M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Le thème de la journée internationale de « l'homophobie » au Québec : « J'aime mes deux papas! » Mais où est maman?...

(Manifestation monstre à Paris contre le « mariage » gay avec pour thème : « Tous né d'un homme et d'une femme »)

(À droite sur la photo, l'un des porte-parole de la manifestation, Xavier, du collectif des personnes homosexuelles contre le « mariage gay » et « l'homoparentalité, Homovox)

(photo : Mon_Tours sur flickr.com, licence creative commons)

Nous invitons d'abord nos lecteurs à relire les critiques sérieuses qui seront passées sous silence dans cette campagne pour défendre l'« homoparentalité » : L'homoparentalité dénoncée par des scientifiques : "les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis."  En voici un extrait :

« Le lobby homoparental s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés [1]». L’auteur de cette charge sans concessions ne saurait laisser nos responsables politiques indifférents au moment où ils s’apprêtent à ouvrir l’adoption, voire l’assistance médicale à la procréation, aux personnes homosexuelles. Maurice Berger est en effet professeur de psychopathologie de l’enfant, chef de service de psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne et membre de plusieurs commissions interministérielles concernant la protection de l’enfance. (...)

Bien sûr on ne trouvera pas les critiques des spécialistes du développement de l'enfant dans la campagne du lobby gay :

Montréal, le 21 février 2014 - La Fondation Émergence dévoile aujourd’hui le visuel de sa campagne de lutte contre l’homophobie 2014. Dans le cadre de cette campagne, l’organisme démystifie l’homoparentalité afin de réduire les préjugés envers les enfants qui grandissent au sein de familles formées de parents de même sexe. (...)

Sous le thème J’aime mes deux papas / J’aime mes deux mamans, le visuel de la campagne présente des enfants souriants et fiers de leur famille. Ce sont des enfants comme les autres, à l’exception du regard que porte parfois la société sur l’homosexualité et, par association, sur leur famille.

Un discours sans fondements scientifiques. Par contre l'étude la plus rigoureuse à ce jour, qui vient discréditer toutes les caricatures d'études faites pour justifier « l'homoparentalité » arrive à des conclusions diamétralement opposées :

Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir de 40 critères sociaux et émotionnels[3]. Les résultats les plus positifs concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins de drogues que les autres.

A l’inverse, les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis avec une augmentation statistique inquiétante des dépressions dans leur groupe. Les adultes interrogés disent également avoir été plus souvent victimes d’abus sexuels (23% contre 2% chez les enfants issus de couples hétérosexuels mariés) et souffrent plus de précarité économique (69% dépendent de prestations sociales pour 17% de ceux élevés par leurs père et mère)[4].

On a hâte de voir inclus dans la campagne de la fondation Émergence un discours qui ne soit pas une tentative d'émouvoir sans regarder les faits :

Après analyse de l’ensemble des réponses, la conclusion du professeur Mark Regnerus est imparable : le modèle familial reposant sur l’ « union conjugale stable du père et de la mère biologique » – lequel ressemble de plus en plus à une « espèce menacée » (« like an endangered species ») ajoute-t-il avec un brin de malice –, demeure « l’environnement le plus sécurisé pour le développement de l’enfant »[6]. Toute autre combinaison, selon l’universitaire américain, porte préjudice à moyen et long terme à l’équilibre émotionnel de l’enfant, quelles que soient par ailleurs les qualités humaines et éducatives des homosexuels que personne ne conteste. S’engager dans cette voie reviendrait en effet à heurter de front le principe reconnu par la Convention internationale de l’ONU sur les droits de l’enfant selon lequel l’intérêt supérieur de celui-ci, partie la plus faible et sans défense, doit toujours passer avant toute autre considération.(...) 

Fait à noter, vos économies servent à financer cette campagne. En effet, le gouvernement du Québec, la Ville de Montréal, les Caisses Desjardins, la Banque Nationale, parmi les médias et syndicats, sont parmi les commanditaires du lobby Émergence.

À toutes ces folies, il nous faut poser que deux questions. - Aux deux papas : Où est maman? - Aux deux mamans : où est papa?

Non, une béquille pour remplacer un père ou une mère absents par le choix des personnes qui nous éduquent, ne sera jamais la même chose...

Publicité
Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !



Laissez un commentaire