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La police de Washington arrête des pro-vie voulant écrire « Black Preborn Lives Matter »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : vidéo de la SFLA

Des agents de la police municipale de Washington dans le District de Columbia ont arrêté deux pro-vie, membres du groupe Students for Life of America (SFLA). Leur crime ? Avoir commencé à écrire le message « Black Preborn Lives Matter » (La vie des enfants à naître noirs compte) sur le trottoir devant l’avortoir de Planned Parenthood, car ces messieurs les agents venaient de le leur interdire. Pourtant, les jeunes gens avaient reçu la permission de la municipalité de procéder à leur projet. Selon La SFLA :

Il y a quelques semaines, le chef de la police de Washington confirma que le maire Bowser, après avoir participé lui-même à étaler le message « Black Lives Matter » dans les rues de Washington et avoir permis aux activistes d’écrire « Defund the Police » (Cesser le financement de la police), avait ouvert les rues de Washington à l’expression publique.

Prenant note de ce développement, la SFLA avait demandé et reçu un permis pour peindre dans la rue devant la clinique de Planned Parenthood, se conformant même à la demande du département de police de Washington d’acheter de la peinture temporaire. Se croyant dans leur bon droit, les membres de l’équipe de la SFLA et des étudiants sont arrivés à 5 heures du matin devant la clinique de Planned Parenthood, où 6 voitures de police étaient garées. Les agents déclarèrent que s’ils peignaient les rues ils seraient arrêtés — même après s’être fait montrer le permis que leur propre département avait approuvé.

Les membres de l’équipe de la SFLA ont alors demandé s’ils pouvaient au moins faire ce qu’ils font souvent devant cette même clinique de Planned Parenthood, à savoir écrire à la craie des messages pro-vie. La police a alors donné la même réponse, à savoir que toute personne qui écrirait dans la rue serait arrêtée. Cette réponse était une claire moquerie envers leurs droits constitutionnels à la liberté d’expression et de parole. C’est pourquoi, sans crainte, Erica Caporaletti et Warner DePriest écrirent leurs messages quand même. Après avoir écrit un simple mot, ils furent arrêtés.

Ce fait est révélateur d’un parti pris évident de la municipalité de Washington en faveur de l’industrie de l’avortement, imaginez… la police empêcher d’écrire un slogan allant dans le sens (apparent du moins) de la mode « antiraciste » !

Au passage, je ne suis pas partisan d’utiliser n'importe quel mouvement à la mode pour promouvoir le message pro-vie ; certes, la vie des enfants à naître noirs compte, comme toutes les autres.

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