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Le National Geographic condamné par des pédiatres pour le transgenre de 9 ans sur sa couverture de janvier

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Par Sadé Patterson (LifeSiteNews) - traduit par Campagne Québec-Vie

23 décembre 2016 (LifeSiteNews) – Une association de pédiatres condamne le National Geographic d’avoir mis sur la couverture de son numéro de janvier, un enfant de 9 ans qui s’identifie comme transgenre.

Le National Geographic met en exergue la «révolution du genre» dans son numéro de janvier 2017 présentant, Avery Jackson, un enfant de 9 ans, la première d’un transgenre en couverture d’une publication.

On cite Avery sur la couverture affirmant: «La meilleure chose à propos d’être une fille est que maintenant je n’ai pas à prétendre que je suis un garçon».

Michelle Cretella, docteur en médecine, Président du Collège américain des pédiatres  a dit à LifeSiteNews que le National Geographic «fait la promotion d’un programme politique sur le dos de la Science et du bien-être d’enfants innocents». en mettant en vedette un jeune enfant transgenre.

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«Confirmer des enfants soi-disant transgenres, revient à les stériliser à l’âge de 11 ans», a dit Dr Cretella. «Les obstacles de la puberté ajoutés aux hormones sexuelles inverses provoquent la stérilité permanente et les filles qui changent de sexe en prenant de la testostérone peuvent avoir une double mammectomie à 16 ans. L’usage à vie des hormones sexuelles inverses aussi met ces enfants à risque d’arrêt cardiaque, de maladie de cœur, de diabète, de cancers et plus encore».

Dès l’âge de trois ans quand leur enfant a commencé à s’identifier comme une fille, les parents d’Avery ont été des complices. Sa maman, Debbie Jackson, décrit leurs sentiments de confusion et de doute au début du traitement, dans une vidéo en ces termes : «jusque-là elle n’était qu’un petit garçon tumultueux avec les cheveux rasés et un collier de dent de requin mais à l’âge de trois ans, elle nous a demandé si on pouvait lui acheter une robe de princesse».

Jackson explique n’avoir pas acheté la robe la première fois parce qu’ils ont pensé que c’était juste un caprice mais quand ils se sont rendu compte que leur fils portait sa robe préférée à la garderie, ils sont allés lui acheter une robe de princesse. Selon Jackson, Avery a porté cette robe tout le temps à la maison et en a réclamé plus : des robes, des robes de soirée, des bandeaux et des chaussures brillantes mais ses parents ont mis la limite aux dessous de fille.

Après avoir rencontré un psychologue et un endocrinologue et considéré toutes les options médicales en cachette, on a permis à Avery d’aller à l’école habillé en fille. Jackson et sa famille ont perdu des ami(e)s et des membres de la famille et ils ont vécu «cachés » pendant un an le temps que «les cheveux de Avery poussent pour lui donner l’air d’une fille», a expliqué Jackson. La famille s’en est sortie avec «une fille sûre d’elle-même et très heureuse».

Cretella croit que c’est aussi bien non-éthique que blessant pour des parents de prendre de telles décisions concernant le genre de leurs enfants parce que très probablement ils passeront l’âge de cette dysphorie du genre. «Quand un enfant en bas de 12 ans pense être d’un sexe opposé et on lui permet de passer naturellement la puberté, entre 75 et 95% du temps, cet enfant acceptera son sexe biologique à l’adolescence avancée».

Bien qu’ayant couvert le sujet avant, cette fois-ci, le National Geographic traite du transgenre, de loin, au niveau le plus élevé jusqu’à présent.

Cretella affirme que le soutien public au «transgendérisme» chez les enfants, est équivalent à «la maltraitance d’enfant». «Quand les institutions de santé, universitaires et autres publiques, propagent l’usage à vie d’hormones toxiques et l’ablation de certaines parties du corps en tant que soins médicaux aux enfants, elles s’adonnent à la maltraitance institutionnalisée d’enfant», a-t-elle dit.



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