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Projets de loi pour protéger l’enfant à naître en Floride, Caroline du Sud et au Kentucky

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pickpik

En Caroline du Sud, le Sénat a approuvé en première lecture un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque que l’on peut détecter le battement de cœur de l’enfant à naître, ce qui arrive généralement vers la sixième semaine de grossesse, selon LifeNews :

Le Sénat de l’État de Caroline du Sud approuvé en première lecture un projet de loi qui interdirait les avortements lorsque le cœur du bébé à naître commence à battre. Le vote final devrait avoir lieu jeudi.

Le South Carolina Fetal Heartbeat and Protection from Abortion Act (Senate Bill 1) a reçu un vote favorable par 29 voix contre 17 en deuxième lecture.

Le projet de loi interdirait les avortements après que les battements de cœur du bébé à naître sont détectables, généralement aux alentours six semaines de grossesse.

En Floride, un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque l’enfant à naître est supposé sentir la douleur, ce qui est généralement admis autours des 20 semaines de grossesse (bien qu’il puisse la sentir bien plus tôt) a été introduit au Parlement floridien, selon un autre article de LifeNews :

Deux législateurs de Floride, le sénateur Ana Maria Rodriguez [...] et le représentant Tommy Gregory […] ont déposé le SB 744 & HB 351, intitulé Florida Pain-Capable Unborn Child Protection Act, un projet de loi visant à interdire l’avortement dès le moment où l’enfant à naître ressent de la douleur.

S’il est adopté, ces projets de loi interdiraient l’avortement lorsqu’un enfant à naître a atteint le seuil de développement in utero auquel il est capable de ressentir la douleur. Les preuves scientifiques situent ce moment à environ cinq mois.

Malheureusement, en général, ce type de projets de loi son accompagnés d’exceptions.

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Au Kentucky, un projet de loi a passé toutes les étapes requises pour devenir une loi, rendant obligatoire la dispensation de soins médicaux aux bébés nés vivants, même suite à un avortement raté, selon Le Salon Beige :

« Born Alive » est un projet de loi du Kentucky qui a pour but de rendre obligatoires les soins médicaux aux bébés nés vivants, même nés à l’issue d’un avortement raté. Le gouverneur démocrate Andy Beshear ne soutient pas cette loi, mais il a choisi de ne pas apposer son veto. Le projet de loi va donc pouvoir devenir loi malgré l’absence de signature du gouverneur.

En Virginie, par contre, bientôt une nouvelle loi obligera les Virginiens à financer l’avortement électif par le biais des plans d’assurances proposés par l’État, selon un troisième de LifeNews :

Un projet de loi en Virginie, en route vers le bureau du gouverneur Ralph Northam, réinstaurerait la couverture de l’avortement volontaire dans le cadre de la bourse des assurances santé de Loi sur les soins de santé abordable de l’État, obligeant les contribuables de l’État à subventionner le meurtre des bébés à naître par avortement.

La Chambre des délégués de Virginie a voté par 55 voix contre 45 en faveur du projet du Senate Bill 1276 mardi, rapporte WFXR News. Ce projet de loi a été adopté par le Sénat de l’État la semaine dernière, et doit maintenant être ratifié par Northam, un démocrate pro-avortement.

« Si cela devient une loi, les contribuables de Virginie vont bientôt payer pour des plans d’assurance qui couvrent les avortements électifs et pourraient ne pas être en mesure de trouver un plan qui ne le fait pas », déclare la Virginia Society for Human Life dans un communiqué. « C’est la première étape pour forcer les Virginiens à payer pour tous les avortements ». La Virginia Catholic Conference s’est également opposée au projet de loi. Le directeur Jeff Caruso a déclaré aux nouvelles locales que les avortements ne sont pas des soins de santé car « l’avortement met fin à une vie au lieu de la guérir ».



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