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Pour Julie Miville-Dechesne, présidente du conseil du statut de la femme, le choix est entre la contraception et l'avortement...

Sur le site de genethique.org du 2 avril 2013:

 

(Julie Miville-Dechêne, présidente du "Conseil du statut de la femme")

 

 

 Depuis le 31 mars 2013, les modes de contraception sont gratuits pour les mineures: "les jeunes filles de 15 à 18 ans peuvent désormais obtenir gratuitement en pharmacie une pilule de première ou deuxième génération, un stérilet ou un implant hormonal", sous deux conditions: "obtenir une ordonnance chez un médecin puis, à la pharmacie, présenter la carte Vitale de leurs parents ou une attestation d'affiliation à un régime de Sécurité sociale". Jusqu'à cette date, ces moyens de contraception étaient remboursés à hauteur de 65%. En revanche, cette gratuité ne concerne pas les pilules de 3è et 4è génération, déremboursées depuis le 31 mars, en raison des risques sanitaires. Il en est de même pour l'anneau vaginal, le préservatif ou le patch contraceptif, qui ne font pas l'objet de remboursement.

Si l'avortement est également remboursé en totalité depuis le 31 mars dernier, sa gratuité ne fait pas l'unanimité au sein du corps médical. Ainsi, contactée par le quotidien Metro, une gynécologue exerçant en hôpital public estime que rendre l'avortement gratuit présente un risque de « banalisation de cet acte médical ». Elle ajoute : « de nombreuses femmes sont tentées de croire que l'IVG est une solution contraceptive en soi, et reviennent régulièrement dans nos services pour subir un avortement ».

Ce qu’elle pourrait ajouter, c’est que la majorité des avortements en France sont effectués sur des personnes qui utilisaient une forme ou une autre de contraception. L’avortement est la contraception de dernier recours, celle qui est utilisée lorsque toutes les autres ont échoué. Le journal de Montréal du 2 avril rapporte ces commentaires:

« Si la France rend gratuit l’accès à la contraception pour les jeunes femmes, c’est surtout dans l’espoir d’éviter le recours à l’avortement.

Pas de doute pour plusieurs, il s’agit de la voie à suivre pour y arriver. “On considère que la meilleure façon de prévenir l’avortement, c’est d’augmenter l’accès à la contraception”, résume Julie Miville-Dechesne, présidente du Conseil du statut de la femme. »

Pas un mot sur la possibilité de l'adoption, ni sur les morts et les accidents dus à la pilule contraceptive de 3e, 4e, mais aussi 2e génération. Encore une fois, Mme Miville-Dechêne préfère quelques décès sans importance au choix de prendre des mesures qui entraveraient une sexualité vécue sans cet engagement né d'un amour pour la vie. Elle avait relativisé de la même façon la gravité de l’avortement sélectif au Canada. Peu importe que quelques enfants soient éliminés parce qu’elles sont des filles. Il faut absolument qu’il n’y ait aucune restriction sur l’avortement, car un avortement est toujours exécuté pour une raison valable puisque la décision ultime est prise par une femme.  

Le marxisme-féminisme québécois est l’une de ces folles idéologies qui coûtent la vie à des, on peut le dire après 40 années d’avortements, des millions d’enfants. Celui qui est une entrave à l’idéologie obscurantiste marxiste-féministe ne peut posséder le titre d’être humain. Surtout, pas de motion Woodworth sur l’apport de la science sur cette problématique, n’est-ce pas Mme Miville-Dechêne?

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