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La Société canadienne de pédiatrie recommande aux médecins d’encourager la lubie transgenre chez les enfants dès l’âge de 6 ans

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rimmdream/Adobe Stock

26 mars 2025 (LifeSiteNews) — Les médecins canadiens sont incités à encourager les enfants dès l’âge de six ans dans leur dysphorie de genre.

Un bref article publié dans le journal phare de la Société canadienne de pédiatrie conseille aux pédiatres d’« affirmer » la confusion de genre des enfants, jusqu’à leur prescrire des bloqueurs de puberté irréversibles.

Le journal demande aux pédiatres de « soutenir la suppression menstruelle et les bloqueurs d’hormones, si cela est approprié et souhaité par le patient ».

Les menstruations peuvent être une source de dysphorie de genre importante pour certains jeunes TGD (« transgenres »), poursuit l’article.

La suppression des règles chez les filles « peut être obtenue en utilisant diverses formes de contraception, telles que les systèmes intra-utérins hormonaux, les injections de depo [-provera], l’utilisation continue de pilules contraceptives orales, de patchs et d’anneaux contraceptifs, ou de bloqueurs hormonaux », ajoute l’article.

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L’article a été cosigné par Basil Kadoura, chercheur et médecin spécialiste de la médecine de l’adolescence au BC Children’s Hospital, le Dr Rubaina Farin et Ashley Vandermorris, pédiatre à l’Hospital for Sick Children (SickKids).

Les auteurs conseillent aux médecins de donner aux jeunes enfants un « accès opportun » aux dangereux bloqueurs de puberté et aux hormones du sexe opposé, plutôt que de les orienter vers un établissement spécialisé, en raison des longs délais d’attente.

L’article indique en outre que les médecins sont censés promouvoir la « transition sociale », en notant que « pour de nombreux enfants et jeunes [confus quant à leur sexe] (par exemple, cas 1), il peut n’y avoir qu’un intérêt ou un besoin de discuter de la transition sociale, qui pourrait inclure l’utilisation d’un nom et de pronoms affirmés et l’exploration de vêtements et de coiffures qui s’alignent sur le genre ressenti ».

« Au fur et à mesure que la puberté progresse (par exemple, cas 2), les jeunes [confus en matière de genre] peuvent envisager de se lier la poitrine ou les organes génitaux, de se rembourrer ou de s’emballer, et peuvent demander votre soutien pour le faire en toute sécurité », poursuit l’article.

Le document cite le cas d’un garçon de six ans qui a demandé à être appelé par des pronoms féminins et qui portait une robe.

Dans ce cas, le document recommande aux médecins de « fournir à la famille les ressources appropriées pour parler du genre, de la mettre en contact avec un groupe local de soutien aux parents et de lui décrire les nombreux avantages qu’un environnement social positif apporte aux enfants et aux jeunes [souffrant de confusion sexuelle] ».

L’article omet commodément de mentionner le rapport Cass du Royaume-Uni, qui a révélé les dangers de la « transition » des enfants, notamment au moyen de médicaments et d’opérations chirurgicales mutilantes. Cette étude a conduit les agences gouvernementales [de plusieurs pays] à repenser leurs politiques en matière de transsexualité.

LifeSiteNews a compilé une liste de professionnels de la santé et d’experts qui ont mis en garde contre les procédures de transsexualité, leurs dommages irréversibles et leurs effets secondaires à vie.

En fait, en plus d’affirmer une fausse réalité selon laquelle on peut changer de sexe, les chirurgies et les médicaments transgenres ont été associés à des dommages physiques et psychologiques permanents, notamment des maladies cardiovasculaires, une perte de densité osseuse, des cancers, des accidents vasculaires cérébraux et des caillots sanguins, l’infertilité et une tendance accrue au suicide.

Il existe également des preuves irréfutables que les personnes qui subissent une « transition de genre » sont plus susceptibles de se suicider que celles qui ne subissent pas d’intervention chirurgicale irréversible. Une étude suédoise a montré que le risque de suicide était 19,2 fois plus élevé chez les personnes ayant subi une opération de « changement de sexe ».

En effet, l’approche la plus aimante et la plus utile à l’égard des personnes qui pensent être d’un sexe différent n’est pas de les conforter dans leur illusion, mais de leur montrer la vérité.

Une nouvelle étude sur les effets secondaires des opérations chirurgicales visant à changer le sexe des transsexuels a révélé que 81 % des personnes ayant subi une telle opération au cours des cinq dernières années ont déclaré avoir ressenti des douleurs simplement en se déplaçant normalement dans les semaines et les mois qui ont suivi, et que de nombreux autres effets secondaires se sont également manifestés.

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