Par Bettina di Fiore (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kegfire/Adobe Stock
La nouvelle page internet de Live Action, « I Saw My Baby » (« J’ai vu mon bébé »), sensibilise aux histoires personnelles de femmes qui ont pris la pilule abortive et ont vécu l’horreur de voir ensuite leur bébé avorté, ainsi qu’aux faits concernant la pilule abortive que les médias grand public évoquent rarement. La page contient un rapport sur la pilule abortive et huit vidéos racontant l’histoire de plusieurs femmes.
Le rapport « J’ai vu mon bébé » aborde les statistiques relatives à l’utilisation de la pilule abortive et décrit son mode d’action. Il détaille également les risques de complications, notamment « des infections ou des hémorragies graves et parfois mortelles », ainsi que des nausées, des faiblesses, de la fièvre/des frissons, des vomissements, des maux de tête, de la diarrhée et des vertiges.
Le rapport traite également de la stratégie d’évaluation et d’atténuation des risques (REMS) de la FDA pour la pilule abortive et de la manière dont ces exigences de sécurité ont évolué au fil du temps.
Le « protocole sans test » de l’industrie de l’avortement — qui a éliminé tous les laboratoires, tests et analyses sanguines préliminaires nécessaires pour dater avec précision une grossesse et exclure les grossesses extra-utérines — est également abordé. En raison de cette approche de la distribution de la pilule abortive, de nombreuses femmes ont pris le médicament au-delà de la limite des 10 semaines de gestation imposée par la FDA, parfois avec des résultats tragiques. Le « protocole sans test » expose également les femmes au risque de prendre le médicament en cas de grossesse extra-utérine non diagnostiquée ; la pilule abortive n’est pas efficace contre les grossesses extra-utérines et, si elles ne sont pas diagnostiquées, elles peuvent être fatales pour la mère.
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Le rapport aborde également l’utilisation abusive par l’industrie de l’avortement du misoprostol, le deuxième médicament de la pilule abortive approuvée par la FDA, et la manière dont cela peut potentiellement mettre en danger les femmes qui prennent la pilule abortive.
Les liens financiers incestueux entre ceux qui ont investi dans la pilule abortive, ceux qui en testent l’efficacité et ceux qui en tirent profit sont également abordés dans le rapport. Les groupes qui ont investi dans la fabrication de la pilule abortive ont également soutenu financièrement les études et les chercheurs chargés d’établir sa prétendue sécurité, ce qui constitue un conflit d’intérêts évident.
Enfin, le traumatisme maternel qui peut résulter de l’utilisation de la pilule abortive est abordé dans le rapport, qui détaille les expériences personnelles de nombreuses femmes qui ont été affectées négativement par le médicament.
Les histoires personnelles de huit femmes qui ont vu leur bébé mort après avoir pris la pilule abortive sont également partagées sur la page internet « J’ai vu mon bébé » ...