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Le Conseil mondial de la boxe interdit aux hommes se disant « femmes » de concourir contre des femmes

Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : be free/Adobe Stock

Il est sidérant de voir tous les méandres que suit le WBC pour déclarer implicitement ce qu’au fond il constate : un homme reste un homme, combien même se ferait-il charcuter et intoxiquer aux hormones. — A.H.

Mexico, Mexique (LifeSiteNews) — Le Conseil mondial de la boxe (WBC) a annoncé qu’il interdisait aux hommes souffrant de confusion de genre de concourir contre des femmes, car « un combattant transgenre peut avoir un avantage injuste ».

Tout en disant d’abord qu’elle « soutient fermement et sans équivoque les droits des transgenres et reconnaît l’identité de genre d’un athlète individuel » et qu’elle « continuera à se battre pour protéger les personnes transgenres contre la discrimination sur leur lieu de travail, dans l’emploi, l’éducation et l’accès aux soins de santé », l’association de boxe a expliqué pourquoi elle ne peut pas permettre aux hommes de concourir contre des femmes.

« Un combat sportif doit se dérouler entre deux compétiteurs de même niveau. À l’heure actuelle, il n’y a pas de consensus sur la question de savoir si un combat entre une femme transgenre contre une femme cisgenre (biologique)* est un combat équitable entre deux concurrents de même niveau », écrit la WBC. « Une mesure telle qu’un taux de testostérone inférieur à 10 nanomoles par litre (obtenu par l’utilisation de médicaments supprimant la testostérone chez la femme transgenre), prise isolément, est inadéquate pour garantir l’équité au moment du combat. »

« On peut faire valoir qu’au moment où une combattante transgenre lance sa carrière professionnelle, elle a déjà traversé la puberté masculine lui conférant ainsi la musculature et la structure osseuse d’un homme », a déclaré l’association de boxe. « Ainsi, une combattante transgenre peut avoir un avantage injuste par rapport à son homologue cisgenre. »

La déclaration, rédigée par le Dr Nitin Sethi, explique les dommages qui pourraient résulter de la compétition entre hommes et femmes.

« Les sports de combat comme la boxe sont uniques puisque chaque coup de poing est lancé à la tête dans l’intention de gagner en provoquant un knock-out (qui n’est rien d’autre qu’une commotion cérébrale) », a déclaré le Dr Sethi dans le communiqué.

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Ces sports comportent un risque extrêmement élevé de lésions neurologiques aiguës et chroniques. Des boxeurs sont décédés pendant ou immédiatement après un combat à la suite de lésions cérébrales traumatiques, tels que d’hématome sous-dural aigu, d’hématome épidural, d’hémorragie sous-arachnoïdienne, d’hématome intracrânien ou de lésion des gros vaisseaux du cou, comme la dissection de la carotide ou de l’artère vertébrale.

La WBC a écrit qu’il devait y avoir un « terrain de jeu équitable » afin que la compétition reste « juste, compétitive et divertissante » ainsi que « sécuritaire. »

« Au niveau actuel des connaissances scientifiques, le consensus du WBC est que permettre aux athlètes transgenres de concourir soulève de graves problèmes de santé et de sécurité », a conclu le conseil.

L’analyse de la WBC sur les avantages physiques que les hommes conservent même après leur « transition » confirme encore ce que l’on sait de la biologie masculine et féminine.

Une étude réalisée en 2019 en Nouvelle-Zélande a conclu que les hommes qui subissent une « hormonothérapie » conservent un avantage intolérable. Les auteurs ont constaté que, « par exemple, l’hormonothérapie ne modifiera pas la structure osseuse, le volume pulmonaire ou la taille du cœur de l’athlète transfemme, surtout si elle effectue une transition postpubertaire, de sorte que les avantages naturels, notamment des articulations, le débit systolique et l’absorption maximale d’oxygène, demeurent. »


*Remarquez que puisqu’une femme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, elle ne peut donc pas devenir homme, d’où il est absurde de parler de « femme biologique » quand on veut mentionner une vraie femme, car en fait de femme, il n’y a que des femmes biologiques. La même chose est vraie pour les « hommes biologiques ». — A. H.



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