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Pourquoi les chrétiens choquent-ils tant par leur culture de vie, alors qu'ils devraient plutôt susciter l'indifférence?

Un texte intéressant paru sur le site skyrock.com du 20 mai 2012:

(Le roi Beaudouin accompagné de sa femme, Fabiola. Un Jean-Baptiste moderne, mais inversé... C'est lui, le roi, qui dénonça par son refus de signer un texte, la mise à mort des enfants de son peuple.)

Il est très curieux de voir le nombre de personnes qui se moquent pas mal de l'Eglise, mais qui entrent en transes lorsqu'elle désapprouve l'avortement, la pilule ou la fécondation in vitro.
La vérité, n'est-ce pas qu'au fond de nous-même, lorsque nous avons quelque doute de conscience, lorsque nous ne sommes pas tout à fait sûrs qu'un acte que nous voulons faire — que nous avons fait — soit juste, nous recherchons à tout prix une approbation, une justification officielle qui nous libère de ce reproche intérieur. Ainsi le Roi des Belges a récemment refusé par motif de conscience de signer la loi sur l'avortement, au risque d'être démissionné. Certains députés et hommes politiques belges ont poussé des rugissements incroyables. Selon eux, le Roi n'avait rien à dire même au risque de sa démission, il devait seulement signer les lois comme un composteur automatique. Pourquoi ces gens-là ont-ils perdu leur sang froid devant un geste extraordinaire de courage ? Parce que non seulement ils voulaient légaliser l'avortement, mais encore ils ne pouvaient pas supporter qu'il se trouve quelqu'un pour oser dire qu'il ne trouvait pas ça “bien”. A l'inverse, il y a 400 ans, le roi d'Angleterre, Henri VIII avait réussi à obtenir de tous les Lords et députés l'approbation de l'annulation de son mariage avec Catherine d'Aragon et même de tous les évêques du pays. Un seul évêque cependant, John Fisher, et un seul laïc, Thomas More, Lord chancelier démissionnaire, refusèrent de dire que c'était “bien”. Ces deux seules voix empêchèrent Henri VIII de dormir, et il fit mettre à mort John Fisher et Thomas More.
Aujourd'hui, on ne met pas à mort le Pape Jean-Paul II et les évêques quand ils parlent aux consciences, on se contente de les insulter. Mais ces voix-là sont pour beaucoup aussi insupportables que celles de John Fisher et Thomas More.(...)

Pour lire la suite de l'article, cliquez ici.

Et pour accompagner ce texte, voici encore les propos d'un évêque qui dérange! Un article paru sur le site de Benoit-et-moi du 8 août 2012:

«Les structures sanitaires où l'on pratique l'interruption volontaire de grossesse sont l'expression de la culture de mort».
Croisade anti-avortement en Nouvelle-Zélande. L'évêque catholique de Dunedin, Colin Campbell, a appelé les fidèles à se mobiliser contre les cliniques abortistes, à commencer par celles récemment ouvertes dans le Southland. Dans un message qui a été lu dans toutes les paroisses du diocèse, l'évêque montre comme un modèle les actions de protestation du «mouvement pour la vie», condamne l'avortement comme «la menace la plus grave aux droits de l'homme» et exhorte les catholiques à élever leurs voix dans les sphères publique et privée.

Mgr Campbell se réfère au Magistère éthique de l'Église: «La vie humaine est sacrée parce que, dès son commencement, elle comporte l'action créatrice de Dieu et demeure pour toujours dans une relation spéciale avec le Créateur, son unique fin. Dieu seul est Seigneur de la vie depuis son commencement jusqu'à sa fin: personne, en aucune circonstance, ne peut revendiquer pour soi le droit de détruire directement un être humain innocent».
La vie humaine doit être absolument respectée et protégée dès le moment de la conception: «Dès le premier instant de son existence, l'être humain doit se voir reconnaître les droits de la personne, parmi lesquels le droit inviolable de tout être innocent à la vie». Par ailleurs, clarifie le Catéchisme de l'Église catholique, depuis le premier siècle, l'Église a affirmé le mal moral de tout avortement provoqué: «Cet enseignement n'a pas changé. Il reste invariable. L'avortement direct, c'est-à-dire voulu comme une fin ou un moyen, est gravement contraire à la loi morale».  

(...)

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