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Prions pour une Église qui enseigne avec clarté et zèle le règne social de Jésus-Christ

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Chères amies, chers amis de la Vie,

Partagez-vous avec moi l’impression que, dernièrement, le combat pour la foi, la famille et le respect de la vie humaine va de mal en pire et ce, pas seulement au Québec et au Canada, mais partout dans le monde ?

C’est comme si nous étions témoins d’une grande apostasie – c’est-à-dire d’un abandon total et sans équivoque de Dieu, de ses lois et de l’Église qu’il a établie, de la part de tous les peuples.

« Nous n’avons de Roi que César ! » clament trop de nos contemporains, comme le fit la foule enragée qui réclamait la mort du Christ (Jn 19, 15). Si Jésus Christ affirme « Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre » (Mt 28, 18), nos contemporains pour la plupart répondent : « Tout pouvoir vient du peuple ! » Si ce même Jésus, par la bouche des ambassadeurs de son Royaume, invite à une Alliance entre Dieu et les nations de la terre, nos contemporains rétorquent : « Nous ne voulons pas que celui-là règne sur nous » (Lc 19, 14).

Ici au Canada, le dernier coup dur contre le 5ième commandement de Dieu (« Tu ne tueras point ») a été apporté par un rapport d’un comité parlementaire concernant la dépénalisation prochaine de l’euthanasie au Canada (lire ici pour plus de détails). Pour tout dire, l’arrivée de l’euthanasie au Canada est imminente, et ce sera à toutes fins pratiques la mort sur demande qui sera dépénalisée. On donnera à l’État le pouvoir de vie et de mort sur l’être humain. C’est l’État – le nouveau César – qui sera désormais notre « dieu ».

Ce n’est pas seulement au Québec, ni seulement au Canada : De par le monde on fait la promotion de l’égoïsme et de la volonté déréglée et on prépare la sépulture du sacrifice et de l’amour de Dieu et de son prochain. Les pro-vie, les enfants de la Lumière, les chrétiens sont crucifiés par la calomnie et le ridicule sur la place publique; l’Église de Dieu est en recul, discréditée aux yeux du peuple et ignorée.

Nos sociétés ont rejeté la pierre angulaire qu’est Jésus Christ et ont entrepris de fonder un « nouvel ordre mondial » sur les sables mouvants de l’opinion publique.

Par les Nations Unies, l’Union européenne et autres tours de Babel, on fait la promotion effrénée de l’avortement et de la contraception, du « mariage gai », de la « théorie du genre », etc. On répand partout l’idéologie laïciste, qui prône la séparation de Dieu et de l’État, surtout dans les écoles, où on enseigne à nos enfants et petits-enfants que toutes les religions s’équivalent, ce qui veut dire que toutes seraient également inutiles et folkloriques.

L’heure est-elle venue de se demander si on est en train d’assister à la fin des temps ? Les signes avant-coureurs sont là : apostasie généralisée, constitution d’un gouvernement mondial anti-chrétien... Mais à cette question, nous devons répondre, avec le Christ, « Quant à la date de ce jour, et à l'heure (de la fin du monde), personne ne les connaît, ni les anges des cieux, ni le Fils, personne que le Père, seul » (Mt 24, 36). Mais alors, que faire ?

Seriez-vous surpris si je vous disais qu’en dépit de toutes ces mauvaises nouvelles, je n’ai jamais été aussi joyeux de ma vie ? La raison de ma joie en de telles circonstances ? C’est que tout ceci a déjà été prédit par Celui-là même qui est passé par une mort atroce et s’en est sorti plus Vivant que jamais. Alors si c’est vraiment la fin du monde, préparons-nous y avec sérénité par la prière quotidienne, la communion et le sacrement du pardon, sachant que celui qui a prédit toutes ces choses reviendra sous peu dans sa Gloire pour nous ramener à Lui.

Mais si ce n’est pas la fin, si Dieu permet au monde de durer encore un certain temps, qu’avons-nous comme mission ici-bas ? Si aujourd’hui l’arme principale contre le mal dans le monde – l’Église de Dieu – est chloroformée et recouverte d’un linceul, ce n’est que Dieu lui-même qui peut la réveiller. Encore faut-il le lui demander, car il nous a bien dit : « Demandez et vous recevrez » (Jn 16, 24)

Mais attention : il ne faut pas demander n’importe quoi ! Dieu ne ressuscitera pas une idéologie ou un système humain qui a déjà démontré son impuissance à combattre le mal dans ce monde. Dieu nous a déjà donné et désire nous redonner plus forte sa véritable Église pour combattre le mal dans le monde.

Pour nous aider à combattre l’avortement, l’euthanasie, le faux mariage, le laïcisme et toutes ces abominations qui mènent à la perte des âmes et à l’effondrement de la société, il nous faut donc prier pour obtenir une faveur spéciale : une Église qui enseigne avec clarté et zèle le règne social de Jésus-Christ. Le règne social de Jésus-Christ, c’est la doctrine maintes fois réitérée par plusieurs papes, qui affirme que toutes les sociétés humaines, y compris les États, doivent reconnaitre le Christ et son Église – ses lois, ses enseignements, son culte – comme fondement de toute société.

Voilà la lumineuse vérité que nous sommes chargés de proclamer dans les mois et les années à venir, jusqu’à la résurrection finale ! Voilà le remède à apporter à tous nos problèmes sociétaux, du laïcisme au « mariage gai », en passant par l’avortement et l’euthanasie. Vive le Christ-Roi !

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Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie

 

P.S. Attendez-vous à en entendre davantage sur cette doctrine du règne social de Jésus-Christ dans les publications futures de Campagne Québec-Vie – c’est un enseignement qui, mis en pratique, peut renouveler toute la société.

P.P.S. Merci de nous aider avec un don spécial en ce temps de Pâques où nous célébrons cette Résurrection qui nous donne tellement à espérer !

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