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Le Québec et le Canada ont besoin de Dieu


Source: Shutterstock

Il y a 60 ans, le Québec par ses élites a rejeté le christianisme. S’est ensuivi un tsunami d’avortements (moins de 1000 par an en 1971, aujourd’hui, 30 000 par an), de divorces (pour chaque 100 mariages dans une année, 50 divorces) et de lois douteuses (p. ex. mariage « gai » en 2005, euthanasie en 2016). Finalement, une forte immigration, rendue nécessaire par le faible taux de reproduction (avortement, stérilisation, contraception), risque aujourd’hui de rayer de la carte les peuples fondateurs du Canada ainsi que d’introduire dans notre société des pratiques et croyances des plus nocives (p. ex. l’Islam).

Drogués par leurs écrans lumineux ainsi que par l’amour du confort et du sexe, les Québécois et Canadiens semblent pour la plupart incapables de se secouer de leur torpeur. Et les médias subventionnés et oligarchiques pèsent sur les consciences comme une chape de plomb, rendant quasiment impossible une pensée saine et originale. Devons-nous nous résigner à une disparition tranquille ?

Jamais. Un changement est possible. Mais il faut vouloir un vrai changement. Vouloir quoi ? Nous devons vouloir Dieu dans notre vie, y compris dans la politique.

Viktor Orban et la « démocratie chrétienne »

Tournons-nous vers un autre peuple jadis opprimé, le peuple hongrois, qui a su, avec la grâce de Dieu, se libérer de son état d’esclavage mental et spirituel pour devenir un modèle pour l’Europe et pour le monde.

Les Hongrois, aujourd’hui un peuple fier de 10 millions d’âmes, gémissaient sous la botte du communisme dès la fin de la 2e guerre mondiale. Ils avaient plus que les médias de masse tordus qui pesaient sur eux : ils souffraient du joug du tyran Stalin et de ses successeurs. En bref, la Hongrie était victime de l’athéisme total, imposé à tous les niveaux, spécialement en politique.

En 1989, l’URSS s’effondra et la Hongrie se trouva libre. Par contre, ce pays risquait de tomber dans un mal plus grand, celui de se vouer à l’argent et au confort, comme le font tant de pays occidentaux.

C’est pourquoi en 2010 le peuple hongrois s’est doté d’un chef, Viktor Orban, et d’une Loi fondamentale (une constitution), pour le protéger des dérives. Les Hongrois ne voulaient être ni communistes, ni libéraux (c’est à dire indifférents au bien et à Dieu), mais chrétiens !

Lisons une petite partie de cette « Loi fondamentale », et voyons si nous, Québécois et Canadiens, pouvons en tirer quelque chose.

Loi fondamentale de la Hongrie le 25 avril 2011 :
Bénis les Hongrois, ô Seigneur!
PROFESSION DE FOI NATIONALE
NOUS, MEMBRES DE LA NATION HONGROISE, à l’aube de ce nouveau millénaire, déclarons avec responsabilité pour tous les Hongrois ce qui suit : nous sommes fiers que notre roi Saint Étienne ait placé l’État hongrois sur des fondations solides en faisant entrer notre patrie dans l’Europe chrétienne. Nous sommes fiers de nos ancêtres qui se sont battus pour la survie, la liberté et la souveraineté de notre nation. Nous sommes fiers des remarquables créations intellectuelles des Hongrois. Nous sommes fiers que notre peuple se soit battu pendant des siècles pour défendre l’Europe, contribuant aux valeurs communes de celle-ci par son talent et son assiduité. Nous reconnaissons la vertu unificatrice de la chrétienté pour notre nation. (…)
La dignité humaine est inviolable. Toute personne a droit à la vie et à la dignité humaine ; la vie du foetus doit être protégée dès sa conception.

Voilà une Constitution digne de ce nom; voilà un peuple engagé sur la bonne voie !

Depuis 2010, fidèle à sa Loi fondamentale, la Hongrie a valorisé son patrimoine chrétien, implanté des politiques familiales et a fermé ses frontières à des migrations abusives, et voilà le résultat : 

  • La quantité d’avortements a diminué de plus d’un tiers de ce qu’ils étaient en 2010 (40 449 à 28 500).
  • Le nombre de divorces est nettement réduit (23 873 en 2010 à 18 600 en 2017) et…
  • Le nombre de mariages a augmenté (35 520 en 2010 et 50 600 en 2017).

Encore une fois, nous voyons là un pays engagé sur la bonne voie !

La clé : une société ni libérale, ni athée, mais chrétienne

Quelle est la leçon à retenir ? Viktor Orban, premier ministre de la Hongrie, résume mieux que quiconque cette leçon, par les paroles suivantes qu’il a prononcées le 28 juillet 2018 : 

« Proclamons avec confiance que la démocratie chrétienne n’est pas libérale. [...] La démocratie libérale est favorable au multiculturalisme, tandis que la démocratie chrétienne donne la priorité à la culture chrétienne... »

Et il continua :

« Bien que nous puissions sembler être une minorité, nous sommes nombreux, en Europe, à avoir comme but commun de construire l’Europe une fois de plus sur les fondations solides du christianisme... La Hongrie suit cette voie depuis 2010. »

Au Québec et au Canada, nous pouvons sembler être une minorité de croyants, mais cette minorité agissante peut devenir un mouvement pour la reconstruction d’un Québec et d’un Canada sur les fondations solides du christianisme... 

... Et Campagne Québec-Vie se veut la bougie d’allumage pour lancer un tel mouvement. Mais nous avons besoin de votre appui.

Dans les semaines, les mois et les années à venir, ce sera notre message : Dieu doit régner à tous les niveaux, y compris la politique.

Vôtre pour la Vie,

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Georges Buscemi, Président

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