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Les médecins disaient que ce bébé né à 24 semaines et 2 jours de grossesse ne marcherait jamais


Francesca Bradley-Curran

Par Right to Life UK (LifeNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie

Une fillette née seulement 2 jours après la date limite de l’avortement légal [en Grande-Bretagne] se porte très bien maintenant et va même à la maternelle. Francesca Bradley-Curran vint au monde après 24 semaines et deux jours de grossesse, pesant 1lb et 6 oz, son pied pas plus gros qu’un penny. Les médecins dirent aux parents, Victoria Bradley et Paul Curran que même si leur fille survivait, elle ne pourrait ni marcher ni parler.

Elle est maintenant à mi-chemin de sa première année de maternelle et l’on peut dire que Francesca, 4 ans a su l’emporter haut la main contredisant ainsi les pronostics défaitistes à son sujet. « Les docteurs nous avaient dit que même si elle survivait qu’elle ne marcherait jamais et ne pourrait jamais parler ». Et sa mère Victoria d’ajouter : « À partir du moment où elle ouvrit les yeux, elle est devenue une vraie boule d’énergie. C’est fou de penser que les médecins nous aient dit qu’elle n’aurait aucune chance de marcher, de parler alors qu’en fait maintenant on ne peut même pas la garder assise tranquille. Je discute avec des mères de prématurés et leur bébé reste encore très petit, mais ma Francesca, elle, porte du 6-8 ans et a une excellente vision ! »

Mais il faut savoir qu’avant même de pouvoir quitter l’hôpital après sa naissance, Francesca dut combattre une méningite, une pneumonie, trois épisodes de septicémie ; elle eut les poumons collabés [affaissés], une insuffisance rénale aiguë, 16 transfusions sanguines et une chirurgie laser pour ses yeux. C’était en 2017, et elle fit la une des journaux avec cette photo prise par ses parents avec le penny près de ses pieds, qui étaient de la même taille que la pièce de 20mm.

« Chaque jour je la regarde aller et elle marche, un vrai miracle ». Sa fille a grandi et est rendue à un âge ou elle peut maintenant se voir en vidéo quand elle était bébé. « Elle vit combien elle était petite, mais dans un autre vidéo, celui avec le penny, alors là, elle réalisa combien elle était vraiment minuscule et malade ». « Elle vit une autre vidéo où on l’appelle bébé au pied de la taille d’un penny et me demanda “pourquoi pensent-ils que j’ai un pied-penny”. Je lui ai expliqué que nous avions mis un penny à côté de ses pieds quand elle est née et qu’elle s’était allongée à côté du penny, je pense que ça lui a fait réaliser à quel point elle était vraiment petite. Même moi, j’ai du mal à me souvenir à quel point elle était petite. »

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Naître avant la date limite

Les progrès de la technologie médicale permettent à de plus en plus de bébés nés prématurément de survivre. En octobre 2020, un bébé est né en Écosse presque deux semaines en dessous de la limite d’avortement et survécu. Sofia Viktoria Birina ne pesait que 500 g et fut envoyée chez elle le mois dernier avec ses parents.

Catherine Robinson, porte-parole de Right To Life UK, a déclaré : « Le nombre de bébés nés juste après et peu avant la limite légale de l’avortement au Royaume-Uni ne cesse d’augmenter ».

« Cette histoire met en lumière une véritable contradiction dans la loi britannique. Dans une pièce d’hôpital des médecins pourraient être en train de sauver un bébé né vivant avant 24 semaines, tandis que dans une autre pièce, un médecin pourrait être en train de pratiquer un avortement qui mettrait fin à la vie d’un bébé du même âge. Assurément, cette contradiction doit cesser. »

« Un sondage indépendant réalisé par Savanta ComRes montre que 70 % des femmes au Royaume-Uni souhaitent que le délai d’avortement soit réduit à 20 semaines ou moins. Notre délai d’avortement actuel est très éloigné de celui du reste de l’Europe, où le délai d’avortement le plus courant est de 12 semaines ».

« Des bébés comme Francesca et Sofia sont la preuve vivante que cette loi est injuste qui permet que des bébés étant à un âge gestationnel très similaire fussent avortés s’ils sont dans l’utérus, mais de recevoir des soins médicaux appropriés s’ils sont hors de l’utérus ».

« Cette histoire ne fait que renforcer la nécessité que le Parlement revoie de toute urgence notre délai d’avortement actuel. Nous soutenons toute modification de la loi qui contribuerait à réduire le nombre d’avortements et à sauver la vie des bébés dans l’utérus ».

« Il est temps que nos lois soient mises en conformité avec l’opinion publique, la science moderne et le reste de l’Europe ».



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