Mark Carney.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/cpac/YouTube
10 avril 2025, Calgary, Alberta (LifeSiteNews) — Le premier ministre Mark Carney a promis de poursuivre l’héritage libéral en promouvant la fourniture de bloqueurs de puberté stérilisants aux enfants, « sans exception ».
Au cours d’une conférence de presse tenue le 8 avril en Alberta, Carney a réaffirmé sa volonté de promouvoir l’agenda LGBT en s’engageant à protéger le soi-disant « droit fondamental » à des médicaments et à des chirurgies irréversibles pour les Canadiens confus du genre.
« L’accès aux soins de santé est un droit fondamental », a déclaré Carney aux journalistes environ 28 minutes après le début de la conférence de presse.
Les médias ont demandé s’il inclurait les « droits » des LGBT dans la loi canadienne sur la santé, compte tenu de la législation récemment adoptée par l’Alberta, qui empêche les mineurs de prendre des bloqueurs de puberté irréversibles ou de subir des opérations de « réassignation » sexuelle.
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Carney a répété qu’il défendrait le « droit fondamental » à l’accès aux médicaments et aux chirurgies de « transition de genre » « sans exception ».
« Le Canada est une mosaïque, les gens peuvent être qui ils sont, ils peuvent aimer qui ils aiment... L’accès aux soins de santé au Canada n’est pas une activité commerciale, c’est un droit fondamental, et nous le défendrons pour tous les Canadiens, sans exception », a-t-il déclaré.
LifeSiteNews a compilé une liste de professions médicales et d’experts qui mettent en garde contre les chirurgies « transgenres », avertissant qu’elles causent des changements irréversibles et des effets secondaires à vie.
En fait, outre qu’il est faux d’affirmer qu’il est possible de changer de sexe, les chirurgies et les médicaments transgenres ont été associés à des dommages physiques et psychologiques permanents, notamment des maladies cardiovasculaires, une perte de densité osseuse, des cancers, des accidents vasculaires cérébraux et des caillots sanguins, l’infertilité et le suicide.
Il existe également des preuves irréfutables que les personnes qui subissent une chirurgie de « transition de genre » sont plus susceptibles de se suicider que celles qui ne subissent pas d’intervention chirurgicale irréversible. Une étude suédoise a montré que le risque de suicide était 19,2 fois plus élevé chez les personnes ayant subi une opération de « réassignation sexuelle ».
Indépendamment des preuves scientifiques démontrant que les méthodes de transition de genre sont dangereuses, Carney semble vouloir poursuivre le programme LGBT radical de Justin Trudeau.
Au cours de sa première semaine de mandat, Carney a versé un total de 2 118 000 dollars à des groupes LGBT de l’Ontario et du Québec afin de lever les « obstacles systémiques à l’égalité » et de « lutter contre la discrimination sous toutes ses formes ».
Par ailleurs, la fille aînée de Carney, Sasha, s’identifie comme non binaire et a fréquenté la célèbre clinique britannique Tavistock spécialisée dans les questions de genre. Cette jeune femme de 24 ans, diplômée de Yale, est aujourd’hui une écrivaine qui plaide publiquement en faveur des procédures transgenres.
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