Chers amis de la Vie,
Republié par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
1er avril 2025 (LifeCareNetwork.ca) — Vous êtes probablement au courant de la nécessité d’une procuration relative aux soins de santé pour habiliter un membre de la famille ou un ami de confiance à prendre des décisions concernant les soins de santé d’une personne si celle-ci devient mentalement incapable de prendre ces décisions elle-même.
Bien entendu, les procurations sont devenues d’autant plus importantes depuis la perte choquante de nos droits inaliénables à la liberté médicale et à l’autonomie corporelle lors de la récente « pandémie » de COVID.
Mais saviez-vous que dans de nombreuses juridictions, les médecins et les fournisseurs de soins de santé ont l’autorité légale de révoquer la procuration relative aux soins personnels ? Anna, l’une de nos soignantes de confiance du réseau Life Care, a mentionné cette réalité choquante l’autre jour.
Bien que la noble intention de la loi de soutien soit de protéger les personnes contre les abus ou les négligences médicales potentielles, elle a aussi malheureusement ouvert la porte à une possible violation des droits individuels par notre système de santé publique pour le soi-disant « bien commun ».
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Les droits spécifiques peuvent varier d’une province à l’autre (ou d’un territoire à l’autre), mais en Ontario, par exemple, l’Office of the Public Guardian and Trustee (OPGT) a explicitement décrit ce droit gouvernemental orwellien à la page 24 de son guide Powers of Attorney Questions and Answers (questions et réponses sur les procurations). On peut y lire ce qui suit (c’est nous qui soulignons) :
Vos prestataires de soins de santé ou les autorités responsables des soins de longue durée peuvent s’adresser à un tribunal appelé Commission du consentement et de la capacité s’ils estiment que les décisions relatives à votre santé ou aux soins de longue durée ne sont pas prises correctement par votre représentant légal. La Commission examinera la situation et pourra ordonner à votre représentant de prendre la décision appropriée. En outre, le tribunal a le pouvoir de révoquer votre représentant et de nommer un tuteur à sa place. Si le BTCP est informé que vous êtes incapable et que vous subissez un préjudice grave en raison des décisions de votre représentant, il mènera des enquêtes et pourra demander à un juge de révoquer votre représentant si c’est le seul moyen de vous protéger.
Telle est la réalité au vu et au su de tous (pour ceux qui ont la chance de la trouver sur un obscur site gouvernemental, car elle n’est jamais rapportée par les médias grand public financés par le gouvernement libéral, bien entendu).
Que pouvons-nous donc faire ? Tout simplement, il est primordial d’être attentif et vigilant lorsque l’on s’occupe de nos chères personnes âgées et de nos autres sœurs et frères vulnérables. Mais en même temps, il est important que nous adoptions la bonne approche et que nous soyons prudents, conformément au sage conseil de notre cher Seigneur : « Voici que je vous envoie comme des brebis au milieu des loups ; soyez donc prudents comme les serpents et innocents comme les colombes ». Matthieu 10,16. Nous vous invitons à y réfléchir dans la prière, dans le contexte de notre discussion ici.
D’autres excellentes ressources fiables sur ce sujet sont également disponibles ici [Il est à vérifier si les documents ci-dessous sont valides au Québec.]* :
Procuration relative à la protection de la vie pour les soins personnels (Euthanasia Prevention Coalition)
Trousse de défense contre l’euthanasie (Delta Hospice Society)
Nous espérons que les informations ci-dessus vous seront utiles et qu’elles vous donneront les moyens d’agir, à vous et à vos proches.
*Commentaire d'A.H.
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