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Les Nations Unies veulent 10 % du revenu annuel de la planète pour lutter contre le coronavirus


António Guterres.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Fondation de la conférence de Munich sur la sécurité (CC BY 3.0 DE), Wikimedia Commons

L’ONU a pour le moins de grandes ambitions… mondialistes. Selon LifeSiteNews :

Le secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a annoncé la création d’un fonds pour faire face à la pandémie mondiale de coronavirus : et il demande simultanément aux nations de donner au moins 10 % du revenu annuel de la planète entière, pour un vaste « plan de relance centré sur l’homme, novateur et coordonné » qui serait administré au niveau international.

Même si António Guterres ne l’indique pas explicitement, il semble relier le nouveau fonds, qu’il appelle « Fonds consacré à la réponse au COVID-19 et à la relance », au plan de relance massive, annonçant les deux mesures dans le même communiqué de presse.

Si les pays acceptaient le plan, les Nations Unies ou une agence de coordination similaire recevraient l’équivalent d’environ 8 700 milliards de dollars US, un montant sans précédent qui serait 2 900 fois supérieur au budget annuel de 3 milliards de dollars des Nations Unies.

Le plan proposé confierait effectivement à une agence mondiale, probablement l’ONU elle-même, la tâche de soutenir les économies du monde pendant la crise du coronavirus, en lui confiant 10 % du revenu mondial. 

M. Gutteres propose aussi que l’on verse quelque 100 milliards de dollars à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ainsi que l'organisme en question forme un réseau de santé mondial d'urgence pour les données, forces de travail et matériel médical.

Bien sûr, M. Gutteres ne perd pas de vue ses plans en matière d’avortement et de contraception :

Parmi les objectifs du plan, António Guterres inclut une « vigilance portée à la poursuite de prestations de services de santé sexuelle et reproductive, tels que l’accès aux contraceptifs sans ordonnance pendant la crise ».

Le terme « services de santé sexuelle et reproductive » est un euphémisme souvent utilisé par les organisations internationales pour désigner l’avortement et la contraception.

Le spécialiste de la question chinoise et en matière de population, Steven Mosher, dénonce la fourberie de l’ONU et de l’OMS :

Il note que « la santé sexuelle reproductive » en réalité « signifie imposer la contraception, la stérilisation et l’avortement aux peuples qui ne l’ont pas demandé », et ajoute que de telles priorités ont laissé les pays les plus pauvres sans préparation, face à la COVID-19.

« Si les cliniques des pays du tiers monde avaient été approvisionnées en médicaments au lieu d’abortifs et de contraceptifs, elles seraient bien plus capables de contrer la pandémie actuelle », déclare M. Mosher. « En autres termes, les programmes de contrôle de la population coûtent des vies. »

M. Mosher a également rejeté l’idée d’augmenter les fonds alloués à l’OMS, soulignant sa complicité dans la diffusion de fausses informations sur la pandémie.

« L’OMS, en répétant comme un perroquet la propagande chinoise, a contribué à la propagation de la pandémie. Même maintenant, ils continuent de prétendre que la Chine est un “modèle” sur la manière de contenir la pandémie », déclare Mosher à LifeSite. « Ils font partie du problème, pas de la solution ».

Le dixième du revenu mondial, la dîme…

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