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Les médecins de la conférence Stop the Shot : les femmes enceintes ne devraient jamais se faire vacciner au covid

Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie

Vendredi 20 août 2021 (LifeSiteNews) — Depuis près d’une décennie, les scientifiques savent que les vaccins à ARNm mettent en danger la fertilité.

Des recherches menées dès 2012 montrent que la technologie qui sous-tend les injections expérimentales de COVID-19 peut entraîner des problèmes critiques de fertilité et de grossesse, a déclaré le Dr Elizabeth Lee Vliet lors de la deuxième conférence « Stop the Shot ». La réunion en ligne a été diffusée en continu le 19 août par LifeSiteNews.

Vliet, la présidente de Truth for Health Foundation [Fondation vérité pour la santé], et d’autres médecins et experts médicaux se sont réunis à nouveau hier pour discuter de recherches scientifiques datant de 2012 et 2018, redécouvertes et évaluées par les pairs. Ils ont également présenté de nouvelles preuves, provenant de lanceurs d’alerte, qui montrent que la technologie sous-jacente aux injections expérimentales de COVID-19 nuit à la fertilité et à la grossesse. Personne d’autre ne l’a signalé au public.

Lors de son discours d’ouverture, Mme Vliet a mis en avant une étude évaluée par des pairs datant de 2018, selon laquelle les nanoparticules, utilisées dans la technologie des piqûres d’ARNm, « peuvent perturber les niveaux d’hormones sécrétées, entraînant des changements dans le comportement sexuel », car les nanoparticules « peuvent traverser la barrière sang-testicule, la barrière placentaire et la barrière épithéliale, qui protègent les tissus reproducteurs ».

Voici l’un des nombreux effets possibles [du vaccin] : les cellules immunitaires humaines se retrouveront « entraînées à attaquer » une protéine absolument vitale pour une grossesse réussie, a averti Mme Vliet, « ce qui pourrait causer des fausses couches, des malformations congénitales et de l’infertilité » après la vaccination anti-covid.

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et fervent critique des vaccins expérimentaux actuellement disponibles, a souligné que, pour de bonnes raisons scientifiques et médicales, « nous ne donnons jamais de traitements médicaux expérimentaux aux femmes enceintes ».

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Il a fait remarquer que la thalidomide, un médicament utilisé autrefois pour traiter les nausées matinales des femmes enceintes et qui a entraîné des malformations congénitales chez les enfants, « a servi de leçon à tout le monde ». Au cours des six décennies qui ont suivi les ravages causés par la thalidomide, « nous avons vraiment pris soin de conseiller aux femmes de ne pas prendre de médicaments que nous ne comprenons pas pendant la grossesse ».

Bien que les gouvernements aient fait la publicité des vaccins COVID comme étant sans danger pendant la grossesse, Yeadon a fait valoir qu’« ils n’existent pas depuis assez longtemps pour que ce soit le cas et que les [fonctionnaires] aient évalué [cela] ». De plus, « ils n’ont fait aucune étude », a-t-il ajouté.

Mais Yeadon a indiqué que la situation est pire que l’ignorance des autorités. Selon lui, les autorités savent que les vaccins COVID-19 peuvent causer des problèmes de fertilité et de procréation, et pourtant elles continuent à conseiller aux femmes enceintes de les prendre.

Comme Vliet, Yeadon a attiré l’attention sur la recherche portant sur les nanoparticules lipidiques qui « entourent les vaccins Pfizer et Moderna ». Ces particules « s’accumulent dans les ovaires des rats », selon un rapport publié par Pfizer en réponse à une demande de liberté d’information.

Le rapport « montre très clairement que les nanoparticules lipidiques s’accumulent au moins vingt fois plus [dans les ovaires] par rapport aux autres tissus », a déclaré Yeadon.

« Personne n’a évalué quelles en sont les conséquences ».

Citant un article de 2012 sur la recherche de l’effet des nanoparticules sur les ovaires, Yeadon a déclaré que les chercheurs ont postulé comme résultat un « risque de toxicité latente chez les humains ».

« Cela signifie qu’ils le savent depuis 9 ans », a-t-il déploré, ajoutant qu’il a vérifié « avec des collègues qui travaillent dans le domaine spécialisé de la formulation » chez Pfizer : ceux-ci disent que « c’est un problème... les nanoparticules lipidiques se concentrent dans les ovaires ».

Bien que les recherches sur la toxicité des nanoparticules aient été menées sur des souris et des rats, Yeadon a fait valoir qu’il faut présumer que les humains, également des mammifères, courent un risque similaire.

« Si quelqu’un veut me persuader qu’elles ne se concentrent pas dans les ovaires humains, il va devoir me fournir des données », a-t-il déclaré.

En outre, Yeadon a expliqué que la protéine « spike » générée à la suite des vaccins COVID peut forcer la création d’anticorps contre le placenta, ce qui signifie que le corps attaquera essentiellement l’organe chargé de nourrir l’enfant à naître dans l’utérus. Mme Vliet a précisé que l’interférence avec le placenta est une « cause connue de fausses couches ».

Le Dr Raphael Stricker, spécialiste des problèmes immunitaires qui entraînent des complications et des pertes de grossesse, a révélé qu’un livre blanc [c’est-à-dire un guide d’information] sur le vaccin développé par Moderna mettait en évidence une réduction de 16 % de la fertilité chez les rats ayant reçu l’injection. Cette réduction de la fertilité n’a pas été signalée à l’époque, a expliqué Stricker, car « le seuil de notification des problèmes de fertilité est une diminution de 25 % ». Comme elle n’était que de 16 %, Moderna n’a pas eu à signaler cette découverte.

« Les rats sont probablement les animaux les plus fertiles de la planète », a ajouté Stricker, avertissant que ces données constituent donc « un gros drapeau rouge » concernant la fertilité humaine.

Le Dr Richard Blumrick, spécialiste de la médecine materno-fœtale, a expliqué que, bien que le coronavirus, contracté naturellement, ne semble pas traverser la barrière placentaire, les vaccins développés avec de l’ARNm pourraient en être capables, ce qui expose les personnes vaccinées à un risque accru de complications en matière de fertilité par rapport à celles qui contractent le COVID-19 sans avoir été vaccinées.

« Ce vaccin utilise de l’ARNm entouré d’une sphère lipidique, dont les lipides se mélangent maintenant aux membranes cellulaires », a expliqué Blumrick. Il a déclaré que « ces vecteurs lipidiques sont susceptibles de traverser le placenta » et, par la suite, de « s’accumuler dans le cerveau » [de l’enfant à naître].

Les bébés n’ont pas de système immunitaire actif pendant qu’ils sont dans l’utérus, a poursuivi Blumrick, ce qui expose l’enfant à l’accumulation de protéines non métabolisées dans son cerveau et lui fait courir le risque de présenter des troubles cognitifs à long terme, y compris l’autisme.

Commentant les effets des vaccins expérimentaux, le Dr Roger Hodkinson, PDG de Western Medical Assessments, s’est plaint que la poursuite des injections est « complètement folle ».

« Je suis furieusement agacé par les risques auxquels nous soumettons les femmes enceintes, et les jeunes femmes qui pourraient souhaiter être enceintes à l’avenir, ainsi que leurs maris », a-t-il ajouté.

Lorsque le vaccin est administré, « il est censé créer une protéine “spike” à laquelle votre corps réagit, en théorie, par une réaction immunitaire », a déclaré Hodkinson. « Nous savons maintenant qu’il ne protège pas beaucoup contre une infection par le COVID-19 ».

Ce diplômé de l’université de Cambridge a expliqué que la protéine se lie au récepteur ACE-2 présent sur le virus du SRAS-CoV-2. Le récepteur ACE-2 est aussi « largement distribué dans le corps », a déclaré Hodkinson, « mais il est particulièrement concentré... à l’intérieur de chaque vaisseau sanguin, des ovaires et des testicules ». Cela est important, car la protéine « spike », en se liant au récepteur, peut déclencher un processus inflammatoire « qui fait coaguler le sang » et peut même provoquer une « destruction cellulaire ».

Certaines personnes produisent des quantités beaucoup plus élevées de la protéine « spike » que d’autres après le vaccin COVID, ce qui les rend particulièrement sujettes aux caillots sanguins, a déclaré Hodkinson.

En ce qui concerne la grossesse, « les vaisseaux sanguins qui tapissent l’endomètre vont être attaqués après le vaccin par un produit génétique expérimental », a-t-il prédit.

« Des thromboses vont se produire, des saignements vont se produire sur la paroi de l’utérus... l’endomètre est détruit ».

Par conséquent, Hodkinson craint que « de nombreuses femmes » fassent une fausse couche dans les premiers stades de la grossesse à la suite de la piqûre, peut-être sans savoir qu’elles étaient enceintes en premier lieu.

En plus des fausses couches précoces, les anticorps contre la protéine « spike » « réagissent de manière croisée avec certaines protéines critiques du placenta ». Une attaque contre la protéine placentaire met la grossesse en danger, a noté Hodkinson.

Soumettre les femmes enceintes à ces vaccins expérimentaux est « l’attaque la plus scandaleuse contre l’humanité », a déclaré le médecin.

« Bien qu’ils connaissent ces graves conséquences, ils continuent de le faire aujourd’hui », a-t-il poursuivi.

« C’est l’un des épisodes les plus dégoûtants de l’histoire de la médecine. J’en suis absolument consterné. Nous devons arrêter la piqûre maintenant ! »

La première conférence « Stop the Shot » a été organisée par Truth for Health Foundation et diffusée en direct par LifeSiteNews le 4 août 2021.



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