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Savez-vous quand les ondes cérébrales d’un enfant à naître peuvent être détectées ? La réponse pourrait vous surprendre

Par Maria Gallagher (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Quand j'étudiai en journalisme, on m’a appris à ne jamais supposer. Pourtant, comme journaliste-radio, lorsque je parlais de la question de l’avortement, je supposais que mes auditeurs connaissaient les bases de l’avortement.

L’ironie, c’est que je n’avais pas moi-même de connaissances fondamentales sur l'avortement — autrement dit, ce qu’il faisait à un enfant à naître et les effets qu'il pouvait avoir sur une mère en matière de séquelles émotionnelles et psychologiques.

Je veux dire par là que, pendant longtemps, je ne savais pas que l’avortement arrête un cœur battant. Je ne savais pas que seulement 24 jours après la conception, le cœur du bébé bat.

Je me demande maintenant combien de journalistes dans les salles de rédaction de toute l’Amérique connaissent ce fait important au sujet du développement d’un enfant à naître.

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Je ne savais pas non plus qu’à peine 30 jours après la conception, un enfant a une circulation sanguine normale dans son système vasculaire. Je ne savais pas qu’à 42 jours après la conception, le squelette du bébé est complet. Et je n’avais aucune idée que, 43 jours après la conception, les ondes cérébrales d’un petit garçon ou d’une petite fille peuvent être détectées.

Les nouvelles ne contiennent pas l’étonnant — je dirais miraculeux — parcours du développement fœtal. Je suppose qu’il y a plusieurs raisons à cela : ce n’est pas considéré comme une nouvelle, cela pourrait être interprété comme favorisant le côté pro-vie, ou cela représente trop de biologie pour un article de presse.

Mais le fait est que le développement d’un enfant à naître est une excellente nouvelle pour beaucoup, beaucoup de gens. Si simplement expliquer les faits donne à un article un penchant pro-vie, alors le côté pro-avortement manque de crédibilité. De plus, les journalistes intègrent régulièrement des détails sanglants à leurs reportages, de sorte qu’un peu de biologie ne ferait pas de mal. La vérité est que, sur la seule base de la science, l’argument pro-vie peut et devrait prévaloir. Nous avons les faits de notre côté, et c’est à nous de faire connaître à tout le monde, y compris les médias, cette information d’une importance vitale.

Nous devons aux enfants à naître et à leurs mères de ne pas faire moins.



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