Le président équatorien démissionnera si l'élimination des enfants à naître est permise dans son pays - Campagne Québec-Vie
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Georges BuscemiChers amis de la Vie,

En ce 50e anniversaire de la Charte des droits et libertés de la personne du Québec, je vous invite à assister à la Marche pour la vie ce samedi, 31 mai. Un événement incontournable pour les pro-vie du Québec.

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Georges Buscemi, Président

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Le président équatorien démissionnera si l'élimination des enfants à naître est permise dans son pays

Sur le site de seneweb.com du 10 octobre 2013 :

 

(Le président socialiste Rafael Correa)

 

 

 

Le président socialiste de l'Equateur, Rafael Correa, a menacé de démissionner si des membres de sa majorité parlementaire tentaient de faire dépénaliser l'avortement dans le cadre d'une réforme du code pénal."Si un groupe de personnes très déloyales réunissent demain une majorité (parmi les élus de la coalition au pouvoir) Alianza Pais" pour légaliser l'avortement, "moi, immédiatement, je présente ma démission", a déclaré jeudi le président sur la chaîne de télévision Oromar.
 
A l'occasion d'un débat parlementaire sur la réforme du code pénal, certains membres d'Alianza Pais militent en faveur de la dépénalisation de l'avortement. "C'est très regrettable ce qui se passe", a ajouté M. Correa, au pouvoir depuis 2007 et dont le mandat s'achèvera en 2017. "Qu'ils fassent ce qu'ils veulent, moi, je n'autoriserai jamais la dépénalisation de l'avortement", a-t-il averti. Le Parlement monocaméral réforme actuellement le code pénal, prévoyant d'introduire de nouveaux délits, comme le "féminicide", ou de limiter les peines effectives de prison à 40 ans.
 
 "Où parle-t-on de dépénaliser l'avortement ? Au contraire, la Constitution dit défendre la vie dès la conception", a souligné le président. M. Correa, qui se définit comme humaniste, catholique et de gauche, est un proche allié du Venezuela et de la Bolivie, principaux représentants de la gauche radicale latino-américaine. L'avortement est interdit dans la majeure partie des pays d'Amérique latine, excepté Cuba, le Guyana et l'Uruguay. Il est autorisé également dans la ville de Mexico et assorti de conditions au Brésil où il n'est autorisé qu'en cas de viol ou de danger pour la vie de la mère.
 

 

 

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