Cet article nous a été envoyé par un militant pro-vie
Sur le sujet qu’on pourrait effectivement aussi appeler : Justin Trudeau veut faire mourir les organismes pro-vie. C’est sur les nouvelles exigences pour les employeurs qui appliquent pour le programme Emploi d'été Canada (EÉC) qu’ils doivent accepter que la pratique de l’avortement est maintenant un droit et donc que les enfants à naître n’en sont pas vraiment et qu’aucune protection de leur vie n’est à envisager.
Mon rendez-vous était de 12H50 à 13H10 avec L’hon. Denis Paradis, député de Brome-Missisquoi (Parti libéral du Canada), il y avait une secrétaire qui participait aussi à la rencontre. En gros, je suis satisfait d’y avoir été, le député Denis Paradis m’a assuré qu’il transmettra mon (le) message à qui de droit (sans me dire à qui précisément). Je lui ai dit : « Je suis inquiet que dans le programme EÉC, de ces nouvelles exigences pour les employeurs ». J’ai parlé seulement de celle par rapport à l’idée que l’employeur, celui qui remplit la demande, doit accepter que l’avortement est une pratique à accepter pleinement (et qui est dit dans d’autres termes dans la demande EÉC). Pas eu le temps de dire : Ce sont des termes qui dissimulent ce qu’ils veulent apporter.
Il m’a répondu que dans notre comté, pour lui c’est un autre point qui le chicote et c’est dans un tout autre ordre d’idées. C’est sur la répartition des subventions aux OBNL (Organismes à but non lucratif) versus celles qui sont accordées aux organismes privés, au niveau du % de la portion subventionnée pour chacun. Il m’a dit que pour lui, c’est ça qui le chicote et que les modifications qui ont eu lieu (avortement, LGBTQ), ce n’était pas nécessaire de l’avoir, mais plutôt au niveau de la répartition du barème des subventions (ONBL) versus pour une entreprise privée qui participe à EÉC. Il dit que lui, il est un pragmatique et que c’est plutôt cette modification-là qu’il aurait voulu voir arriver. C’est positif pour nous, à moins qu’il disait ça pour me faire plaisir. Comme je disais, il m’a assuré qu’il transmettra mon (le) message à qui de droit (sans me dire à qui précisément). Et il m’a dit aussi que la liberté de religion — j’ai ajouté : « liberté de conscience » — est importante à sauvegarder pour tous comme aussi pour les appliquants à ce programme (EÉC).
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Il m’a dit aussi que (j’ai été surpris un peu) : « Il est bien probable que ces nouveaux critères à respecter pour les employeurs seraient dus à l’idée que le Gouvernement canadien les a nouvellement placés dans la demande pour éviter que des groupes islamistes utilisent ces fonds pour transmettre leurs mauvaises idées (sous-entendu ce qu’on sait ce que font les groupes tels ISIS et autres) » ! Je lui ai dit qu’on a qu’à vérifier à EÉC que les groupes islamistes ne soient pas subventionnés, mais il m’a dit que « c’était difficile à cause qu’il faudrait qu’ils refusent les musulmans tout en acceptant les gens des autres religions (chrétiens, juifs, etc.) ». Je lui ai dit qu’ils pourraient distinguer les islamistes qui sont radicaux (et causent des meurtres) versus les autres.
En dernier, je lui ai dit : « Le gouvernement fédéral actuel a beaucoup voulu et exécuté des politiques proavortement (contrairement à l’ancien gouvernement), alors maintenant, pour ce qui est du sujet qui m’a amené vous voir, on ne devrait vraiment pas être obligés de restreindre ou perdre notre liberté de conscience personnelle intime (il a même ajouté : “et de religion”) en ce qui a trait à des programmes d’aide financière (et services gouvernementaux) ».
Donc je considère que c’était une très bonne chose d’aller le voir, car :
1) Il va transmettre mon message (je présume soit au ministre qui est responsable et/ou au premier ministre
2) Il est d’accord pour dire que la liberté de religion — de conscience — est importante aussi pour ceux qui reçoivent des fonds pour création d’emplois d’été. Il a fait un lien entre liberté de religion, le mot « liberté » et un gouvernement libéral (Libéral). J’ai ajouté aussi : Liberté de conscience. J’ai donc approuvé (évidemment) l’importance de la liberté de conscience et de religion.
3) Il a eu de la réceptivité.
4) Il était d’accord que (comme je lui ai fait remarquer) vu que ce changement dans les critères de EÉC a été fait vers le 18-19 décembre, les gens pensent aux Fêtes et passent par dessus cette nouvelle.
Je lui ai demandé si d’autres électeurs lui avaient téléphoné à ce sujet et il m’a dit que je suis le seul. Je soutiens que si plus l’appellent, il pourrait y avoir du bon qui se produise.
Recommandations :
Et que malgré ce qui arrivera, l’important c’est que nous, ceux qui sont pro-vie, principalement en tant que chrétiens, c’est que l’on témoigne de notre présence en prenant position. Le faire avec bienveillance, l’amour de Jésus, Sa sagesse. C’est de présences chrétiennes chaleureuses et qui témoigne en même temps de son amour, car on est porteur de l’évangile, le Saint-Esprit est en nous, que les incroyants ont besoin de rencontrer. Le souvenir qu’on doit leur laisser doit être une présence du Seigneur Jésus. Leur donner le goût de Le connaître, par la même occasion (par notre attitude).
– Prier avant la rencontre et demander à d’autres de prier pour cette rencontre.
– Il se peut bien que la seule possibilité offerte soit de parler au (à la) député (e) au téléphone. C’est bien et il faut s’assurer de parler directement au (à la) député (e) (laisser un message au [à la] secrétaire demandant que le [la] député [e] vous rappelle).
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Pour rejoindre le bureau de votre député :
http://www.noscommunes.ca/Parliamentarians/fr/members ; écrire votre code postal en haut à droite, puis, cliquer sur sa photo (ou son nom) pour obtenir son numéro de téléphone. Chaque appel est important. Merci d’agir concrètement, pour le bien de notre liberté, pour nos valeurs et pour la génération qui suit. À partir du lundi 29 janvier, les députés fédéraux seront à Ottawa : les rejoindre à ce numéro de téléphone. Les vendredis, ils pourraient être dans leur bureau de circonscription, si non, leur bureau à Ottawa.