Par le Dr Joseph Mercola (republié par LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Note de LifeSite : Les opinions et informations fournies dans cet article et la vidéo incluse ne représentent pas nécessairement les opinions de LifeSite. Il s’agit d’une présentation très complexe que nous ne sommes pas en mesure de vérifier totalement et il se peut que nous soyons en désaccord ou que nous remettions en question certains éléments présentés. Cependant, nous suggérons qu’elle vaut la peine d’être analysée, en particulier compte tenu de tout ce que LifeSite a appris et rapporté sur les efforts visant à imposer un Nouvel Ordre Mondial, la Grande Réinitialisation et l’exploitation du COVID-19 et de ses vaccins.
La principale affirmation douteuse est que les deux sociétés d’investissement massif « possèdent » ou ont la « propriété » de toutes les sociétés dans lesquelles elles ont des investissements. LifeSite n’est pas en mesure de répondre de manière adéquate à cette affirmation, étant donné l’ampleur époustouflante de cette toile très enchevêtrée de relations entre grandes entités financières. Nous supposons que l’auteur estime que leurs énormes investissements et leur réseau de relations avec de nombreux partenaires parmi les plus riches du monde donnent à ceux qui contrôlent les sociétés d’investissement géantes Vanguard et Blackrock un degré plus dangereux de contrôle pratique ou de « gestion » d’un grand pourcentage des principales entités corporatives du monde, plutôt qu’une « propriété » de facto de celles-ci.
Malheureusement, Joseph Mercola n’a pas voulu clarifier auprès de LifeSite son affirmation selon laquelle les deux sociétés d’investissement géantes « possèdent » Big Pharma et Big Media, bien que nous comprenions qu’elles « possèdent » des pourcentages importants, voire souvent faibles, mais toujours pratiquement significatifs du total des actions de nombreuses sociétés parmi les plus influentes du monde. Il s’agit bien d’un degré de « propriété », ou d’un pied utile dans la porte des entreprises dans lesquelles ils investissent. Cela peut à son tour conduire à un contrôle pratique des 20 000 milliards de dollars de valeur des actifs de toutes ces sociétés par ceux qui ont des décennies, et dans certains cas comme les Rothschild, même plus de 300 ans d’expérience continue dans l’exploitation d’une telle « propriété » vaguement définie pour assurer la réalisation de leurs plans de changement financier, politique et social à long terme.
Ainsi, le mot « propriété » semble avoir une signification nuancée dans l’article de Mercola, qui reste très important.
Malgré le manque de clarté de la terminologie utilisée, nous pensons que l’article mérite d’être pris en considération, notamment au vu de tout ce que LifeSite a rapporté sur le Nouvel Ordre Mondial, le Great Reset et l’exploitation internationale en cours du COVID-19. L’influent Forum économique mondial, qui compte parmi ses membres plus de 300 des personnes les plus riches et les plus puissantes du monde, est le principal moteur de la révolution mondiale dite Global Reset qui utilise explicitement et ouvertement la pandémie du covid pour accélérer sa révolution du monde vers une « nouvelle normalité » de vie que certains ont décrite comme un esclavage mondial des masses par l’élite.
Le COVID-19 : The Great Reset du fondateur du FEM, Klaus Schwab, et son complémentaire Shaping the Fourth Industrial Revolution pourraient un jour être considérés comme l’équivalent du Manifeste communiste de Karl Marx et Friedrich Engels et de Mein Kampf d’Hitler en tant que cause de la révolution mondiale.
L’exposition imparfaite par Mercola des relations incestueuses entre les nombreuses entités financières mondiales prétendument « concurrentes », les multimilliardaires et les politiciens fantoches comprend suffisamment d’informations cruciales et valables pour aider les lecteurs à mieux comprendre le degré effrayant de coopération et d’organisation entre ces entités puissantes alors qu’elles se hâtent de mettre en œuvre de façon apparemment imminente leur démoniaque Grande Réinitialisation du Nouvel Ordre Mondial.
Steve Jalsevac
LifeSite
Qui possède presque tous les grandes entreprises pharmaceutiques et les grands médias ? Vous ne le devinerez jamais
L’histoire en un coup d’œil :
- Big Pharma et les médias grand public sont en grande partie détenus par deux sociétés de gestion d’actifs : BlackRock et Vanguard.
- Les entreprises pharmaceutiques sont à l’origine des réponses au COVID-19 — qui toutes, jusqu’à présent, ont mis en danger plutôt qu’optimisé la santé publique ─ et les médias grand public ont été des complices consentants dans la diffusion de leur propagande, un faux récit officiel qui égare le public et alimente la peur sur la base de mensonges.
- Vanguard et BlackRock sont les deux principaux propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.
- BlackRock et Vanguard forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce qui vous vient à l’esprit. Au total, ils détiennent des participations dans 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9 100 milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du Standard & Poor’s 500.
- Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Vanguard lui-même, d’autre part, a une structure unique qui rend sa propriété plus difficile à discerner, mais beaucoup des familles les plus anciennes et les plus riches du monde peuvent être liées aux fonds Vanguard.
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21 juin 2021 (Children's Health Defense) — Qu’est-ce que le New York Times et la majorité des autres médias traditionnels ont en commun avec Big Pharma ? Réponse : Ils sont en grande partie détenus par BlackRock et le groupe Vanguard, les deux plus grandes sociétés de gestion d’actifs au monde. De plus, il s’avère que ces deux sociétés forment un monopole secret qui possède à peu près tout ce à quoi vous pouvez penser également. Comme indiqué dans la vidéo [suivez le lien pour voir la vidéo] :
Les actions des plus grandes entreprises du monde sont détenues par les mêmes investisseurs institutionnels. Ils sont tous propriétaires les uns des autres. Cela signifie que des marques « concurrentes », comme Coke et Pepsi, ne le sont pas vraiment, puisque leurs actions sont détenues par exactement les mêmes sociétés d’investissement, fonds d’investissement, compagnies d’assurance, banques et, dans certains cas, gouvernements.
Les petits investisseurs sont détenus par de plus gros investisseurs. Ces derniers sont détenus par des investisseurs encore plus importants. Le sommet visible de cette pyramide ne comporte que deux sociétés dont nous avons souvent vu le nom... Il s’agit de Vanguard et de BlackRock.
Le pouvoir de ces deux sociétés dépasse votre imagination. Non seulement elles possèdent une grande partie des actions de presque toutes les grandes entreprises, mais aussi les actions des investisseurs dans ces entreprises. Cela leur confère un monopole complet.
Un rapport de Bloomberg indique qu’en 2028, ces deux sociétés disposeront ensemble d’investissements d’un montant de 20 000 milliards de dollars. Cela signifie qu’elles posséderont presque tout.
Qui est Vangard ?
Le mot « vanguard » signifie « la position la plus avancée dans une armée ou une flotte qui s’avance dans la bataille » ou « la position de tête dans une tendance ou un mouvement ». Ces deux termes décrivent bien ce mastodonte mondial, détenu par des mondialistes qui militent pour une grande réinitialisation, dont le cœur est le transfert de la richesse et de la propriété des mains du plus grand nombre vers celles d’une minorité.
Il est intéressant de noter que Vanguard est le plus grand actionnaire de BlackRock, depuis mars 2021. Vanguard lui-même, d’autre part, a une structure d’entreprise « unique » qui rend sa propriété plus difficile à discerner. Elle est détenue par ses différents fonds, qui sont à leur tour détenus par les actionnaires. En dehors de ces actionnaires, elle n’a pas d’investisseurs extérieurs et n’est pas cotée en bourse. Comme indiqué dans la vidéo :
L’élite qui possède Vanguard n’aime apparemment pas être sous les feux de la rampe, mais, bien sûr, elle ne peut pas se cacher de qui veut bien creuser. Selon des rapports d’Oxfam et de Bloomberg, 1 % de la population mondiale possède plus d’argent que les 99 % restants. Pire encore, Oxfam affirme que 82 % de l’argent gagné en 2017 est allé à ces 1 %.
En d’autres termes, ces deux sociétés d’investissement, Vanguard et BlackRock, détiennent un monopole dans toutes les industries du monde et elles sont, à leur tour, détenues par les familles les plus riches du monde, dont certaines sont royales et qui sont très riches depuis avant la révolution industrielle.
Il faudrait du temps pour passer au crible tous les fonds de Vanguard afin d’identifier les actionnaires individuels, et donc les propriétaires de Vanguard, mais un rapide coup d’œil suggère que Rothschild Investment Corp. et Edmond De Rothschild Holding sont deux de ces parties prenantes. Gardez le nom de Rothschild à l’esprit pendant que vous lisez la suite, car il reviendra plus tard.
La vidéo ci-dessus identifie également la famille italienne Orsini, la famille américaine Bush, la famille royale britannique, la famille du Pont, les Morgan, les Vanderbilt et les Rockefeller, comme propriétaires de Vanguard.
BlackRock et Vanguard possèdent Big Pharma
Selon Simply Wall Street, en février 2020, BlackRock et Vanguard étaient les deux plus grands actionnaires de GlaxoSmithKline, avec respectivement 7 % et 3,5 % des actions. Chez Pfizer, la propriété est inversée, Vanguard étant le premier investisseur et BlackRock le deuxième plus grand actionnaire.
Gardez à l’esprit que les ratios de propriété des actions peuvent changer à tout moment, puisque les entreprises achètent et vendent régulièrement, alors ne vous attachez pas aux pourcentages. L’essentiel est que BlackRock et Vanguard, individuellement et ensemble, possèdent suffisamment d’actions à tout moment pour que l’on puisse dire qu’ils contrôlent facilement à la fois Big Pharma et les médias centralisés — et même plus.
En quoi cela est-il important ? Parce que les entreprises pharmaceutiques sont à l’origine des mesures prises dans le cadre du COVID-19 ─ qui, jusqu’à présent, ont toutes mis en danger la santé publique au lieu de l’optimiser ─ et que les médias grand public ont été des complices consentants de la diffusion de leur propagande, un faux récit officiel qui a, et continue d’ailleurs, d’égarer le public et de susciter une peur fondée sur des mensonges.
Pour avoir une chance de redresser la situation, nous devons comprendre qui sont les principaux acteurs, d’où viennent les dictats néfastes et pourquoi ces faux récits sont créés en premier lieu.
Comme l’indique le rapport de Global Justice Now de décembre 2020 intitulé « L’horrible histoire de Big Pharma », nous ne pouvons tout simplement pas permettre aux entreprises pharmaceutiques ─ « qui ont une longue habitude de privilégier le profit des entreprises au détriment de la santé des gens » ─ de continuer à dicter les mesures COVID-19.
Dans ce document, ils passent en revue l’histoire honteuse des sept plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde qui développent et fabriquent actuellement des médicaments et des « vaccins » à base de gènes contre le COVID-19, tandis que les médias grand public ont contribué à supprimer l’information sur les anciens médicaments facilement disponibles qui se sont avérés très efficaces contre l’infection.
Les médias appartiennent à BlackRock/Vanguard
En ce qui concerne les médias, prenons l’exemple du New York Times : en date du mois de mai 2021, BlackRock est son deuxième plus grand actionnaire avec 7,43 % du total des actions, juste après The Vanguard Group, qui en possède la plus grande partie (8,11 %).
Outre le New York Times, Vanguard et BlackRock sont également les deux premiers propriétaires de Time Warner, Comcast, Disney et News Corp, quatre des six sociétés de médias qui contrôlent plus de 90 % du paysage médiatique américain.
Inutile de dire que si vous contrôlez autant de médias, vous pouvez contrôler des nations entières par le biais d’une propagande centralisée soigneusement orchestrée et organisée, déguisée en journalisme.
Si vous avez déjà la tête qui tourne, vous n’êtes pas seul. Il est difficile de décrire de façon linéaire des relations circulaires et étroitement imbriquées. Le monde de la propriété des entreprises est labyrinthique puisque, dans une certaine mesure, tout le monde semble posséder tout le monde.
Toutefois, le message clé à retenir est que deux sociétés se distinguent nettement des autres, à savoir BlackRock et Vanguard. Ensemble, elles forment un monopole caché sur les avoirs mondiaux et, grâce à leur influence sur nos médias centralisés, elles ont le pouvoir de manipuler et de contrôler une grande partie de l’économie et des événements mondiaux, ainsi que la façon dont le monde perçoit tout cela.
Si l’on considère que BlackRock a annoncé en 2018 qu’il avait des « attentes sociales » de la part des entreprises dans lesquelles il investit, on ne peut négliger son rôle potentiel de plaque tournante centrale dans la Grande réinitialisation et dans le plan « reconstruire en mieux ».
Si l’on ajoute à cela des informations montrant qu’elle « nuit à la concurrence en détenant des actions dans des sociétés concurrentes » et « brouille les frontières entre le capital privé et les affaires gouvernementales en travaillant en étroite collaboration avec les régulateurs », il est difficile de ne pas voir comment BlackRock/Vanguard et leurs propriétaires mondialistes pourraient être en mesure de faciliter la Grande Réinitialisation et la révolution dite « verte », qui font toutes deux parties du même schéma de vol de richesse.
BlackRock et Vanguard possèdent le monde entier
Cette affirmation deviendra encore plus claire lorsque vous réaliserez que l’influence de ce duo ne se limite pas à Big Pharma et aux médias. Il est important de noter que BlackRock travaille également en étroite collaboration avec les banques centrales du monde entier, y compris la Réserve fédérale américaine, qui est une entité privée et non fédérale. Elle prête de l’argent à la banque centrale, agit en tant que conseillère auprès d’elle et développe les logiciels de la banque centrale.
BlackRock/Vanguard possèdent également des actions d’une longue liste d’autres entreprises, notamment Microsoft, Apple, Amazon, Facebook et Alphabet Inc. Comme l’illustre le graphique du réseau de propriétés de BlackRock et Vanguard ci-dessous, présenté dans l’article de 2017 « These Three Firms Own Corporate America » [Ces trois firmes possèdent l’Amérique des affaires] de The Conversation, il serait presque impossible de les énumérer toutes.
Au total, BlackRock et Vanguard détiennent des participations dans quelque 1 600 entreprises américaines, dont les revenus combinés s’élevaient à 9 100 milliards de dollars en 2015. Si l’on ajoute le troisième plus grand propriétaire mondial, State Street, leur propriété combinée englobe près de 90 % de toutes les entreprises du S&P 500.
Un monopole mondial que peu de gens connaissent
Pour comprendre l’influence globale de BlackRock et Vanguard sur le marché mondial, regardez la vidéo de 45 minutes présentée en haut de cet article. Elle offre une vue d’ensemble du réseau monopolistique caché des sociétés appartenant à Vanguard et BlackRock, et de leur rôle dans la Grande Réinitialisation. Une deuxième vidéo beaucoup plus courte (ci-dessus) offre un examen supplémentaire de ces informations.
Comment pouvons-nous lier BlackRock/Vanguard — et les familles mondialistes qui les possèdent — à la Grande réinitialisation ? À moins d’une confession publique, nous devons examiner les relations entre ces énormes sociétés appartenant aux mondialistes et considérer l’influence qu’elles peuvent exercer à travers ces relations. Comme l’a noté Lew Rockwell :
Lorsque Lynn Forester de Rothschild veut que les États-Unis soient un pays à parti unique (comme la Chine) et qu’elle ne veut pas que des lois sur l’identification des électeurs soient adoptées aux États-Unis, afin que davantage de fraudes électorales puissent être perpétrées, à cette fin, que fait-elle ?
Elle organise une conférence téléphonique avec les 100 plus grands PDG du monde et leur demande de qualifier publiquement de « Jim Crow » l’adoption par la Géorgie d’une loi anticorruption et ordonne à ses PDG consciencieux de boycotter l’État de Géorgie, comme nous l’avons vu avec Coca-Cola et la Ligue majeure de Baseball et même la vedette hollywoodienne Will Smith.
Dans cette conférence téléphonique, nous voyons des nuances de la Grande Réinitialisation, de l’Agenda 2030, du Nouvel Ordre Mondial. L’ONU veut s’assurer, tout comme [le fondateur et président-directeur général du Forum économique mondial, Klaus] Schwab, qu’en 2030, la pauvreté, la faim, la pollution et la maladie ne seront plus un fléau pour la Terre.
Pour y parvenir, l’ONU veut que les impôts des pays occidentaux soient répartis entre les méga-corporations de l’élite pour créer une toute nouvelle société. Pour ce projet, l’ONU dit que nous avons besoin d’un gouvernement mondial ─ à savoir l’ONU elle-même.
Comme je l’ai examiné dans de nombreux articles précédents, il semble assez clair que la pandémie de COVID-19 a été orchestrée pour faire naître ce Nouvel Ordre Mondial ─ la Grande Réinitialisation ─ et la vidéo de 45 minutes présentée en haut de l’article explique bien comment cela a été fait. Et au cœur de tout cela, le « cœur » vers lequel s’écoulent tous les flux de richesse mondiaux, nous trouvons BlackRock et Vanguard.
Publié à l’origine par Mercola.
Les vues et opinions exprimées dans cet article sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement celles de Children’s Health Defense.