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Mgr Viganò condamne sévèrement les cardinaux pro-LGBT Cupich, Gregory et Tobin, « indignes de célébrer la messe »


Mgr Carlo Maria Viganò.

Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie

8 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Dans une nouvelle entrevue écrite, exclusive, avec LifeSiteNews, l’ancien nonce des États-Unis, Mgr Carlo Maria Viganò, condamne la récente approbation par le pape François du prêtre promoteur de l’homosexualité, le P. James Martin.

« C’est un geste suicidaire par lequel les dirigeants de l’Église se capitulent inconditionnellement devant l’idéologie antichristique du mondialisme et livrent tout le troupeau du Christ en otage à l’Ennemi, abdiquant leur rôle de pasteurs et se montrant ce qu’ils sont vraiment : des mercenaires et des traîtres », a-t-il déclaré.

Il est « scandaleux envers Dieu, scandaleux pour l’honneur de l’Église, un sujet de grave scandale pour les fidèles et un abandon désolant pour les prêtres et les confesseurs qu’une voix puisse être donnée à un jésuite [le père James Martin] qui fonde son succès personnel non pas sur une action pastorale appropriée cherchant la conversion des homosexuels individuels quant à la moralité, mais sur la promesse illusoire d’un changement dans la doctrine catholique qui légitimerait le comportement peccamineux des gens » a déclaré Mgr Viganò,

L’ancien représentant du Vatican aux États-Unis, connu dans le monde entier pour avoir dénoncé la dissimulation des abus commis par l’ex-cardinal Theodore McCarrick, se révèle dans l’entrevue (texte intégral ci-dessous) comme un remarquable professeur de la foi, capable d’atteindre simultanément les simples et les érudits avec une vérité qui, bien que dure, est empreinte de charité.

Expliquant l’enseignement de l’Église sur le sujet délicat de l’homosexualité, Mgr Viganò a déclaré : « L’Église, fidèle à l’enseignement de son Chef [le Christ], est Mère et non marâtre : elle ne cède pas aux faiblesses et à l’inclination au péché de ses enfants, mais elle les réprimande, les exhorte et les punit par des sanctions médicinales afin de conduire chaque âme au but pour lequel elle a été créée, c’est-à-dire la béatitude éternelle. »

« Il faut montrer, avec une direction spirituelle patiente mais ferme, a-t-il dit, que chaque être humain a un destin surnaturel et un chemin de souffrances et de sacrifices qui le tempèrent et le rendent digne de sa récompense éternelle. Il n’y a pas de résurrection sans calvaire, pas de victoire sans combat ! »

« Cela est vrai, a-t-il ajouté, pour chaque âme rachetée par Notre Seigneur : aussi bien la personne mariée que le célibataire, le prêtre que le laïc, l’homme que la femme, l’enfant que le vieillard. »

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« La lutte contre sa propre nature corrompue par le péché originel nous unit tous : celui qui gère de l’argent doit lutter contre la tentation du vol, celui qui est marié doit lutter contre la tentation de trahir son conjoint, celui qui vit dans la chasteté doit lutter contre les tentations contre la pureté, celui qui mange de bons plats doit lutter contre la tentation de la gourmandise, et celui qui est exposé aux applaudissements publics doit lutter contre la tentation de l’orgueil. »

« Ainsi, avec humilité et confiance dans la Grâce de Dieu, et en ayant recours à l’intercession de la Vierge Immaculée, toute personne que le Seigneur met à l’épreuve ─ même dans la situation douloureuse de l’homosexualité ─ doit comprendre que c’est dans la lutte contre le péché que l’on conquiert sa place dans l’éternité. »

Tandis que ses mots pour ceux qui luttent contre les tendances au péché étaient clairs, fermes et aimants, son commentaire sur les bergers qui induisent les brebis en erreur était sévère.

Viganò a fait l’éloge des pasteurs qui, par charité, utilisent la discipline pour rappeler les catholiques égarés à la vérité en leur refusant la Sainte Communion : « Les pasteurs qui sont fidèles au mandat que leur a confié Notre Seigneur non seulement reconnaissent la situation du pécheur public mais ne souhaitent pas l’aggraver par la profanation du Saint Sacrement », a-t-il déclaré.

Cependant, a-t-il ajouté, les prélats qui prônent le contraire, « comme Cupich, Tobin, Gregory et leurs disciples » sont « encore plus rebelles » que les politiciens pro-avortement auxquels ils accordent la Sainte Communion et sont eux-mêmes « indignes de célébrer les Saints Mystères ».

Lisez ci-dessous l’entrevue complète et exclusive :

Viriliter agite, et confortetur cor vestrum.
Agissez virilement, et que votre cœur soit fortifié.

Ps 30:25

LifeSiteNews : Que pensez-vous du soutien du pape François au Père James Martin ?

Archevêque Viganò : L’idéologie LGBTQ+ et la théorie du genre qu’elle présuppose comme postulat représentent une menace mortelle pour toute notre société, la famille, la personne humaine, et aussi évidemment pour l’Église, parce qu’elles dissolvent le corps social, les relations entre ses membres, et le concept même de la réalité biologique des sexes, qui est arbitrairement changé en une perception subjective de soi, discutable et variable, basée sur le genre, de chaque personne. Beaucoup ne se rendent pas compte du chaos que cela provoquera non seulement dans les habitudes civiles et familiales, mais aussi dans les habitudes religieuses, dès que la reconnaissance du mouvement LGBTQ+ conduira inévitablement à ce que des personnes présentant ce que l’on peut définir comme une dysphorie de genre demanderont à être accueillies dans les paroisses et les communautés. Un exemple très significatif pourrait être le cas d’un homme ordonné prêtre qui, à un moment donné, croit s’identifier à une femme : faut-il se préparer à l’éventualité de voir la messe célébrée par un transsexuel ou un travesti ? Et comment concilier l’existence persistante du chromosome masculin — qui définit indéfectiblement la matière du sacrement de l’ordre — avec les apparences d’une femme ? Que penser du cas d’une religieuse qui, développant une perception masculine d’elle-même, demande à être transférée dans une communauté religieuse d’hommes et peut-être même à recevoir le sacrement de l’Ordre ? Ce délire, dont les conséquences sont absurdes et inquiétantes dans la sphère civile, s’il était appliqué à la sphère religieuse, infligerait un coup mortel au corps ecclésial déjà torturé.

Nous devons nous interroger sur les raisons qui ont conduit une personnalité comme James Martin, S.J., à jouir d’une telle notoriété et d’une telle visibilité dans la sphère ecclésiale et même dans les institutions romaines, en recevant une nomination comme Consulteur du Dicastère pour les Communications et en étant récemment le destinataire d’une lettre manuscrite de Bergoglio. Son engagement ostentatoire en faveur du mouvement pan-sexualiste offre effectivement un soutien réfléchi et acritique à une série illimitée de variations et de perversions sexuelles. Cette adhésion a priori n’est pas l’excès déplorable d’un seul jésuite mais représente l’action planifiée d’une avant-garde idéologique qui s’est déjà révélée incontrôlable et capable d’orienter le « Magistère » même de Bergoglio et de sa Cour.

L’idéologie LGBTQ+ constitue le nouveau paradigme moral de la religion mondialiste de l’indistinct, dont la matrice est clairement gnostique et luciférienne. L’absence de dogmes révélés surnaturellement sert de prémisse à un superdogme post-humain, dans lequel la Foi est pervertie en une acceptation inconditionnelle de toutes sortes d’hérésies et de dépravations, l’Espérance se dissout dans la revendication absurde d’un salut déjà garanti hic et nunc, et la Charité est corrompue en une solidarité horizontale privée de sa référence ultime en Dieu. L’activisme du jésuite Martin préfigure le ministère arc-en-ciel de l’ère du Verseau, la religion de l’Antéchrist et le culte des idoles et des démons, à commencer par l’immonde Pachamama.

Pour cette raison, l’indécente et scandaleuse approbation bergoglienne des provocations aberrantes de James Martin n’est qu’un pas de plus sur un chemin qui a commencé avec son célèbre « Qui suis-je pour juger ? » en parfaite cohérence avec la ligne de « rupture » de ce « pontificat ». Il s’agit d’un geste suicidaire par lequel les dirigeants de l’Église capitulent inconditionnellement devant l’idéologie antichristique du mondialisme et livrent tout le troupeau du Christ en otage à l’Ennemi, abdiquant leur rôle de Pasteurs et se montrant pour ce qu’ils sont vraiment : des mercenaires et des traîtres. Scandalisés, nous assistons à la transition de « argue, obsecra, increpa, insta opportune importune » — « réprouve, supplie, réprimande, insiste à temps et à contretemps » (2 Tim 4:2) — à « loquimini nobis placentia » — « dis-nous des choses agréables » (Is 30:10).

Il n’est donc pas surprenant que James Martin jouisse d’une telle appréciation dans les plus hautes sphères du Vatican, qui, selon la méthodologie en vigueur depuis Vatican II, laisse le champ libre aux représentants les plus agités des courants progressistes et adopte ensuite la dialectique hégélienne qui fait intervenir la thèse de la morale naturelle et catholique, l’antithèse des déviations doctrinales et la synthèse d’un nouveau magistère en phase avec son temps.

Cette façon de procéder, qui peut sembler à certains une mise à jour prudente de la mentalité sécularisée de notre époque, révèle néanmoins une trahison abyssale de l’enseignement du Christ et de la loi imprimée en l’homme par son Créateur. Une plus grande licence dans le vice ─ largement souhaitée et promue par l’idéologie anti-chrétienne dominante d’aujourd’hui ─ ne légitime en aucune façon ce déni, de la part de la Hiérarchie, du commandement qu’elle a reçu de Notre Seigneur, ni ne peut autoriser des opérations d’adultération qui visent uniquement à satisfaire l’esprit mondain et la corruption des mœurs. Au contraire, plus le courant dominant pousse à l’annulation des principes immuables de la morale catholique, plus les pasteurs ont le devoir d’élever la voix pour réaffirmer sans hésitation ce que Dieu leur a ordonné de prêcher.

Je trouve donc qu’il s’agit d’un outrage à l’égard de Dieu, d’un scandale pour l’honneur de l’Église, d’un grave scandale pour les fidèles et d’un abandon désolant pour les prêtres et les confesseurs qu’une voix puisse être donnée à un jésuite qui fonde son succès personnel non pas sur une action pastorale appropriée, cherchant la conversion des homosexuels individuels en ce qui concerne la Morale, mais sur la promesse illusoire d’un quelconque changement dans la doctrine catholique qui légitimerait le comportement peccamineux des personnes et accorderait la dignité d’interlocuteur aux mouvements dits LGBTQ+. La simple utilisation de cet acronyme, qui soutient les personnes en les identifiant mécaniquement dans leur perversion sexuelle contre nature spécifique, démontre une prostration de James Martin et de ses collaborateurs devant les exigences du lobby pan-sexuel, que l’Église ne peut absolument ni accepter ni légitimer.

En tout cas, si une grande partie du clergé est si impatiente de voir les exigences de l’idéologie LGBTQ+ endossées par la hiérarchie, cela est clairement dû à un conflit d’intérêts exécrable et à une crise morale et disciplinaire très profonde.

Est-il possible de changer l’enseignement de l’Église en ce qui concerne les unions homosexuelles, surtout si l’on considère que le Pape François a publiquement approuvé les unions civiles, qui dans le passé étaient condamnées par les documents magistériels du Vatican ?

Il faut préciser que les comportements contraires au sixième commandement du Décalogue, en particulier ceux qui concernent les désordres sexuels qui offensent le Créateur dans la distinction naturelle des sexes eux-mêmes et dans la finalité procréatrice de l’acte conjugal, ne peuvent faire l’objet d’aucune actualisation, pas même sous la pression de groupes de pouvoir ou de lois iniques promulguées par l’autorité civile.

Il faut également dénoncer sans hésitation la mentalité hédoniste et pan-sexualiste qui est à la base de l’idéologie dominante d’aujourd’hui, selon laquelle l’exercice de la sexualité n’est pas intrinsèquement ordonné à la procréation mais peut avoir pour seul but la satisfaction non réglementée du plaisir. Cette vision répugne à l’ordre naturel voulu par le Créateur, qui ne rend licite l’acte sexuel que dans l’union d’époux bénis par le Sacrement [du Mariage] et ouverts à la conception. Il est évident que, puisque la nature ne rend pas possible la procréation entre deux hommes ou deux femmes, toute forme de sexualité entre personnes du même sexe est intrinsèquement désordonnée et, en tant que telle, ne peut être justifiée d’aucune manière.

Les unions civiles ne sont rien d’autre que des formes de légitimation publique du concubinage dans lequel le couple n’assume pas les responsabilités et les devoirs liés à l’institution naturelle du mariage. Si l’autorité civile approuve de telles unions, elle abuse de sa propre autorité, que la Providence a instituée dans les limites très précises du bonum commune et jamais en contradiction directe avec le salus animarum sur lequel l’Église veille avec son autorité maternelle. Mais si de telles unions sont ratifiées par l’autorité ecclésiastique, la trahison du mandat divin s’ajoute à la perversion du but pour lequel le Législateur suprême l’a voulu, rendant de facto nulle et non avenue toute forme même implicite d’approbation officielle de comportements peccamineux et scandaleux.

Aux États-Unis, de nombreux évêques signent des lettres de soutien à l’identification comme LGBT et confirment cette orientation, tout comme d’autres — comme le cardinal Cupich — suggèrent que les couples homosexuels peuvent recevoir la Sainte Communion. Quel est votre message aux catholiques qui peuvent être déconcertés par de telles déclarations ?

Le pseudo-magistère de ces dernières années, en particulier celui d’Amoris Lætitia concernant l’admission aux sacrements des concubins publics et des divorcés, a ouvert une brèche dans cette partie du Magistère qui, même après Vatican II, avait été préservée de la démolition systématique par les innovateurs. Il n’est donc pas surprenant, même dans sa gravité absolue, qu’après avoir admis à la Sainte Communion des personnes en état de péché mortel, cette décision malheureuse soit ensuite étendue à des personnes qui n’ont pas la capacité de contracter des mariages légitimes, puisqu’elles ne sont pas un couple composé d’un homme et d’une femme. Mais à y regarder de plus près, cette vision hétérodoxe concerne également les hommes politiques qui, dans leur action de gouvernance et d’engagement social, contredisent publiquement l’enseignement catholique et trahissent l’engagement de cohérence qu’ils ont assumé avec leur baptême et leur confirmation. D’autre part, les soi-disant « catholiques adultes » — qui, aux yeux de Dieu, sont simplement rebelles à sa sainte Loi — trouvent une large approbation auprès d’évêques encore plus rebelles — comme Cupich, Tobin, Gregory et leurs disciples, qui sont eux-mêmes indignes de célébrer les Saints Mystères — tandis que les pasteurs fidèles au mandat que leur a confié Notre Seigneur non seulement reconnaissent la situation des pécheurs publics mais ne veulent pas l’aggraver par la profanation du Saint Sacrement.

Quel est l’enseignement essentiel et immuable de l’Église en ce qui concerne l’homosexualité ?

L’Église, fidèle à l’enseignement de son Chef [Jésus-Christ], est Mère et non marâtre : elle ne cède pas aux faiblesses de ses enfants et à leur inclination au péché, mais elle les avertit, les exhorte et les punit par des sanctions médicinales, afin de conduire chaque âme au but pour lequel elle a été créée, c’est-à-dire la béatitude éternelle. Toute âme, voulue et aimée de Dieu, a été rachetée par le Rédempteur sur la Croix, pour chacune Il a versé son propre Sang : Cujus una stilla salvum facere totum mundum quit ab omni scelere. Comme nous le lisons dans l’Adoro te devote, composé par le Doctor Communis, une seule goutte du très précieux Sang du Christ a le pouvoir de sauver le genre humain tout entier de tous ses péchés.

L’enseignement immuable de l’Église est simple, cristallin, inspiré par l’amour de Dieu et l’amour du prochain à cause de Lui. Il ne s’impose pas comme une castration cruelle des tendances et des orientations de la personne humaine ─ qu’elle défend irrationnellement comme légitimes ─ mais plutôt comme un développement aimant et harmonieux de l’individu vers le seul but qui peut le combler complètement et qui correspond à l’essence intime de sa nature. L’homme est né pour aimer, adorer et servir Dieu, et atteindre ainsi la béatitude éternelle dans la gloire du Paradis.

Lui faire croire qu’en assouvissant des instincts corrompus par le péché originel et ses péchés personnels, il peut en quelque sorte se réaliser loin de Dieu et contre Lui, constitue une tromperie coupable et une très grave responsabilité de la part de ceux qui abusent de leur rôle de bergers pour leurrer les brebis et les précipiter dans l’abîme.

Au contraire, il faut montrer, avec une direction spirituelle patiente mais ferme, que chaque être humain a un destin surnaturel et un parcours de souffrances et de sacrifices qui le tempèrent et le rendent digne de sa récompense éternelle. Il n’y a pas de Résurrection sans Calvaire, pas de victoire sans combat ! Ceci est vrai pour chaque âme rachetée par Notre Seigneur : la personne mariée et le célibataire, le prêtre et le laïc, l’homme et la femme, l’enfant et le vieillard. La lutte de chacun contre sa propre nature corrompue par le péché originel nous unit tous : celui qui gère de l’argent doit lutter contre la tentation du vol, celui qui est marié doit lutter contre la tentation de trahir son époux ou son épouse, celui qui vit dans la chasteté doit lutter contre les tentations contre la pureté, celui qui mange de bons plats doit lutter contre la tentation de la gourmandise, et celui qui est exposé aux applaudissements du public doit lutter contre la tentation de l’orgueil.

Ainsi, avec humilité et confiance dans la Grâce de Dieu, et en recourant à l’intercession de la Vierge Immaculée, toute personne que le Seigneur met à l’épreuve ─ même dans la situation douloureuse de l’homosexualité — doit comprendre que c’est dans la lutte contre le péché que l’on conquiert sa place dans l’éternité, que l’on fait en sorte que la Passion du Christ ne soit pas vaine, et que resplendit la splendeur de la Miséricorde de Dieu envers ses créatures, qu’Il aide au moment de la tentation — non pas avec l’approbation illusoire des inclinations au mal, mais en indiquant le destin glorieux qui attend chacun de nous : être admis aux Noces de l’Agneau en portant la robe royale qu’Il a préparée pour nous.

Puissions-nous être aidés dans ce pèlerinage terrestre par la Grâce retrouvée avec l’Absolution sacramentelle et la nourriture céleste de la Sainte Eucharistie, Pain des Anges et gage de la gloire future.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

3 juillet 2021
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