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Les médias taisent la condamnation d’un drag « mom » pour 11 abus sexuels sur enfants

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie

25 avril 2023 (LifeSiteNews) — Le 26 octobre 2022, LifeSiteNews a couvert l’histoire d’une manifestation au Pub Old Nick à Eugene, dans l’Oregon. Les parents protestaient contre un événement mettant en vedette un drag queen de 11 ans dont le mentor, un « drag mom » nommé Kelsey Boren, qui travaille également au noir comme drag queen sous le nom de scène « Alwaiz Craving », avait récemment été arrêté pour des crimes d’abus sexuels sur des enfants. Le pub, qui porte le nom de Satan, a fait la promotion de l’événement avec le slogan suivant : « Vanellope est là pour vous montrer ce qu’un drag queen de 11 ans peut faire ».

Cette histoire a une suite. Boren, 31 ans, a plaidé coupable en mars de 11 chefs d’inculpation pour « incitation aux abus sexuels » au premier degré et a été condamné par le tribunal du comté de Lane à 330 jours de prison seulement, soit environ 30 jours par chef d’inculpation. Boren, qui postait fréquemment des photos de lui avec le jeune dragueur de 11 ans, était enseignant dans le district scolaire de Fern Ridge, avant d’être suspendu suite aux allégations.

Boren a été arrêté en août et la police a découvert qu’il avait téléchargé et échangé du matériel pédopornographique sur l’internet. Il a également été inculpé pour « utilisation d’un enfant dans le cadre d’un comportement sexuellement explicite », une accusation rejetée par le tribunal.

La condamnation de Boren jette un éclairage nouveau sur la manifestation qui s’est déroulée au Pub Old Nick. Boren a participé au spectacle de travestis en octobre 2022 et a été défendu par des sympathisants qui ont crié aux manifestants « rentrez chez vous, nazis », et ont déployé une banderole sur laquelle on pouvait lire « Protégez les jeunes transgenres ». Si l’on considère que l’un des drag queens était un véritable prédateur qui avait déjà été arrêté et inculpé plusieurs mois auparavant pour avoir téléchargé et transféré de la pornographie enfantine, il semblerait que les manifestants étaient incontestablement dans leur bon droit et les seuls présents à vouloir protéger les jeunes.

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Le Pub Old Nick, quant à lui, a affirmé que les réactions négatives faisaient simplement partie d’un « programme ciblé » visant à « faire avancer la législation anti-LGBTQ » et que « l’idée que [le travestissement] est intrinsèquement sexuel est une forme d’intolérance ». Ils n’ont pas expliqué ce que Kelsey « Alwaiz Craving » Boren entendait par son nom de scène, ni quand les spectacles de drag-queens sont devenus une performance artistique asexuée.

Cette histoire est importante, car, une fois de plus, la critique de ces spectacles s’est avérée juste et, une fois de plus, ce fait est ignoré. Les médias sont prompts à couvrir les manifestations contre les travestis et à traiter les manifestants de fanatiques. Ils ne sont pas aussi empressés de publier des articles de suivi qui prouvent que les préoccupations des manifestants sont valables. À ce jour, seuls deux organes de presse ont couvert la condamnation de Kelsey « drag mom » Boren : le New York Post et le Daily Mail britannique. Pour le reste de la presse, c’est le silence.

Je lis chaque semaine trois ou quatre articles condamnant tous ceux qui s’opposent aux spectacles de travestis pour enfants comme d’intolérants ignorants, et nombre de ces articles sont publiés par les propagandistes de service des radiodiffuseurs publics, financés par les contribuables qu’ils calomnient. L’affirmation selon laquelle les spectacles de travestis ne sont pas sexuels est tellement ridicule qu’il s’agit clairement d’une manœuvre de détournement cognitif — lisez les premiers paragraphes de l’article de Wikipédia sur les travestis. Ce jeu détruit le peu de crédibilité qui reste aux médias, car les parents savent que les spectacles de travestis ont toujours été considérés comme des divertissements pour « adultes », quel que soit le nombre d’articles insidieux publiés qui prétendent le contraire.

Si un éminent critique de l’Heure du conte des Drag Queens était arrêté, inculpé et condamné pour distribution de matériel pédopornographique, il y a fort à parier que tous les grands organes de presse couvriraient l’affaire — et je ne les en blâmerais pas. Mais lorsque les critiques d’un événement drag queen organisé dans un pub portant le nom de Satan identifient correctement un artiste drag queen — qui en plus se vante d’être le mentor d’un drag queen de 11 ans — comme étant un agresseur sexuel d’enfants, c’est le silence.



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