Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : YouTube
Les athlètes « femmes transgenres », hommes prétendant être des femmes et étant plus ou moins passés par la panoplie de « traitements » pour paraître comme telles, surpassent les athlètes féminins lors de compétitions alors qu’on permet aux premiers de concourir avec les secondes. Il s’en suit que les athlètes féminins s’en plaignent (à juste titre) et mettent en évidence qu’il y a quelque chose qui cloche dans le transgenrisme quand il en vient à des applications pratiques. D’ailleurs, une nouvelle étude publiée dans le Journal of Medical Ethics démontre, quoiqu’avec un drôle de charabia, que ces hommes féminisés (mais toujours hommes) conservent un avantage physique dû à leur nature. Extrait de LifeSiteNews :
Des recherches antérieures ont montré que « les jeunes hommes en bonne santé ne perdent pas de masse musculaire significative (ou de puissance) lorsque leur taux de testostérone circulant a été réduit à (selon les normes du Comité international olympique) pendant 20 semaines », affirme l’étude selon le Daily Caller. De plus, « les effets indirects de la testostérone ne seront pas altérés par l’hormonothérapie. »
« Par exemple, l’hormonothérapie ne modifiera pas la structure osseuse, le volume pulmonaire ou la taille du cœur de l’athlète transfemme, surtout si elle a transité après la puberté, de sorte que les avantages naturels, y compris les articulations, le débit systolique et l’assimilation maximale d’oxygène, seront préservés, » ont-elles précisé.
« De plus, la perte de masse musculaire pourrait être compensée par un entraînement ou d’autres méthodes ergogènes », ont noté les chercheurs. « De plus, le phénomène de la mémoire musculaire signifie que la masse et la force musculaires peuvent être reconstituées à l’aide d’exercices de force, ce qui facilite la récupération de la masse musculaire plus tard dans la vie, même après de longues périodes intermédiaires d’inactivité et de perte de masse.
Les conclusions sont cohérentes avec celles d’organisations comme l’USA Powerlifting, qui affirme que » les hommes ont naturellement une structure osseuse plus grande, une densité osseuse plus élevée, un tissu conjonctif plus fort et une densité musculaire plus élevée que chez les femmes. Ces caractéristiques, même avec des niveaux réduits de testostérone, ne disparaissent pas. Bien que les transgenres [de transition homme à femme] puissent être plus faibles et moins musclés qu’autrefois, leurs bénéfices biologiques innés restent supérieurs à ceux des femmes. »
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