Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : George Hodan/PublicDomainPictures
Et cela à cause de quoi ? À cause de la nouvelle loi qui a libéralisé l’avortement tardif dans tout l’État de New York. Extrait de LiveActionNews :
Jennifer Irigoyen, 35 ans, résidente de New York, et son enfant à naître ont été assassinés dimanche dernier. Les voisins l’ont entendue crier : « Il va tuer le bébé », et quand ils l’ont trouvée, elle a dit qu’elle connaissait son agresseur. Elle et son bébé, qui, selon la plupart des sources, était âgé de cinq mois, sont morts à l’hôpital. La police a passé des jours à chercher le [« ] petit ami [»] d’Irigoyen, Anthony Hobson, 48 ans. Hobson a été vu sur une vidéo de surveillance vers une heure du matin le dimanche, traînant Irigoyen, laissant derrière un jeune enfant, du couloir à l’extérieur hors de son appartement jusqu’à la cage d’escalier. Puis il l’a poignardée plusieurs fois au torse, au cou et à l’abdomen. Mais bien que le bébé à naître d’Irigoyen ait été « voulu » et n’était pas loin d’être considéré comme viable, Hobson sera seulement accusé de meurtre, et non en plus d’avortement au second degré pour la mort du bébé d’Irigoyen. Pourquoi ? En raison de la loi sur l’avortement de New York —The Reproductive Health Act (RHA).
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