans la période de la puberté et de réclamer, partout, une éducation respectueuse de leur démarche d’intégration affective et sexuelle.

Cet élément-clé de la période de latence de l’enfance, est amplement élaboré dans la première formation L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’enfant, présentée par notre CIREF. Cette formation (comme le seront les trois suivantes) est offerte gratuitement, sur le Campus virtuel de notre site Web www.ciref.ca. S’il est vrai qu’elle est dédiée aux parents un jour, parents toujours, tous pourront en profiter, en sachant que l’éducation est l’affaire de tous.

Un peu d’esprit critique !

À l’heure où l’on tend à inviter nos enfants à développer un esprit critique, ne revient-il pas à nous, adultes, de développer aussi un esprit critique face au programme d’éducation à la sexualité en milieu scolaire, pour le bien de nos enfants ? Se pourrait-il que cette question reliée à l’éducation de nos enfants soit l’une des plus essentielles à défendre pour que se développe un projet de société, pour un monde plus beau, meilleur et en santé ?

Quant à moi, œuvrant au service de la famille depuis plus de deux décennies, je le crois fermement.

Solange Lefebvre-Pageau, inf. M. Sc.
Fondatrice et directrice
Centre international de recherche et d’éducation familiale
209-3500, avenue Benny, Montréal, QC H4B 2R8
514-342-0695 [email protected] [email protected]

Le 31 décembre 2021


*Je doute que l’école soit le bon endroit. — A.H.

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Quand donc les médias nous proposeront-ils autre chose que des vaccins liés à l'avortement ?

Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : chompoo/Adobe Stock

Dans un avenir prochain, aurons-nous la possibilité d’apprendre que Radio-Canada présentera une seconde émission spéciale reliée à la COVID-19, en recevant des experts scientifiques en virologie et en maladies infectieuses non axés sur la vaccination anti-COVID expérimentale comme moyen de gestion du Covid-19 ?

Voilà la question-clé qui est venue en mon esprit et en mon cœur au terme de l’émission spéciale de Radio-Canada du 9 janvier 2022, animée par Madame Anne-Marie Dussault et par Monsieur Charles Tisseyre.

Pourquoi un tel souhait ?

C’est simple, c’est parce que je ne suis pas sans ignorer l’existence de deux discours diamétralement opposés relatifs à la prévention de la COVID-19 et de ses variants :

  • l’un, cherchant — par tous les moyens possibles — à rendre le vaccin actuel anti-COVID obligatoire pour tous ;
  • l’autre, nous invitant à renoncer au vaccin anti-COVID à leurs yeux inacceptable, car « expérimental ».

D’ici peu, combien je serais ravie que l’ensemble de nos concitoyens aient la possibilité d’entendre un deuxième son de cloche provenant, cette fois, d’experts scientifiques indépendants des grandes Compagnies pharmaceutiques (Big Pharma) et des lobbies financiers ! Il serait utile d’entendre un discours fort différent de celui omniprésent, au sein de l’ensemble des médias de presse du Québec et du Canada. C’est important, particulièrement à cette heure où la rectitude politique actuelle nous interdit de débattre de cette question, bien que les statistiques de sources sûres nous fassent découvrir de graves enjeux reliés aux vaccins. Cela nous donnerait un éclairage nouveau et, sait-on jamais, nous pousserait à réaliser un profond questionnement sociétal, au nom des droits humains et spirituels.

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Pourquoi la belle mission du CIREF ?

Par Solange Lefebvre-Pageau (CIREF) — Photo : liderina/Adobe Stock

Le Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF) promeut une nouvelle culture : la culture de l’amour et de la sexualité intégrés. Un défi de taille, en notre époque, où l’on observe tant d’inconduites sexuelles, de familles dysfonctionnelles, d’enfants négligés et abusés, etc. Dramatiques problèmes, croyons-nous, ayant pour cause ultime, la non-formation de nos enfants, au processus d’intégration affective et sexuelle, tout au long de leur croissance. Eux, pourtant, qui ont le besoin et le droit d’apprendre de leurs parents un jour, parents toujours — soutenus par un sain climat social — à tendre à assumer en vérité leur tâche humaine et spirituelle de devenir affectivement et sexuellement équilibrés, harmonieux.

Pour pallier la grave carence éducative de nos enfants, ados et jeunes, facteur de leur non-préparation à la réussite d’un projet couple-famille, en plus de disposer du site Web www.ciref.ca (déjà riche en matière de réflexion continue par ses nombreuses chroniques), notre CIREF destine à tous, mais avant tout aux parents, un jour, parents toujours une belle pédagogie. Bref, quatre formations en ligne gratuites, en français et en anglais, reliées au processus d’intégration de l’amour et de la sexualité, de la naissance à la maturité. Cela, sans oublier les grands blessés de l’amour.

Il s’agit d’un concept fondamental d’éducation familiale qui est relativement simple à saisir par tous, mais qui ne s’improvise pas. Certains parents apprécieront l’appui d’agents éducateurs des parents adéquatement formés par notre CIREF. Ce qui pourrait être également vrai pour des alliés aux parents.

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Lettre ouverte aux cœurs ouverts : Pour qu’advienne un monde meilleur et en santé !

Par Solange Lefebvre-Pageau, inf. M. Sc. (CIREF) — Photo : Africa Studio/Adbe Stock

Bonjour à toutes et à tous !

Malgré la pandémie de la COVID 19 qui continue de nous assaillir et le congé de Noël et du Jour de l’An qui s’en vient à grands pas, en tant qu’infirmière de profession, puis directrice du Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF) qui cherche à appuyer les parents dans l’éducation de leurs enfants, je crois que c’est mon devoir de venir vers vous, qui faites partie du monde des parents, du monde religieux, de la santé, du bien-être, de l’éducation, des élus, des médias, etc. En voici quatre raisons :

Dans un premier temps : Pour inviter toute personne n’ayant pas pris connaissance des deux chroniques et des deux lettres ouvertes ci-jointes, à les découvrir dans la rubrique Actualités/Nouveauté de notre site Web : www.ciref.ca

  • Lettre ouverte adressée à M. Lionel Calmant — Pour les familles biologiques, que ferez-vous ? (16 juin 2021)
  • Un Québec plus fier pourrait-il ignorer le statut, la mission et la responsabilité de la famille ? (20 octobre 2021)
  • Nouveau déni de la mission des parents au sein de notre Canada (16 novembre 2021)
  • Lettre ouverte aux jeunes du monde — Et si la défense d’une deuxième Cause vous revenait aussi ? (22 novembre 2021)

Dans un deuxième temps : Pour suggérer à chacune et chacun de visionner et d’intérioriser deux de nos diaporamas, insérés dans la rubrique À propos de notre site

  • La perte de l’identité chrétienne dans les écoles du Québec, une descente vertigineuse
  • Pourquoi un projet alternatif du CIREF au cours d’éducation sexuelle dans les écoles du Québec, projet destiné, avant tout, aux parents ?
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Nouveau déni de la mission des parents au sein de notre Canada

Solange Lefebvre-Pageau, inf. M. Sc. — 16 novembre 2021 — Photo : luckybusiness/Adobe Stock

Viendra-t-il enfin, bientôt, le jour où nos élus du Canada et leurs acolytes comprendront que devenir parents ne se limite pas à mettre des enfants au monde et, peu après, à les confier à un Centre de la petite enfance ?

Voilà le questionnement qui m’a monté au cœur et à l’esprit en lisant sur Internet, le 15 novembre 2021, le contenu du discours de M. Justin Trudeau, paru sous le titre : Services de gardes d’enfants à 10 $ par jour pour les familles de l’Alberta.

L’exposé de M. Trudeau, exprimé en terre albertaine, mais qui prônait pour l’ensemble de la population canadienne la nécessité pour les parents d’abandonner le soin et l’éducation de leurs enfants à des personnes de l’extérieur dès leur première enfance (0 à 6 ans), m’a profondément indignée. Qu’il me suffise de résumer brièvement, ce que je retiens de ce discours :

Parents, sachez-le bien : assurer le meilleur départ dans la vie de vos enfants vous commande de le confier à un service de garde éducatif. Cela vous permettra — hommes et femmes en grand nombre — de réintégrer le monde du travail salarié. En fin de compte, cela aura pour effet d’aider à la croissance économique du Canada.

Des paroles agréables à entendre ? Pas pour moi, fondatrice du Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF), et sa directrice depuis plus de deux décennies. Elles m’invitent plutôt à exprimer haut et fort : Quel grave déni de la famille traditionnelle ! Et quels graves enjeux pour la santé mentale de nos enfants et de nos jeunes !

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Un Québec plus fier pourrait-il ignorer le statut, la mission et la responsabilité de la famille?

Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : teksomolyka/Adobe Stock

L’avenir du modèle québécois présenté par notre premier ministre du Québec, Monsieur François Legault, lors de son discours inaugural à l’Assemblée nationale, le 19 octobre 2021, m’amène à regretter, entre autres, qu’il en soit arrivé, au cours des trois dernières années, à adopter une attitude de mépris de la famille, de son statut, sa mission et sa responsabilité.

En votant pour lui en 2018, j’ai cru, avec bien d’autres, que Monsieur Legault serait un grand défenseur de la famille, un protecteur de la plus noble et importante des institutions humaines. Hélas, ce n’est pas ce que je perçois depuis un bon moment et, encore plus, aujourd’hui... Il ne cesse d’inciter les jeunes mères à confier leurs enfants à quelqu’un d’autre qu’elles-mêmes, en leur offrant un service de garde à bas prix. L’objectif voilé, mais manifeste est d’aider à relever le défi de la carence de main d’œuvre et, par ricochet, de faire progresser l’économie québécoise. Il affirme que c’est ce que désirent les femmes d’aujourd’hui et il veut leur laisser croire que, comme les hommes, les femmes ont ce devoir et cette mission sociale. On reconnaît l’idéologie des pays soviétiques d’antan.

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Enfin, une formation en ligne gratuite destinée aux parents des ados !

Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : Alex from the Rock/AdobeStock

Depuis le 25 septembre 2021, c’est avec joie et fierté que le Comité exécutif du Centre international de recherche et d’éducation familiale (CIREF) peut dire :

Voici enfin disponible la formation à distance, L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’adolescent(e), destinée à tous, mais avant tout aux parents. Rendez-vous sur notre site Web : www.ciref.ca! 28 septembre 2021

En effet, cette formation via internet a pour objectif d’aider les parents à accompagner leurs ados de 12 à 18 ans dans la poursuite de leur démarche progressive d’intégration de l’amour et de la sexualité, dans un contexte du développement intégral de l’être humain. Ils seront habilités à aider leurs ados, en période de puberté, à découvrir, à intérioriser, à accepter et à intégrer leurs forces naissantes reliées à l’amour et à la sexualité.

Il nous faut ajouter un élément important. Pour que, d’une part, les parents assument un accompagnement adéquat de leurs ados en période de puberté et que, d’autre part, ces derniers intègrent peu à peu leur nouvel être sexué, il leur faudrait aussi l’appui d’un sain environnement social. C’est pourquoi notre enseignement s’adresse également aux loyaux collaborateurs des parents, voire à la société entière.

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