Sébastien Potvin, drag-queen dit Barbada de Barbades.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
17 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Un Centre de services scolaires du Québec a payé le tristement célèbre drag-queen Barbada de Barbades plus de 1 000 $ avec l’argent des contribuables pour une conférence scolaire.
Récemment, le Centre de services scolaires de la Capitale a versé 1 400 $ à Sébastien Potvin, enseignant au primaire et drag-queen, connu sous le nom de scène de Barbada de Barbades, pour une conférence de drag-queen d’une heure et 35 minutes.
Le Centre de services scolaires de la Capitale, qui est responsable des écoles de la ville de Québec, a versé à M. Potvin 1 400 $ et 209,65 $ en taxes de vente provinciale et fédérale, ce qui fait un total de 1 609,65 $, selon les dossiers obtenus par Rebel News.
Le nom de l’école où la conférence a eu lieu n’a pas été révélé par Rebel News pour des raisons journalistiques.
Ce n’est pas la première fois que le gouvernement québécois finance des événements LGBT pour promouvoir le mode de vie LGBT auprès des Canadiens.
Des documents récemment divulgués montrent que le gouvernement fédéral du premier ministre Justin Trudeau a donné 12 millions de dollars de l’argent des contribuables pour financer des organisations et des événements de « fierté » entre 2020 et 2022.
De même, en juin, le gouvernement Trudeau s’est engagé à verser 1,5 million de dollars pour ce qu’il prétend être un « financement d’urgence » pour le mois de la « fierté » aux organisations qui organisent des défilés afin de renforcer la sécurité lors de ces événements.
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Le Québec semble particulièrement investi dans le financement d’événements LGBT, puisque le Festival des groupes musicaux et des orchestres symphoniques du Québec, un festival de musique financé par le gouvernement, a récemment annoncé sa décision d’engager M. Potvin en tant qu’animateur du spectacle.
Sur son site Internet, M. Potvin indique que ses spectacles de drag-queen s’adressent aux enfants âgés de 3 à 6 ans, mais que « les enfants plus jeunes sont les bienvenus ».
La promotion de l’agenda LGBT auprès des enfants par le biais de drag-queens est fermement condamnée par [certains] politiciens québécois.
La décision d’engager M. Potvin pour animer le festival de musique a été rapidement dénoncée par Éric Duhaime, ouvertement homosexuel, chef du Parti conservateur du Québec (PCQ), qui a récemment redoublé d’efforts pour critiquer les spectacles de drag-queens organisés dans des bâtiments publics à l’intention des enfants.
Il a récemment lancé une pétition intitulée « Protégeons nos enfants », qui demande au gouvernement de cesser de financer les spectacles de travestis pour enfants et de veiller à ce que le consentement parental soit respecté. À ce jour, la pétition a recueilli plus de 40 000 signatures.
Un autre homme politique né au Québec, Maxime Bernier, qui dirige le Parti populaire du Canada (PPC), a récemment dénoncé la « folie transgenre » dont sont victimes les enfants du Canada, tout en prenant le temps de souligner le silence du Parti conservateur du Canada sur le sujet.
Faire entrer des drag-queens dans les écoles et les bibliothèques semble être la dernière tendance pour imposer l’idéologie LGBT aux enfants.
Au lieu de reculer face à la réaction négative du public, certaines villes, dont Calgary (Alberta), ont choisi d’adopter des règlements interdisant les manifestations de ce type.
Les militants LGBT semblent également accroître leur hostilité à l’égard de ceux qui s’opposent à cette tendance.
Tout récemment, à Calgary, le pasteur Derek Reimer a été inculpé pour avoir protesté contre une heure du conte par des drag-queens dans une bibliothèque publique. Tandis qu’il était en prison, sa camionnette a été vandalisée avec des messages anti-chrétiens et sataniques.
Un autre incident récent est survenu au cours d’une manifestation organisée à l’occasion de la « Journée de la visibilité des transgenres » à Vancouver (Colombie-Britannique) : un père de famille canadien, Chris Elston, qui s’opposait pacifiquement à l’idéologie du genre, a été saisi à la gorge, jeté au sol et frappé à coups de poing.