Sur le site du journal La Presse du 5 mai 2014, ce jugement de la Cour Suprême des États-Unis :
(Photo : khayman sur wikimédia.org, licence creative commons)
(...)Une telle prière récitée dans un contexte civique «suggère que son but et son effet sont de reconnaître les dirigeants religieux et les institutions qu’ils représentent, plutôt que d’exclure ou de contraindre les non-croyants», a écrit le juge Anthony Kennedy pour la majorité. (...)
Espérons que cet excellent jugement inspirera notre magistrature sur la poursuite du Mouvement laïque québécois contre la prière au conseil municipal du maire Jean Tremblay.
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