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Lutte à l'intimidation dans nos écoles, jusqu'à l'acceptation de la théorie du genre?

Mes souvenirs de la petite école ne sont pas joyeux. À l’époque du redoublement scolaire, une bande de « bums » dont le chef était pas mal plus âgé que le reste de la classe, faisait la loi. Avec l’intimidation qui en découle. Je me rappelle des bagarres et des surveillants qui ne faisaient pas grand-chose pour les empêcher.
Heureusement, nos jeunes enfants peuvent compter sur de nouvelles interventions dans nos écoles, pour bien faire comprendre que l’intimidation n’a pas sa place.
Malheureusement, ce n’est pas le seul message qui sera véhiculé. Lorsqu’on entend une conférence de Jasmin Roy dans les écoles, c’est à un discours sur « L’acceptation de la différence » à quoi l’on doit s’attendre,  Dans le journal La Tribune du 20 février 2012, on trouvait un court résumé de la conférence de Jasmin Roy:
« (Trois-Rivières) Le comédien Jasmin Roy, reconnu pour sa lutte contre l'intimidation, sera au Collège Laflèche le 15 mars prochain pour participer à un colloque organisé par le programme de technique en Éducation spécialisée. (…)
La conférence de M. Roy intitulée “Admettre la différence” traitera de plusieurs sujets d'actualité dont l'intimidation, l'homophobie, le rejet, la résilience et l'acceptation. »
L’acceptation… Qu’est-ce que l’acceptation vient faire dans le décor? Si l’on reprend la loi 56 visant à lutter contre l'intimidation et la violence à l'école, on mentionne au numéro 75.1:
« Ce plan a principalement pour objet de prévenir et de contrer toute forme d’intimidation et de violence à l’endroit d’un élève, d’un enseignant et de tout autre membre du personnel de l’école.
Le plan de lutte contre l’intimidation et la violence doit notamment prévoir, en outre des éléments que le ministre peut prescrire par règlement :
1° une analyse de la situation de l’école au regard des actes d’intimidation et de violence;
2° les mesures de prévention visant à contrer toute forme d’intimidation ou de violence motivée, notamment, par le racisme, l’orientation sexuelle, l’identité sexuelle, l’homophobie, un handicap ou une caractéristique physique; »
De quoi parle-t-on quand on parle d’acceptation de l’orientation sexuelle et de l’identité sexuelle? Parle-t-on du respect de la personne ou de l’acceptation de l’égalité des orientations sexuelles et des « identités » sexuelles, de la bisexualité au transgenre et autres selon ce que chacun peut se créer?
Si c’est le cas, il ne s’agit plus de lutte à l’intimidation, mais d’une lutte anthropologique sur ce qu’est un être humain sexué. Sa sexualité est-elle le résultat d’une adéquation d’une donnée biologique et psychologique, ou n’est-elle qu’un produit culturel construit par la volonté personnelle et influencée par la culture ambiante? Dans le deuxième cas, nous sommes clairement, sous prétexte de lutte à l’intimidation, dans une imposition violente d’une conception inhumaine et irréaliste de la sexualité, inspirée de la théorie du genre. Il n’est pas nécessaire d’avoir un long discours pour reprendre un étudiant et le forcer à admettre non seulement qu’il ne doit pas se moquer de son copain transgenre, mais que la raison pour laquelle il ne doit pas se moquer est que le mode de sexualité transgenre est tout aussi valable que l’hétérosexualité.
L’acceptation signifie plus qu’un refus de l’intimidation ou un respect des personnes. Il est acceptation d’une transformation de la compréhension de la sexualité humaine, selon une théorie du genre délirante.
C’est d’une profonde violence envers les enfants et un acte d’intimidation par l’appareil scolaire et gouvernemental. Encore une fois, un geste d’un gouvernement qui s’arroge le droit de remplacer les parents et de les endoctriner selon des conceptions falsifiées de la sexualité et de la nature humaine.

Est-ce que c'est cet enseignement que l'on tente de répandre partout à travers la province? Dans le journalLe Devoir du 24 septembre 2012, on pouvait lire:

Le projet-pilote de lutte contre la discrimination et la violence en milieu scolaire de la Fondation Jasmin Roy prend de l’ampleur : il s’étendra cette année à 12 écoles du Québec.

Des établissements francophones et anglophones de l’île de Montréal s’ajouteront notamment aux quatre écoles de Québec (L’Ancienne-Lorette, Saint-Sulpice, Grand-Mère et Val-Bélair) qui, l’an dernier, ont été les premières à affecter une personne-ressource à cette problématique pendant au moins une journée par semaine.
 

Ce projet-pilote, réalisé avec l’aide de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), vient en soutien à la Loi visant à prévenir et à combattre l’intimidation et la violence à l’école - aussi connue sous le nom de loi 56 - adoptée à l’unanimité par l’Assemblée nationale en juin dernier et qui doit être mise en oeuvre à compter de janvier 2013. (...)

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