M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Un tribunal juge que le pasteur Artur Pawlowski qui avait défié le confinement COVID et tenu un service religieux, a été emprisonné à tort


Artur Pawlowski

Steven Ertelt -- LifeNews -- 22 juillet 2022 -- Washington, DC

Une cour d’appel canadienne a statué aujourd’hui que le pasteur Artur Pawlowski a été injustement arrêté, emprisonné et condamné à une amende pour avoir tenu un service religieux au mépris de l’interdiction des services religieux mise en place pendant le verrouillage COVID.

Au début du mois de mai 2021, le pasteur Artur Pawlowski, de la Street Church, en Alberta (Canada), a été arrêté et accusé d’avoir organisé un « rassemblement illégal en personne » et d’avoir « demandé, incité ou invité d’autres personnes » à se joindre au rassemblement. Son crime ? Avoir tenu un service religieux au mépris du confinement COVID canadien. Il risque 4 ans de prison à la suite de ce service.

Une vidéo du pasteur était déjà devenue virale lorsque des policiers avaient fait une descente lors d’une célébration de la Pâque dans son église d’Alberta et que le pasteur Pawlowski avait crié après les policiers jusqu’à ce qu’ils partent.

Un juge a déclaré le pasteur Pawlowski coupable d’outrage en juin 2021 et il risquait toujours quatre ans de prison pour avoir prétendument organisé un rassemblement illégal en personne, incité ou invité d’autres personnes à assister à un rassemblement illégal, ainsi que pour avoir fait la promotion du rassemblement et y avoir assisté.

Mais aujourd’hui, la Cour d’appel de l’Alberta a statué que l’injonction à son encontre, son arrestation, son emprisonnement, l’ordonnance de censure et les amendes à son encontre étaient illégaux.

1 réaction Lire la suite

Une revue approuvée par le Vatican suggère que le pape François pourrait bientôt contredire l'interdiction catholique de la contraception


Le pape François — YouTube

Michael Haynes, 21 juillet 2022 — traduit par Campagne Québec-Vie

Citée du Vatican (LifeSiteNews) — Une revue approuvée par le Vatican a publié un article où son auteur se demande si le pape François pourrait écrire « une nouvelle encyclique ou exhortation apostolique sur la bioéthique » dans la lignée d’un récent document de l’Académie pontificale pour la vie qui sape certains aspects de la morale catholique.

Le 2 juillet, le père Jorge José Ferrer, S.J., a publié un article dans la publication jésuite La Civilta Cattolica intitulé « Re-reading theological ethics of life [Relire l’éthique théologique de la vie] ». La Civilta Cattolica est connue pour avoir son contenu revu par la Secrétairerie d’État du Vatican avant sa publication. 

L’article résume et promeut le nouveau livre de l’Académie pontificale pour la vie (PAV) qui propose à la fois la contraception et l’insémination artificielle comme moralement acceptables, et qui a été publié par la maison d’édition du Vatican Libreria Editrice Vaticana.

Le père Ferrer écrit que le livre constitue « une tentative intéressante d’imaginer une voie qui favorise le renouvellement de la bioéthique fondée sur le rôle du discernement et de la conscience formée de l’agent moral ». Ceci est « cohérent avec l’enseignement du pape François », ajoute Ferrer.

Mais le diacre, catéchiste et auteur britannique Nick Donnelly décrit l’ouvrage comme un « changement de paradigme » par rapport à l’enseignement catholique sur la FIV et la contraception.

1 réaction Lire la suite

Un quartier de Montréal annule temporairement l'heure du conte « Drag Queen » à la bibliothèque pour en revoir le contenu

Par Clare Marie Merkowsky, 14 juillet 2022 — Traduit par Campagne Québec-Vie

Montréal (LifeSiteNews) — Les conseillers d’un arrondissement de Montréal ont annulé une heure de conte « Drag Queen » pour enfants, disant qu’ils doivent revoir le contenu du spectacle du travesti et artiste de la télévision Sébastien Potvin, selon CBC News.

« Tout était parfait. Nous avions signé le contrat », a déploré Sébastien Potvin. « Tout est allé très, très vite la semaine dernière, et j’aurais adoré être informé et j’aurais pu éviter toute cette histoire ».

Le maire de l’arrondissement de Saint-Laurent, Alan DeSousa, a révélé que la ville est « surtout préoccupée par les sujets qui seront abordés ».

En réponse au tollé sur les médias sociaux concernant l’annulation de l’événement, le conseil a planifié une réunion en août pour discuter du contenu de ce spectacle qui devait avoir lieu le 4 novembre.

1 réaction Lire la suite

Mgr Carlo Maria Viganò défend la vie et pourfend la « dictature sanitaire » dans une lettre choc à une association de parents


L'archevêque Carlo Maria Viganò au Rome Life Forum le 18 mai 2018. Photo: Steve Jalsevac / LifeSiteNews

Ce qui suit est une traduction, par le toujours intéressant blogue Benoît et moi, d’une lettre de Mgr. Vigano à un groupe de parents italiens, parue le 17 août sur le site de l’auteur Aldo Maria Valli. Une partie du texte qui n’avait pas été traduite a été ajoutée, par moi-même, en crochets []. Les gras sont de Benoît et moi.

— Georges Buscemi


Lettre aux mères

Sauvons nos enfants de la dictature sanitaire. Sauvons l’Italie de la tyrannie mondialiste.

Mgr Carlo Maria Viganò a écrit cette lettre en réponse à une association de parents qui, le 5 septembre prochain, lancera à Rome une initiative pour protéger la santé physique, morale et spirituelle de leurs enfants « contre la dictature sanitaire, financière et judiciaire ».


[Chers messieurs, chères mères, j’ai reçu votre aimable e-mail, dans lequel vous m’informez de l’initiative prévue le 5 septembre 2020 pour la protection de la santé physique, morale et spirituelle de vos enfants. En réponse à vous, je m’adresse à toutes les mères d’Italie.]

La manifestation que vous promouvez entend recueillir le désaccord des citoyens et en particulier des parents face aux règles que le gouvernement, abusant de son pouvoir, s’apprête à édicter en vue de la nouvelle année scolaire ; des règles qui auront de graves répercussions sur la santé et l’équilibre psychophysique des élèves, comme l’ont justement souligné des experts faisant autorité.

Il convient avant tout de dénoncer la tentative systématique de démolition de la famille, cellule de la société, avec la prolifération d’attaques féroces non seulement contre l’union conjugale que le Christ a élevée à un Sacrement, mais aussi contre son essence même, à savoir le fait que le mariage est par nature constitué d’un homme et d’une femme, dans un lien indissoluble de fidélité et d’assistance mutuelle. La présence d’un père et d’une mère est fondamentale pour la croissance des enfants, qui ont besoin d’une figure masculine et féminine comme référence pour leur développement intégral et harmonieux ; les enfants, dans la phase très délicate de leur enfance et de leur adolescence, ne peuvent pas non plus être utilisés pour des revendications idéologiques partisanes, avec de graves dommages pour leur équilibre psychophysique, par ceux qui rejettent la notion même de nature avec leur propre comportement rebelle. Vous pouvez facilement comprendre l’impact de la destruction de la famille sur le consortium civil : nous avons tous sous les yeux les résultats de décennies de politiques malheureuses qui conduisent inévitablement à la dissolution de la société.

Ces politiques, inspirées par des principes qui répugnent autant à la Loi de la nature inscrite par le Créateur dans l’homme qu’à la Loi positive que Dieu lui a donnée dans les Commandements, vont jusqu’à permettre que les enfants soient mis à la merci du caprice des individus, et que le caractère sacré de la vie et de la conception soit même objet de commerce, humiliant la maternité et la dignité des femmes. Les enfants ne peuvent être commandés à des « femelles reproductrices » (fattrice) contre rémunération, car ils sont le fruit d’un amour que la Providence a établi comme devant toujours et en toutes circonstances rester dans l’ordre naturel.

Les parents sont responsables, comme droit primaire et inaliénable, de l’éducation de leur progéniture : l’État ne peut s’arroger ce droit, encore moins corrompre leurs enfants et les endoctriner aux principes pervers si répandus aujourd’hui. N’oubliez pas, chères Mamans, que ceci est la marque des régimes totalitaires, et non d’une nation civile et chrétienne. Il est de votre devoir d’élever la voix pour que ces tentatives de vous priver de l’éducation de vos enfants soient dénoncées et rejetées avec force, car vous ne pourrez pas faire grand-chose pour eux lorsque votre foi, vos idées et votre culture seront jugées incompatibles avec celles d’un État impie et matérialiste. Et il ne s’agit pas seulement d’imposer un vaccin à vos enfants et à vos jeunes, mais de les corrompre dans l’âme avec des doctrines perverses, avec l’idéologie du genre, avec l’acceptation du vice et la pratique d’un comportement de péché. Aucune loi ne peut jamais légitimement faire de l’affirmation de la vérité un crime, car l’autorité ultime vient de Dieu, qui est la Vérité suprême elle-même. A l’oppression des tyrans a répondu le témoignage héroïque des Martyrs et des Saints : soyez aujourd’hui encore, avec courage, les témoins du Christ contre un monde qui voudrait nous soumettre aux forces déchaînées de l’enfer !

Un autre aspect crucial de ce combat pour la famille est la défense de la vie, de la conception à la mort naturelle. Le crime de l’avortement, qui a fait des millions de victimes innocentes et qui crie vengeance au ciel, est considéré aujourd’hui comme une prestation de soins de santé normale, et c’est justement ces jours-ci que le gouvernement [italien] a autorisé l’utilisation plus étendue de la pilule abortive, encourageant ainsi un crime abominable et passant sous silence les terribles conséquences sur la santé psychophysique de la mère. Si vous pensez que durant le confinement, tous les traitements pour les malades ont été suspendus, mais que les avortements ont continué à être pratiqués, vous comprenez bien quelles sont les priorités de ceux qui nous gouvernent : la culture de mort ! Quel progrès peut-on invoquer lorsque la société tue ses propres enfants, lorsque la maternité est horriblement violée au nom d’un choix qui ne peut être libre, puisqu’il implique une vie innocente et viole un Commandement de Dieu ? Quelle prospérité notre Patrie peut-elle espérer, quelles bénédictions de Dieu, si des sacrifices humains sont faits dans ses cliniques comme aux temps de la barbarie la plus sanglante ?

Laissez un commentaire Lire la suite

Espagne: la natalité à son plus bas niveau


Naissance au premier semestre de chaque année (2011-2019)

Par le blogue Pour une école libre

Un total de 170 074 bébés ont vu le jour au premier semestre 2019 en Espagne, soit le niveau de natalité le plus bas enregistré dans le pays ibérique depuis 1941, indique, mercredi, l’Institut national de la statistique (INE). Le nombre des naissances a reculé de 11 292 bébés au premier semestre de l’année en cours, soit une baisse de 6,2 % par rapport à la même période de 2018, précise l’INE.

En 2018, l’indice de fécondité en Espagne était de 1,26 enfant par femme (1,59 au Québec). Le taux de remplacement est fixé, rappelons-le, à 2,1 enfants par femme. La seule communauté autonome avec une fécondité supérieure à ce taux de remplacement est celle de Melilla, sur la côte marocaine.

Laissez un commentaire Lire la suite

Nouvelles de la semaine (22 octobre 2018)


Troisième témoignage de Carlo Maria Viganò : une réponse aux accusations du cardinal Ouellet


L'Archevêque Carlo Maria Viganò prend la parole au Forum de la vie à Rome en mai 2018. Photo : Don Elvir Tabaković, Can.Reg

Traduit par Jeanne Smits

Ce vendredi 19 octobre, Mgr Carlo Maria Viganò a rendu public son troisième témoignage, qui prend la forme d'une réponse au cardinal Ouellet. Il maintient ses accusations relatives à l'affaire McCarrick et accuse clairement le « fléau » qui selon lui est à la racine des scandales qui secouent l'Eglise. Je vous en propose ici la traduction complète, par mes soins, d'après le texte anglais publié par LifeSiteNews. – J.S.

Troisième témoignage de Carlo Maria Viganò :

une réponse aux accusations du cardinal Ouellet


En la fête des martyrs nord-américains

Le fait de porter témoignage de la corruption au sein de la hiérarchie de l’Église catholique a été pour moi une décision douloureuse, et elle le demeure. Mais je suis un homme âgé, un homme qui sait devoir bientôt rendre compte devant le Juge de ses actions et omissions, un homme qui craint Celui qui peut jeter corps et âme en enfer. Un juge qui, même dans son infinie miséricorde, accordera à chacun salut ou damnation selon ses mérites. Anticipant la question terrible de ce Juge — « Comment as-tu, toi qui avais connaissance de la vérité, pu garder le silence au milieu du mensonge et de la dépravation ? » — quelle réponse pouvais-je donner ?

J’ai témoigné avec la pleine conscience de l’inquiétude et du désarroi que mon témoignage allait provoquer chez beaucoup de personnes éminentes : des hommes d’Église, des frères évêques, des collègues avec qui j’avais travaillé et prié. Je savais que beaucoup d’entre eux se sentiraient blessés et trahis. Je m’attendais à ce que certains m’assaillent à leur tour, moi et mes motivations. Plus douloureux que tout, je savais qu’un grand nombre de fidèles innocents seraient troublés et déconcertés par le spectacle d’un évêque accusant des collègues et des supérieurs de méfaits, de péchés sexuels et d’une grave négligence à l’égard de leur devoir. Mais je crois que la persistance de mon silence eût mis beaucoup d’âmes en péril, et damnerait certainement la mienne. Ayant rapporté à de nombreuses reprises à mes supérieurs et même au pape le comportement aberrant de Theodore McCarrick, j’aurais pu dénoncer publiquement plus tôt les vérités dont j’avais connaissance. Si j’ai quelque responsabilité par rapport à ce retard, je m’en repens. Ce retard a été dû à la gravité de la décision que j’allais prendre, et au long travail de ma conscience.

Laissez un commentaire Lire la suite

Euthanasie des mineurs : Noir désirs

Par Paul-André Deschesnes

Notre société carbure de plus en plus aux supposés bienfaits du MAL tous azimuts, que l’on nous présente comme le BIEN.

Un article du Journal de Montréal (19 octobre 2018) ose dénoncer ce mal chronique. Dans un premier temps, Nathalie Elgrably-Levy nous parle de la populaire émission de télévision « Tout le monde en parle » du 14 octobre 2018, où une vedette du monde des artistes a vanté sur le plateau ses idées suicidaires.

Notre chroniqueuse n’a pas eu peur également de dénoncer l’euthanasie, « qui est maintenant très bien acceptée socialement et qui est devenue le geste suprême de compassion » dans notre monde déboussolé.

De plus, Mme Levy se dit profondément choquée par des groupes de médecins ontariens qui soignent les enfants. Tous ces « bons » docteurs viennent de demander au Parlement canadien et à Justin Trudeau de modifier la loi sur l’euthanasie. Pour eux, « c’est maintenant nécessaire de permettre aux mineurs de se faire euthanasier, et ce, sans même en avertir leurs parents » ; ça ressemble beaucoup à l’avortement !

Laissez un commentaire Lire la suite

L’hôpital Sick Kids de Toronto envisage d’euthanasier des enfants avec ou sans le consentement de leurs parents



Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l'euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Un rapport récent de l’hôpital Sick Kids (traduction littérale : « hôpital pour enfants malades ») de Toronto indique qu’ils sont non seulement prêts à pratiquer l’euthanasie des enfants, mais que leur politique stipule qu’un enfant devrait pouvoir mourir par euthanasie sans le consentement ou la connaissance des parents. 

Selon un article de Sharon Kirkey pour Sun Media, l’hôpital Sick Kids de Toronto a publié sa politique sur l’euthanasie et l’assistance au suicide dans un article paru récemment dans le Journal of Medical Ethics. Selon Kirkey : 

Le groupe de travail de Sick Kids a déclaré que l’hôpital comptait des médecins disposés à effectuer l’euthanasie chez les jeunes de 18 ans et plus en phase terminale qui remplissaient les critères énoncés dans la loi fédérale, et qu’il serait contraire à son éthique de soins de devoir transférer ces jeunes dans un autre hôpital pour adultes qui leur était inconnu. Mais c’était la suggestion que l’euthanasie pourrait un jour avoir lieu sans la participation des parents qui a provoqué une nouvelle controverse dans le débat sur l’aide à la mort.

Pour qui l’hôpital Sick Kids croit-il que l’euthanasie peut être efficace et sans danger ?

Laissez un commentaire Lire la suite

La révolution sexuelle : un échec monumental


Photo : Modèle de pilule contraceptive, Europe, c. 1970 (Source : Wellcome Images)

Par Paul-André Deschesnes

Le 6 octobre 2018, une enquête très sérieuse du Journal de Montréal est dévoilée et nous donne un frisson dans le dos. La popularité de la pilule contraceptive est en chute libre en Occident, en France et au Québec.

À l’Université de Montréal, on a posé la question suivante aux étudiants et étudiantes : « Connaissez-vous quelqu’un qui a eu des problèmes avec la pilule ? » La moitié des répondants ont dit OUI !

Dans ce reportage, une dizaine de femmes témoignent avoir vécu l’enfer avec la « sainte » pilule. Une autre raconte la mort de sa fille qui croyait en la pilule « miracle ». Toutes les personnes rencontrées parlent d’effets secondaires comme maux de tête, gain ou perte de poids, acné, crampes menstruelles très douloureuses, étourdissements, douleurs tous azimuts, nausées, vomissements, fatigue chronique, changements d’humeur, baisse de la libido, état dépressif, etc. Plusieurs femmes affirment même avoir frôlé la mort. Voilà pourquoi elles lâchent la pilule, souligne le bureau d’enquête du Journal de Montréal.

Du côté des médecins, le message ne semble pas passer. On ne prend pas au sérieux toutes ces femmes, même quand elles subissent un cancer qui pourrait avoir été causé par ce petit bonbon, prescrit en quantité industrielle. Même de très jeunes filles utilisent la pilule pour faire plaisir à leur ami en mal d’une sexualité sans aucune contrainte.

Depuis près de 50 ans la pilule fait fureur en Occident. Pour les médecins, c’est un automatisme que de la prescrire, même si la sonnette d’alarme n’arrête pas de dire « attention » depuis deux décennies. Pour eux, la science médicale a fait ses preuves. Les mouvements féministes qui ont encouragé les femmes à se libérer sexuellement avec la pilule gardent aujourd’hui un profond silence, même si les risques sont de plus en plus nombreux.

Laissez un commentaire Lire la suite